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Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Sam 10 Mar - 19:10
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« D’accord …D’accord mon ange gardien… si tu veux on ira faire ma nouvelle garde-robe ensemble hum ? » Je souris franchement en la regardant amoureusement pour le coup. Oui, je disais oui et encore oui. Je voulais pouvoir faire des choses tout à fait simples, avec elle. Même si ça ne serait pas très prudent de me balader à tout va avec elle. Mais ne suffisait-il pas de la faire passer pour une simple amie une fois dans les rues de Miami ? Voir même de quitter la ville tout simplement … Dans le fond, il pouvait être simple de vivre une telle relation, si on savait être un tant soit peu discret. Et je ne pensais pas que nous aurions besoin de nous afficher non plus. Les relations discrètes ne pouvaient-elles pas être meilleures ? Forcément que si, selon moi. Du moins, lorsque les sentiments étaient au beau fixe, comme c’était notre cas justement. En tout cas, c’était mon cas … « Hm … Tu sais que c’est presque excitant, l’idée de t’aider à choisir tes fringues ? Dans le sens où, graour … Tu pourrais bien porter des fringues que j’aime … » Lâchais-je d’une voix taquine, sans la quitter un seul du regard. L’observant même sans la moindre limite ni la moindre gêne. Pourquoi être gêné de la trouver d’une beauté à couper le souffle, de toute façon ? Ce serait clairement idiot selon moi. Parlant par la suite de mon entreprise, je finis par lui apprendre qu’il s’agissait d’une entreprise familiale à laquelle je tenais énormément, au point d’avoir accepté d’épouser une femme que je n’aimais pas, pour ne pas la perdre. « Ton père était atroce… Cette condition, comme si tu avais besoin de ça pour t’occuper de l’entreprise…On tiendra le coup d’accord ? Je ne t’abandonnerai pas… T’as assez souffert… » Je soupirai doucement en frottant mes lèvres contre les siennes, avec extrême lenteur et tendresse. Oui j’avais assez souffert et il était temps que je connaisse enfin le bonheur. Et il m’apparaissait plus qu’évident, que je venais de le trouver, dans ses bras. Le doute n’était, de toute façon, pas permis. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais pas m’empêcher de craindre l’avenir contrairement à elle qui me semblait on ne peut plus confiante.
Pour ma part, j’étais à peu près certain, qu’arriverait le jour où elle réaliserait tout ce à quoi elle renonçait en étant ainsi avec moi. Et autant dire qu’elle prendrait forcément la décision de tout arrêter, avant qu’il ne soit trop tard pour elle. Et je ne pourrais pas le lui reprocher, bien sûr … « Il voulait être sûr que je … Hm … Serais en mesure de faire un fils qui reprendrait l’entreprise à ma suite. Vu que lui-même n’a pas été capable de faire plus d’un garçon et que le seul qu’il ait eut, soit de santé fragile. » Lâchais-je sur un ton on ne peut plus ironique, avant de lâcher un bref rire nerveux et détourner le regard sur le coup. Avant de soupirer et la regarder de nouveau. « Tu ne m’abandonneras pas ? Jamais ? » Demandais-je d’une voix à peine audible. Après avoir parlé de mon entreprise puis des cupcakes que nous y faisions, nous parlâmes d’art. Ainsi, je lui appris que j’avais su jouer de la guitare fut un temps mais que j’avais sans doute un peu perdu depuis. Je mentionnai ensuite le fait que je savais bien jouer du piano. En tout cas, je pensais me débrouiller pas trop mal. « J’ai aussi un piano ça tombe bien dis donc… Va falloir que tu me montres tout cela, et promis je ne rigolerai pas… » Je ris quelque peu en plissant faiblement le nez. Je ne doutais pas qu’elle ne rirait pas de façon volontaire. Mais je n’ignorais pas non plus, qu’il était possible qu’elle rit, sans vraiment le contrôler. Après tout, je ne pouvais pas contrôler moi-même son rire. Et si elle trouvait ma façon de jouer, trop pathétique … Elle pourrait rire sur le coup. Je ne pourrais pas lui en vouloir pour autant, évidemment. Ca ne serait même, pas si grave que cela. « Ok, je te montrerai pour les deux. » Soufflais-je doucement, en souriant quelque peu. Un long moment plus tard, nous nous retrouvions chez elle, où elle m’entraina dans sa chambre sans trop tarder. Là, elle m’ajouta sur le dessin qu’elle avait fait plus tôt et je fus heureux de la voir aussi rectifier sa propre représentation, pour lui donner un air heureux et … Amoureux.
Après avoir mentionné le fait qu’elle aimait terriblement mes mains, ce qui eut le don de me surprendre mais aussi de me faire rire, je la laissai courir pour me sauter dessus. Sans la lâcher, j’allai m’asseoir sur le lit pour la serrer doucement contre moi et continuer de discuter plus ou moins. Après m’être ouvertement moqué d’elle, elle me fit remarquer que j’étais un vilain garçon. Ce à quoi je répondis simplement que je lui avais volé son auréole. Je la regardai alors faire mine de la récupérer au dessus de ma tête, pour la replacer au dessus de la sienne. Je ne pu m’empêcher de rire franchement sur le coup et de lui lancer un regard clairement fasciné, émerveillé et amoureux tant j’aimais sa folie. « Non mais ! On ne touche pas… Je me sentais nue… Je comprends mieux ! » Je ris un peu plus encore, en levant les yeux au ciel, avant de lui pincer faiblement le nez, pour la taquiner. « Oh crois moi, tu es loin d’être nue. Sinon je m’en serais déjà rendu compte … » Lâchais-je l’air de rien, en baissant le regard sur son corps que je pris soin de bien observer, longuement, tant il me plaisait plus que de raison. Parlant ensuite de l’heure et du fait de savoir si Stacy ne me tuerait pas ou autre, je mentionnai la dernière fois où j’étais rentré tard. Cette fois où j’étais tellement ivre, que j’avais fais tomber ma lampe de chevet et l’avais donc réveillée brutalement. Elle avait hurlé, s’était plainte … Et je m’étais endormi sans l’écouter ni même lui répondre. « Outch…Comment tu fais pour dormir dans le même lit qu’elle ? Elle doit se coller à toi et tout non ? Berk, ça doit être affreux… » Je plissai le nez et frissonnai franchement de dégoût et d’horreur sur le coup. Oh non, elle n’était pas du genre trop collante ni trop tactile et encore heureux. Je n’étais pas certain que j’aurais pu supporter cela bien longtemps et continuer de partager ainsi son lit. « Ben … Je me suis habitué en fait … Et non, fort heureusement, elle est pas du genre à se coller à moi ni en plein jour ni la nuit. Peut-être que le fait de l’avoir longtemps poussé dans mon sommeil, ne lui a pas donné envie de continuer … Ah ouais, ça doit venir de là ! » Lâchais-je alors, en faisant mine de comprendre cela seulement maintenant. Alors que, dans le fond, j’avais toujours été conscient de cela, tout de même. Je n’étais pas si con que cela et le fait que j’avais toujours fait exprès d’agir de la sorte, n’était pas un secret ni pour elle ni pour moi.
Alors que nous étions toujours tous les deux sur son lit, je ne pu m’empêcher de la tâter longuement et finir par lui demander si j’avais au moins le droit de toucher. A sa réponse, je ne perdis pas de temps et l’allongeai sur le lit, sans cesser de l’embrasser avec insistance, ma langue heurtant la sienne avec douceur et insistance. Je glissai une main dans ses cheveux pour les lui caresser lentement et fini par glisser l’autre, sous son haut. Je fini par la poser sur l’arrondi d’un sein et frissonnai de bien être à son gémissement, suivit de son corps qui ne tarda pas à se cambrer, alors que ses seins durcissaient sans tarder. Je soupirai d’aise et entrepris d’empoigner, malaxer et tâter sa poitrine, avec envie, continuant de déposer de longs baisers humides, sur ses lèvres. Pour ne pas craquer et vouloir plus, je finis par quitter sa poitrine de ma main, pour descendre sur ses fesses dont j’en empoignais une avec envie. « Ca va ? » Demandais-je d’une voix douce, en la voyant apparemment sonnée et perdue … par le plaisir ? Je me figeai franchement, lorsqu’elle se redressa pour plaquer fortement ses lèvres sur les miennes et laissai échapper un franc gémissement sur le coup en répondant à son baiser avec ardeur. Ca, ce n’était vraiment pas prévu. Encore moins le fait qu’elle m’empoigne par la chemise, pour la déboutonner peu à peu. Je gémis fortement en la sentant peiner mais finalement, l’ouvrir totalement, avant de me la retirer presque avec sauvagerie. Je tremblai de plaisir et d’envie, alors qu’elle parcourant mon torse du regard, passant ensuite ses doigts sur mon tatouage, le tout sans que je la quitte du regard. Elle fini par empoigner et tâter franchement mes pectoraux, et se redresser pour se plaquer fermement à moi, pour reprendre le baiser sans tarder. « Comment ne pas bouger devant une vue pareille ? Chéri… » Je ris faiblement, avant de me figer sous son puissant et fougueux baiser. Je lui répondis en glissant bien ma langue dans sa bouche, l’embrassant ainsi un long moment, avant de la plaquer à nouveau sur le lit, avec plus de fermeté cette fois ci. Je me redressai faiblement pour placer mon buste faiblement au dessus d’elle, mon visage bien au dessus du sien, pour l’embrasser franchement, mes lèvres bien plaquées sur les siennes et ma langue dans sa bouche. J’enfouis mes mains dans ses cheveux sous une envie grandissante et les fourrageai avec insistance, avant de faire glisser l’une de mes mains sous son haut à nouveau, puis cette fois ci, sous sa brassière, pour être en contact direct avec son sein, que je caressai et titillai, de la paume de ma main. « Je suis torse nu … Je prends sur moi pour ne pas te déshabiller autant … » Soufflais-je d’une voix taquine, tout contre ses lèvres, sans cesser ma caresse du plat de ma main. Se faisant, je glissai mes lèvres sur sa joue, sa mâchoire puis dans son cou, où j’entrepris de suçoter sa peau avec force et insistance, pour lui faire un suçon. Mordillant, suçotant et léchant sa peau, j’empoignai et malaxai ses seins avec plus d’insistance. Je finis par me placer à demi sur elle, plaquant mon bas ventre contre sa hanche, sans plus chercher à lui cacher mon désir évident. Je glissai alors ma cuisse entre ses jambes, pour la presser et la frotter contre son intimité, avec insistance. « Aujourd’hui … Je contrôle. La prochaine fois, interdit moi d’aller aussi loin. » Soufflais-je d’une voix rauque, sans cesser de marquer la peau de son cou.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Sam 10 Mar - 21:53
₪ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART AND A RIOT ABOUT TO EXPLODE INTO FLAMES
Nolan & Lhoà
« Hm … Tu sais que c’est presque excitant, l’idée de t’aider à choisir tes fringues ? Dans le sens où, graou … Tu pourrais bien porter des fringues que j’aime … » Souriant en coin en haussant un sourcil, provocateur à fond, je mordis lentement mes lèvres en souriant de plus belle. Porter des fringues qu’il aimait, faire les boutiques avec lui, le faire rentrer dans la cabine. Stop. Ça c’était interdit… Et… Pas encore pour nous… « Ah oui ? Toi qui m’attend derrière le rideau de la cabine, ou qui glisse ton visage dedans pour me voir me changer … ça, je suis sûre que c’est excitant… » Soufflai-je l’air de rien. Parlant de son entreprise, j’appris alors que son père l’avait limite mis dedans à sa naissance afin qu’il puisse reprendre l’entreprise. « Il voulait être sûr que je … Hm … Serais en mesure de faire un fils qui reprendrait l’entreprise à ma suite. Vu que lui-même n’a pas été capable de faire plus d’un garçon et que le seul qu’il ait eut, soit de santé fragile. » Haussant un sourcil, je le regardais longuement ses paroles montant peu à peu dans ma tête. Son père était vraiment cruel de faire une chose pareille… Comme si c’était normal… Il se serait marié tôt ou tard et aurait bien évidemment fait un enfant voir plusieurs à sa femme… J’aurais pu lui en faire moi… Je lui aurais donné des enfants avec plaisir même… « Tu ne m’abandonneras pas ? Jamais ? » souriant en coin en déposant de rapide baiser sur ses lèvres, je fermais brièvement les yeux en soupirant de bien-être. « Sauf que là, tu ne feras jamais d’enfant à Stacy, je me trompe ? Tu es Asthmatique, ce n’est pas une tare… Tu es ce que tu es… Il n’y aura pas de descendance du coup…. » demandai-je doucement en soupirant lentement. « Et oui, je ne t’abandonnerai jamais … Je tiens déjà terriblement à toi… » soufflai-je lentement avant de parler d’art. De guitare et de piano. Apprenant qu’il savait en jouer, je lui demandais donc de me montrer, le jour où il viendrait chez moi.
« Ok, je te montrerai pour les deux. » Souriant en coin en hochant lentement la tête, on fila rapidement chez moi, parlant et buvant un verre d’eau dans la cuisine, avant de filer dans ma chambre. Arrangeant le dessin en l’ajoutant tel le clip de Bad Day, je lui sautais dessus une fois satisfaite tout en enroulant mes jambes a sa taille avant qu’il ne nous assoie sur le lit et m’annonce qu’il m’avait piqué mon auréole. Surprise, je fis mine de la récupérer et la remettre au-dessus de moi en disant me sentir nue sans elle. Chose vraie !« Oh crois-moi, tu es loin d’être nue. Sinon je m’en serais déjà rendu compte … » Frissonnant longuement en lui lançant un regard amoureux et remplit de désir, je me sentis quelque peu rougir. Je ne m’étais jamais montré nue devant un homme… Est-ce que j’arriverai à le faire pour lui ? Avec un peu de temps peut être oui… « Hm…Tu serais même peut être en train d’abuser de mon petit corps de sainte… » soufflai-je l’air de rien en déposant de lent et doux baisers sur ses lèvres avant de parler de l’heure et du fait que sa femme pourrait peut-être lui dire quelque chose. J’appris que la dernière fois, il n’avait pas été très discret… « Ben … Je me suis habitué en fait … Et non, fort heureusement, elle est pas du genre à se coller à moi ni en plein jour ni la nuit. Peut-être que le fait de l’avoir longtemps poussé dans mon sommeil, ne lui a pas donné envie de continuer … Ah ouais, ça doit venir de là ! » Plissant doucement le nez, je lâchais un bref rire, avant de déposer un doux baiser sur ses lèvres avec envie. « Hm…. Mais quel mauvais garçon, j’aime ça… » marmonnai-je doucement avant que tout ne dérape. L’autorisant à me toucher, il ne tarda pas à tâter franchement mes seins, avant de m’allonger sur le lit pour me tuer plus que de raison. J’étais surement à deux doigts de mourir, à deux doigts de l’inconscience.
« Ça va ? » Hochant brièvement la tête pour répondre, je déglutis avant de gémir, murmurant un bref oui d’une voix coupée par le désir. Lui sautant presque dessus, je me collais à lui l’embrassant avec ardeur et envie, ayant du mal à lui enlever sa chemise, pour caresser son torse et ses pectoraux avec envie. Le découvrant, découvrant le corps d’un homme, son corps. Me plaquant cette fois ci fermement sur le lit, je poussais un bref cri en sentant sa main se glisser sous mon haut, et cette fois ci sous ma brassière. Me figeant, mon sein pointant, et durcissant sous le coup, je penchais la tête sur le côté, je divaguais à nouveau. Il me tuait. « Je suis torse nu … Je prends sur moi pour ne pas te déshabiller autant … » Totalement perdue et ailleurs, je cherchais de l’air, je cherchais à agir, a dire quelque chose, mais je n’y arrivais pas, mon corps bien trop emporté par le désir et le plaisir qu’il était en train de me procurer me détruisait sur place. Mes seins totalement durcit par le plaisir, mon corps totalement couvert par la chair de poule, je ne savais pas comment faire, c’était la première fois. Je ne m’étais pas du tout attendu à ce genre de rapprochement, je n’aurais jamais cru aller si vite et je ne regrettais pas le moins du monde. Au que non… Tremblante, en cherchant à tâter son corps, du moins son torse, je griffais faiblement sa peau en le sentant dériver sur ma joue, ma mâchoire, mon cou. Il… Me faisait des suçons. Sentant mon cœur battre la chamade, je remerciais le ciel de ne pas vivre avec mes parents. « Tu… Tu peux m’enlever le haut si tu veux… »[/color] soufflai-je doucement en déglutissant, sentant mon dos s’arquer sous l’afflux de plaisir. Ses caresses si nouvelles pour moi étaient, en train de me tuer de l’intérieur, je me consumais à petit feu, je mourais, le plaisir avait raison de moi, il en abusait et me rongeait. Mon sein réagissant à chacune de ses caresses, je poussais de long petit cris ne pouvant pas me retenir, me demandant si Cléa et Nino m’entendaient ou pas. Posant ma main sur ma bouche, je poussais un long râle de plaisir en le sentant suçoter un peu plus ma peau.
Son corps venant à moitié sur moi, je me figeais en sentant cette masse dure contre ma hanche. Dure et longue. Boguant, je sentis mon cœur battre tellement vite, tellement fort, que je perdis pratiquement connaissance, fermant les yeux en ayant la sensation d’avoir perdu pied une seconde. Tendant mes bras en tirant sur les draps, je poussais un cri aigu en sentant sa cuisse sur mon intimité se frottant alors contre sans impunité. Entrouvrant les yeux, totalement surprise et ahurit, j’écartais faiblement ma jambe comme pour l’inciter à continuer. Arquant bien me dos, je posais une main sur sa tête pour l’inciter à continuer ses suçons. « Aujourd’hui … Je contrôle. La prochaine fois, interdit moi d’aller aussi loin. » Poussant un faible cri, je me mis à sourire avant de bouger faiblement le bassin sous la puissante envie qui montait en moi. Mon autre main se posant sur sa taille, je le griffais longuement, mon corps tremblant, ayant du mal à le tenir, n’arrivant pas à m’agripper à lui, tant le plaisir me rendait chèvre. « La prochaine fois, on y est pas encore… La prochaine fois… La prochaine fois… »[/color] Grognant faiblement, j’enroulais finalement ma jambe a sa taille comme pour me rapprocher bien de lui, bougeant alors le bassin, sa cuisse se frottant bien contre mon intimité. Le plaisir qu’il me procurait me rendait folle. Un plaisir si nouveau, des caresses que je ne connaissais pas. C’était ça d’être avec un expérimenté alors ? Tremblant de plus en plus, mon bas ventre remplit de fourmillement sous l’intensité du plaisir, je sentais la sueur perler faiblement sur mon front, avant que ma main ne se poser sur l’une de ses fesses. Surprise de toucher une fesse pour la première fois de ma vie, je tâtonnais longuement en franchement avant de glisser ma main sous son pantalon pour tâter encore plus et mieux. Tirant sur son foutu boxer je déglutis à chacune de ses caresses, sentant mes tempes me faire un mal de chien tant le sang battait fortement en moi. Le regardant avec amour et envie, curieuse et terriblement excitée de par son approche, je glissais ma main le long de sa taille, partant de ses fesses avant d’aller sans aucune hésitation sur son membre. L’attrapant à travers le boxer, je lâchais un bref cri rendu aigu par le plaisir. Serrant ma main, essayant de ne pas m’évanouir, je posais ma tête sur le lit avant de bouger faiblement ma main. « Oh chéri… Je vais m’évanouir… » Lâchai-je d’une voix lointaine, ayant du mal à garder les yeux ouvert, tremblant de plus en plus.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 11 Mar - 2:05
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« Ah oui ? Toi qui m’attend derrière le rideau de la cabine, ou qui glisse ton visage dedans pour me voir me changer … ça, je suis sûre que c’est excitant… » Je ris doucement en lui lançant un regard coquin, l’observant un long moment. J’imaginais ce genre de situation, à la perfection. Plus que ça même. Je me projetais parfaitement là dedans. Moi l’attendant impatiemment devant la cabine et finissant par craquer et glisser ma tête dans la cabine, pour profiter pleinement de la vue. Et plus tard … La rejoindre dans la cabine pour … Pour faire quoi au juste ? Lui faire l’amour ? Ainsi, dans un lieu public ? Non, ce n’était en aucun mon genre. Savoir que l’on pourrait être entendu ou surpris, ne me plaisait pas plus que ça. Quoi que … Ca pourrait être excitant. « Le moindre prétexte pour profiter de la vu, sera le bienvenue … » Lui fis-je remarquer d’une voix coquine pour le coup. J’aimais déjà plus que de raison, pouvoir regarder, observer, détailler son corps si parfait à souhait … Je plissai quelque peu le nez lorsque nous nous mîmes à parler de mon père et des raisons qui avaient bien pu le pousser à me faire un tel coup tordu. Je mentionnai donc mon mariage et le fait que je devais à tous prix avoir un fils, pour pouvoir perpétuer la tradition qui consistait à léguer l’entreprise, de père en fils. « Sauf que là, tu ne feras jamais d’enfant à Stacy, je me trompe ? Tu es Asthmatique, ce n’est pas une tare… Tu es ce que tu es… Il n’y aura pas de descendance du coup…. » Je frissonnai quelque peu de dégoût sur le coup, à la seule idée de faire un enfant à Stacy. J’en étais arrivé à la haïr à un point où ça me tuerait de la voir porter mon enfant puis le mettre au monde. Quelle horrible mère elle ferait. Elle était déjà une mère horrible avec sa fille … Sa fille que je n’avais pas encore mentionnée à Lhoà d’ailleurs. Et j’avais presque peur de parler de cette gamine qui n’avait, au final, qu’une petite année de moins qu’elle. « Plutôt mourir que lui faire un enfant … Elle a … Elle a déjà une fille tu sais … C’est une mère horrible, en plus d’être épouse et une femme horrible. Et si je suis asthmatique c’est à cause d’un tas de soucis que j’ai eus dans le passé. L’asthme c’est la seule chose qu’il me reste et tant mieux … Pendant longtemps on ignorait comment ma santé finirait par aller. Il a tout fait pour avoir un second fils, en vain. » Soupirais-je d’une voix lasse, en souvenir de cette vie pour le moins … Ennuyeuse, lassante et j’en passe. « Et oui, je ne t’abandonnerai jamais … Je tiens déjà terriblement à toi… » Je souris en coin en posant mon front contre le sien, pour la regarder amoureusement, sans chercher à m’en cacher.
Après avoir longuement discuté dans le bar où elle bossait, nous finîmes par filer chez elle ou nous nous retrouvâmes rapidement dans sa chambre. Là, après avoir rectifié le dessin qu’elle avait fait sur son mur, elle me sauta dessus et me laissa m’asseoir sur le lit, sans la relâcher. Lorsque je me moquai d’elle et lui fis remarquer que je lui avais piqué son auréole, elle fit mine de la récupérer en mentionnant le fait qu’elle se sentait justement nue, sans. L’air de rien, je lui fis remarquer que si elle avait réellement été nue, je m’en serais bien rendu compte tout de même. Je souris de façon attendrie, en la voyant rougir sur le coup. « Hm…Tu serais même peut être en train d’abuser de mon petit corps de sainte… » Je ris quelque peu, en caressant sa joue du côté de mon index, sans la quitter de mon regard attendri et amoureux. « Hm peut-être … Qui sait … ? » Soufflais-je d’une voix taquine. Nous parlâmes par la suite, du fait que je rentrais tard chez moi et donc, du fait que je dormais dans le même lit que Stacy. Je plissai le nez lorsque Lhoà mentionna le fait qu’elle devait se coller à moi et je lui appris que non, mentionnant alors le fait que j’avais la terrible habitude de la pousser pour qu’elle s’éloigne de moi. Je souris en la voyant rire et soupirai de bien être sous ses longs baisers sur mes lèvres. « Hm…. Mais quel mauvais garçon, j’aime ça… » Je ris doucement en lui lançant un regard le plus innocent possible, avant de me mettre à tâter son corps, sans pouvoir m’en empêcher. Je finis par lui demander si j’en avais le droit, avant de l’allonger sur le lit, où j’entrepris de caresser autant ses cheveux, que sa poitrine terriblement tentante. D’une rondeur et d’une taille parfaite, fermes et bien hauts. Un fantasme à eux tout seul, en clair. Je souris en coin en la voyant à la limite de l’évanouissement et lui demandai si ça aller. Elle m’aurait dit que non, que je l’aurais aisément cru tant elle semblait … Ailleurs. Le oui qu’elle parvint à souffler d’une voix qui trahissait le plaisir qu’elle prenait, me fit soupirer et frissonner franchement d’envie. Elle ne tarda pas à craquer à son tour et à me sauter littéralement dessus, pour me retirer ma chemise et tâter franchement mon torse. Je la laissais faire sans broncher, avant de la plaquer à nouveau sur le lit, pour l’embrasser franchement et glisser alors une main sous son haut et sous sa brassière, pour empoigner à nouveau son sein et le caresser avec plus d’insistance encore. D’une voix enrouée par le plaisir certain que je prenais à simplement la caresser, je mentionnai ma lutte interne, pour ne pas lui retirer son haut pour qu’elle soit tout aussi peu vêtue que moi.
Le souffle court et précipité, sous une envie grandissante, je glissai mes lèvres dans son cou, pour suçoter et mordiller fortement sa peau, pour la marquer d’un véritable suçon. « Tu… Tu peux m’enlever le haut si tu veux… » Surpris, je redressai la tête pour la regarder de façon incertaine, avant de reporter mon attention sur sa poitrine. Je finis par me redresser faiblement, pour lui retirer son haut, l’air de rien, la laissant en simple brassière. Je glissai longuement ma main sur son ventre, pour la caresser franchement, avant de glisser à nouveau ma main sous sa brassière, pour empoigner, malaxer et caresser sa poitrine parfaite. Incapable de me retenir plus encore, je vins m’allonger à demi sur elle, mon membre totalement durcit, pressé contre sa hanche, tandis que je logeai ma cuisse entre ses jambes, pour la presser contre son intimité et la frottai avec insistance. Je souris faiblement en la sentant écarter les jambes, pour m’inciter à continuer, ainsi que mes suçons de part sa main sur ma tête. Je souris en coin et obéis en continuant mes caresses avec insistance. Des suçons dans le cou de part ma bouche, une main qui découvrait ses seins et ma cuisse qui titillait son excitation entre ses cuisses. Je lui fis remarquer qu’elle devrait m’interdire d’aller aussi loin la fois d’après. Je n’étais pas certain de pouvoir avoir autant de contrôle par la suite. Même si je ne semblais même pas en avoir à cet instant là, dans le fond. « La prochaine fois, on y est pas encore… La prochaine fois… La prochaine fois… » Je ris doucement en réalisant combien elle était submergée par le plaisir et le désir que je lui procurais. Autant dire que c’était affreusement plaisant et que ça me donnait encore moins l’envie de m’arrêter en si bon chemin. Je soupirai d’aise en la sentant bouger le bassin pour se frotter franchement à moi. Je pressai alors plus franchement ma cuisse contre son intimité, pour la frotter avec insistance en faisant de longs vas et vient, tandis qu’elle posait une main sur l’une de mes fesses, sans que je ne cherche à la repousser. Je la laissais même les tâter, avant de glisser sa main sous mon pantalon. Je redressai la tête pour plaquer à nouveau mes lèvres, content du large suçon sur sa peau, et l’embrassai l’air de rien, avec insistance. Je me figeai fortement en sentant sa main se déplacer, pour se refermer sur mon membre. Je m’étais attendu à tout … Sauf à cela ! Encore moins en sachant qu’elle était vierge et que j’étais très certainement le premier homme avec qui elle faisait ce genre de chose. Je lâchai un franc grognement en même temps que son cri, et ne pu m’empêcher de bouger à peine le bassin, pour l’inciter à continuer sa caresse. « Oh chéri… Je vais m’évanouir… » Je soupirai faiblement en déposant de longs et lents baisers sonores, sur ses lèvres. Je quittai son sein de ma main, pour le faire passer par-dessus sa brassière. « Je suis sûr que non … » Soufflais-je contre ses lèvres avant d’empoigner le haut de sa brassière, que je fis glisser avec lenteur, pour découvrir lentement, ses seins. « Tu me fais confiance ? » Demandais-je d’une voix rendue rauque par le plaisir, avant de baisser lentement la tête, pour venir lécher lentement ses seins, que je mordis ensuite à pleine bouche. Je laissai échapper un bref gémissement et la mordis avec plus d’insistance, tirant sur sa brassière avec plus d’insistance, jusqu’à la faire craquer. Je posai un regard innocent sur Lhoà, en lâchant un long gémissement d’envie.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 11 Mar - 14:34
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Nolan & Lhoà
« Le moindre prétexte pour profiter de la vue, sera le bienvenue … » Riant faiblement en fermant les yeux je soupirais longuement en me collant bien contre lui, fourrageant lentement ses cheveux en souriant de plus belle. Je me sentais déjà proche de lui et c’était bien cela que j’aimais chez lui, chez nous… Est-ce que nous étions faits pour nous rencontrer ? Peut être bien dans le fond… Et c’était là, encore plus plaisant… « Petit pervers… J’aime ça… » Soufflai-je en déposant un rapide baiser humide sur ses lèvres. Parlant de son entreprise de son père mais aussi d’enfant et de sa femme, j’appris de plus en plus dans quelle relation je m’engageais. Pas d’enfant, pas de mariage, pas de vie commune. Une relation secrète pour toujours… J’allais surement en souffrir et je le savais… « Plutôt mourir que lui faire un enfant … Elle a … Elle a déjà une fille tu sais … C’est une mère horrible, en plus d’être épouse et une femme horrible. Et si je suis asthmatique c’est à cause d’un tas de soucis que j’ai eus dans le passé. L’asthme c’est la seule chose qu’il me reste et tant mieux … Pendant longtemps on ignorait comment ma santé finirait par aller. Il a tout fait pour avoir un second fils, en vain. » Surprise, j’écarquillais les yeux en entrouvrant la bouche. Elle avait déjà une fille…Je faisais rapidement le calcul depuis le temps qu’il était marié et sa fille… Sa fille avait quel âge ? L’âge de Nino ? Plus grande ? Mon âge ? Mon cœur se serrait avec violence. Est-ce qu’il l’aimait ? Est-ce qu’il était proche de cette fille ? Est-ce qu’il… Plein de question se déroulaient dans ma tête, et je sentis mon sang battre à fond dans ma tête. Déglutissant longuement, je le pris dans mes bras, cachant mon visage dans son cou.
« Elle a quel âge ? Nolan, ne dis pas ça, tu m’as à présent, d’accord ? Je suis là, et moi je te rendrais heureux autant que je le peux… Je ferais tout pour te donner une vie meilleure, du haut de mes petits dix-sept ans… Je t’entrainerais dans ma folie, je te ferais sourire, rire aux éclats, je te changerai la vision sur le monde, je ferais battre ton cœur comme jamais il n’a battu… Mon Nolan… » soufflai-je en le serrant fortement contre moi. Une fois fini de papoter, on fila chez moi, passant par la cuisine avant de faire brièvement visiter ma maison et partir dans ma chambre. Le rajoutant dans mon dessin une fois qu’il m’eut donné une idée, je me jetais sur lui enlaçant mes jambes à sa taille alors qu’il nous posait sur le lit, m’annonçant alors qu’il m’avait piqué mon auréole, je fis mine de la récupérer, en disant que je me sentais nue sans cela. Il me fit remarquer que si je l’avais été il l’aurait remarqué et je ne pus m’empêcher de dire qu’il m’aurait surement déjà dévoré… « Hm peut-être … Qui sait … ? » souriant en coin en frottant son nez du mien, je lui lançais un regard franchement amoureux pour le coup, déposant de faible baiser humide en soupirant de bien-être. Je ne voulais pas trop imaginer cette scène là, pas pour le moment, c’était pour bien plus tard, je savais qu’un jour il me dévorerait, j’en restais persuadée… Et je profiterais parfaitement de ce moment… Nous embrassant fortement et avec insistance il me demanda s’il pouvait donc me toucher. Je ne pus que répondre oui, la curiosité et la confiance m’envahissant tout à coup. Me plaquant contre le lit, je le laissais faire, me palpant les seins mais aussi les fesses, je ne pu me retenir, et me colla contre lui pour lui enlever la chemise qu’il portait. LE contemplant un moment touchant et tâtant son corps avec envie, j’étais folle de son corps, j’aimais le découvrir avec envie et désir. Me plaquant plus fermement contre le lit, je le laissais faire alors qu’il m’annonça qu’il était torse nue et qu’il se retenait de me faire pareil. Je lui fis remarquer qu’il pouvait m’enlever le haut, ce n’était pas un souci, loin de là même… Croisant son regard incertain, je lui fis un faible sourire, le laissant alors m’enlever le haut. Des frissons se logeant sur mon corps, lorsqu’il caressa mon ventre puis empoigna à nouveau mon sein pour le malaxer un long moment. Venant à moitié sur moi, je sentis sa cuisse se frotter contre mon intimité, alors que son membre se logeait sur ma hanche.
Ses suçons dans mon cou, je penchais la tête en arrière pour le laisser faire un moment avant qu’il ne revienne m’embrasser. Sans plus pouvoir tenir, je posais une main sur ses fesses, sous son pantalon avant de le dériver vers son membre l’empoignant sans plus pouvoir me retenir. Je voulais qu’il puisse ressentir ce qu’il était en train de me faire. Qu’il meurt avec moi. Entendant son grognement, je le sentis bouger le bassin, signe qu’il fallait que je continue, ce que je fis sans perdre de temps lui annonçant que j’allais m’évanouir. « Je suis sûr que non … » Inspirant longuement, manquant terriblement d’air, je le regardais, ma vision se troublant sous le coup, totalement sonné, je sentis l’air frais recouvrir un de mes seins. Surprise, je penchais ma tête pour voir ma poitrine apercevant un de mes seins. Je n’aurais jamais cru que l’on irait si loin, si on en avait parlé avant de venir je n’aurais jamais cru et j’en aurais ris…Tremblant en sentant mon sein durcir, je relevais le regard vers lui. « Tu me fais confiance ? » Sans même avoir le temps de répondre, je le sentis glisser ma brassière par-dessous mes seins, les dévoilant tous les deux, avant de sentir ses lèvres sur ceux-ci. Me figeant, je cambrais avec franchise mon dos sur le coup en penchant ma tête en arrière. Un afflux de plaisir m’envahissait rapidement, sentant mon corps, frissonner, des fourmis dans tous les corps. Ses morsures me faisant gémir et crier de plaisir, je posais une main sur ses cheveux les lui tirant, mon autre main serrant avec force et envie son membre totalement durcit de plaisir. Faisant de brefs mouvements de vas et vient par-dessus son boxer, je tremblais de plus en plus sous ses morsures et ses mouvements de sa cuisse sur mon intimité. Tremblant de plus en plus mes dents claquant faiblement, je le regardais faire, voyant plus ou moins les traces qu’il faisait sur ma poitrine. Cambrant le dos en poussant de long cri de plaisir, j’espérais sincèrement que personne ne puisse m’entendre. « Oh bon sang… J’aime te faire confiance… Oh bon dieu… Oh Nolan… » Murmurai-je d’une voix coupée par le désir, serrant ma jambe sur la sienne, serrant bien mes cuisses en bougeant pour amplifier les mouvements de sa cuisse sur mon intimité. Ma main caressant son membre entièrement, le tâtant, le palpant le découvrant je glissais plus au sud, touchant à tout, voulant découvrir l’homme, celui qui était en train de me donner un plaisir fou. Tremblant de plus en plus, plaquant faiblement un peu plus sa tête sur mes seins je sentis un plaisir monter, une chaleur incertaine dans tout mon corps. Mon cœur battant franchement, j’haletais sans trop comprendre ce qu’il se passait. Le plaisir montant, encore et encore, je compris rapidement ce qui allait se produire. Surprise et choquée, je m’agrippais à lui me cambrant comme jamais, ma main s’accentuant sur son membre, je me laissais envahir par un orgasme. Le premier, tremblant, les spasmes m’empêchant de respirer, je murmurais son prénom à plusieurs reprises, sentant la sueur perler sur mes tempes, la chaleur envahissant mon bas ventre, j’étais en extase, je planais, j’étais ailleurs, je devenais femme.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 11 Mar - 17:45
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Petit pervers… J’aime ça… » Je ris quelque peu en plissant faiblement le nez sur le coup. Je n’étais en rien un pervers. Du moins c’était ce que j’avais toujours pensé et continuais de penser. Néanmoins, je ne pouvais pas nier que cette jolie et merveilleuse jeune femme, me donnait terriblement envie de plus, toujours plus. Et dans l’immédiat, ce que je désirais le plus, c’était de la voir, de voir son corps, de pouvoir l’admirer tout simplement. Elle était d’une beauté à couper le souffle et de ce que je pouvais voir et deviner, son corps était tout autant parfait que sa personnalité et son si beau visage. Personne n’aurait le culot de le nier … N’est-ce pas ? « Moi ? Pas du tout … J’admire simplement … Ta plastique … » Finis-je par avouer sans trop de gêne, en baissant un bref regard qui voulait absolument tout dire, sur son corps divin, aux formes parfaites et envoûtantes. Je ne pouvais pas lui cacher combien je la trouvais parfaite … Et je ne cherchais même pas à le faire à vrai dire. Toujours dans ce bar qui se trouvait être un parmi tant d’autres, nous parlions de tout et de rien. Et je finis par lui expliquer clairement, comment j’étais devenu PDG et pourquoi j’étais marié à une femme que je n’aimais pas le moins du monde. Je finis même par lui avouer que j’étais beau-père d’une fille, oubliant simplement de préciser que c’était encore tout nouveau. « Elle a quel âge ? Nolan, ne dis pas ça, tu m’as à présent, d’accord ? Je suis là, et moi je te rendrais heureux autant que je le peux… Je ferais tout pour te donner une vie meilleure, du haut de mes petits dix-sept ans… Je t’entrainerais dans ma folie, je te ferais sourire, rire aux éclats, je te changerai la vision sur le monde, je ferais battre ton cœur comme jamais il n’a battu… Mon Nolan… » Je soupirai d’aise en la serrant fortement contre moi, alors qu’elle venait tout juste d’enfouir son visage dans mon cou. J’enfouis faiblement le mien au creux de son cou en lâchant un long soupir de bien être, mes mains allant et venant de ses reins à ses omoplates, pour la caresser avec lenteur et insistance. « Elle va sur ses dix sept ans … Stacy l’a eut jeune. Très jeune … Tu me fais déjà sourire et rire ma beauté, tu sais … C’est sans doute une des choses qui m’ont le plus fait craquer chez toi … » Soufflais-je d’une voix douce, en pressant alors mes mains dans son dos, pour la serrer bien fortement et étroitement, contre moi.
Par la suite, nous prîmes la décision de nous rendre chez elle, ce que nous fîmes donc sans trop tarder. Une fois arrivés, nous filâmes presque directement dans sa chambre, où nous ne tardâmes pas à nous retrouver sur son lit, elle assise sur moi et ses jambes enroulées autour de ma taille. Après nous être taquinés l’un et l’autre, je ne pu me retenir bien longtemps, avant de tâter longuement son corps puis rouler sur le lit, pour tâter franchement sa poitrine et ses fesses en l’embrassant avec tendresse. Elle perdit à son tour les pédales, lorsqu’elle se redressa pour me retirer ma chemise avec franchise. Totalement sonné par un désir fort et incontrôlable, je la plaquai à nouveau sur le lit, pour l’embrasser fiévreusement. Là, je lui fis remarquer que je luttais contre moi-même, pour ne pas la déshabiller autant que je l’étais moi-même. Elle me souffla alors que je pouvais lui retirer son haut. Après une brève hésitation, j’obéis et la laissai ainsi en simple brassière. Tout en suçotant alors fortement la peau de son cou pour y faire apparaître un grand suçon, je plaçai une cuisse contre son intimité, que j’entrepris de frotter avec insistance, et plaquai quelque peu mon membre, contre sa hanche. Après de longues minutes d’une telle torture, je me redressai et plaquai franchement mes lèvres sur les siennes, pour l’embrasser fiévreusement, tandis que sa main venait se loger sur mes fesses, pour les tâter franchement, s’immisçant ensuite sous mon pantalon, pour les tâter plus encore. Je lâchai un bref et fort grognement excité, lorsque sa main vint se loger sur mon membre et je bougeai le bassin avec lenteur, pour l’inciter à continuer sa caresse. Dans un même temps, je finis par craquer plus encore et lui demander si elle me faisait confiance. Sans trouver la patience d’attendre une réponse de sa part, j’empoignai le haut de sa brassière, pour la faire glisser sous sa poitrine et ainsi libérer ses seins terriblement tentant, que je rêvais plus que jamais, de dévorer de ma bouche. Ce que je fis sans trop d’ailleurs, logeant mes lèvres sur sa poitrine. Je gémis faiblement en la sentant se cambrer plus que jamais, et entrepris de lécher et mordre ses seins, à pleine bouche. Je lâchai un bref gémissement excité, en sentant sa main tirer mes cheveux avec franchise, tandis que l’autre empoignait et serrait franchement mon membre totalement durcit. Je titillai plus franchement encore, son intimité, de ma cuisse, la frottant bien et sans ménagement, pour lui donner le plus de plaisir possible. Je gémis une nouvelle à son franc cri de plaisir, suçotant alors ses seins avec insistance et les titillant parfois de la pointe de ma langue.
« Oh bon sang… J’aime te faire confiance… Oh bon dieu… Oh Nolan… » Je souris faiblement en relevant le regard vers elle, pour la voir prendre du plaisir, sans pour autant calmer mes caresses ni les ralentir d’aucune façon que ce soit. Je tremblais franchement sous le désir puissant qui bouillonnait en moi et la laissais resserrer ses cuisses autour de la mienne, pour se frotter plus encore à moi, tandis que sa main empoignait, tâtait et palpait franchement mon membre. J’avais beau savoir que je n’allais pas tarder à finir totalement frustré, je refusais de cesser tant tout cela était trop bon et trop magique pour être arrêté. Je la regardai avec plus d’insistance lorsqu’elle se cambra plus encore, se contracta, cria plus fort et resserra sa main sur mon intimité et sur mes cheveux. Aux spasmes réguliers et puissants de son corps, je n’eus pas trop de mal à comprendre qu’elle était en train de jouir. Ce qui suffit à me satisfaire au plus haut point et à me procurer un plaisir certain. Même sans jouir, bien entendu. Je souris en coin et caressai son intimité avec moins d’insistance, léchant ses seins avec lenteur et tendresse, comme pour me faire pardonner des marques bien présentes et visibles à présent. Je me redressai ensuite quelque peu, remis sa brassière en place et me replaçai bien au dessus d’elle, pour déposer de lents et tendres baisers sur ses lèvres. « Si je te demande si ça va … je suppose que tu me réponds que tu es morte ? » Demandais-je d’une voix tendre, tout contre ses lèvres, en tremblant faiblement de désir encore. Avec lenteur, j’attrapai son poignet pour lui retirer lentement sa main de mon pantalon. Je glissai mes mains dans les siennes, pour entremêler nos doigts, les lui planquant ensuite sur le lit, au dessus de sa tête, frottant mon nez contre le sien et déposant de tendres baisers sur ses lèvres. « Tu ne m’as pas arrêté … Tu regrettes pas hm ? » Demandais-je ensuite, d’une voix toujours aussi douce, en continuant mes lents baisers sur ses lèvres. Après un moment ainsi, à l’embrasser avec tendresse et à caresser ses mains des siennes, je finis par rouler sur le lit, pour me retrouver sous elle et enrouler mes bras autour de sa taille, pour bien la serrer contre moi.[colo=teal] « Finalement, la superficie impressionnante de cette villa, c’est pas une si mauvaise idée. A l’avenir … Ca pourrait même nous rendre un fier service. »[/color] Soufflais-je l’air de rien, bien que mes mots soient chargés de sous entendus qu’elle comprendrait sans doute aisément.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 11 Mar - 20:30
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Nolan & Lhoà
« Moi ? Pas du tout … J’admire simplement … Ta plastique … » Haussant un sourcil, je levais les yeux avant de me regarder rapidement. Ma plastique. C’était vrai que j’avais tout de même un jolie corps, bon il y avait mieux, je n’en doutais pas non plus… « Ma plastique ? Tu aimes tant que ça mon corps ? Mes petits seins ? Mes fesses ? Tout, tout, tout ? » Demandai-je en souriant en coin, j’étais heureuse qu’il puisse tant aimer mon corps. Parlant par la suite de son entreprise, de son père, de la façon dont il l’avait obtenue et surtout les conditions, j’appris petit à petit que j’étais vraiment coincée dans cette relation et que nous ne serions jamais, non jamais un couple normal. Pour le moment je disais oui, après, ça serait à moi de prendre assez de courage et de force pour supporter tout cela… Je l’aimais, j’en étais capable… Même en apprenant que sa femme avait déjà une fille… « Elle va sur ses dix-sept ans … Stacy l’a eu jeune. Très jeune … Tu me fais déjà sourire et rire ma beauté, tu sais … C’est sans doute une des choses qui m’ont le plus fait craquer chez toi … » Boguant, en entrouvrant les yeux, je me sentis terriblement de trop. Dix-sept ans, elle allait avoir mon âge… Bon dieu nous n’avions qu’un petit an d’écart, comment pouvait-il me vouloir ? il devait assister à des crises d’ados, des cris en tout genre, alors pourquoi s’embarquer avec moi ? Même si je le fais rire et sourire… Il savait qu’un jour ou l’autre j’agirais telle une gamine pour certaines choses, puisque c’était bel et bien ce que j’étais dans le fond… Frissonnant lentement je fermais les yeux en déposant un lent baiser sur la peau de son cou. « J’ai qu’un an de plus qu’elle…Comment tu fais pour ne pas avoir peur que je fasse des crises d’ados, comme tu dois surement subir avec elle ? Tu dois… Elle doit être comme ta fille… » Marmonnai-je doucement.
« C’est vrai ? C’est quoi les autres choses qui t’ont fait craquer alors ? » Demandai-je curieuse en souriant en coin. Après quelques minutes à bavarder, on fila chez moi, passant par la cuisine puis direction ma chambre. Une fois-là, on perdit vite le contrôle, du moins lui. Me touchant, me caressant, en me plaquant bien sur le lit, il me fit perdre le contrôle à mon tour. Lui enlevant la chemise pour le contempler et le tâtais, il m’enleva mon haut une fois mon autorisation donné. Me caressant la poitrine par-dessous mon brassière, il me l’a tira vite, à tel point qu’elle craqua. Elle était foutue. Le laissant me lécher, mordre et sucer les seins, je crus longuement mourir, tandis que moi, je profitais pour tâtais son membre durcit à travers son boxer. C’était bon, parfait, l’apothéose. Sa cuisse sur mon intimité, se frottant franchement, je sentis le plaisir rapidement monter, monter, et monter, au point ou l’orgasme s’immisça en moi. Tremblant, je le sentis devenir plus doux et lent avec moi. Sa salive sur mes seins, sa cuisse entre les miennes, je le regardais faire, avant de sentir mes seins s’envelopper sous la brassière. J’aimais terriblement qu’il puisse autant s’occuper de moi de la sorte. S’approchant pour m’embrasser je le laissais faire, a bout de souffle, se glissant alors entre mes cuisses pour venir sur moi. Paradis. « Si je te demande si ça va … je suppose que tu me réponds que tu es morte ? » Riant doucement à sa question, je fermais les yeux, essayant de récupérer un souffle à peu près potable, histoire de pouvoir calmer les battements trop rapide de mon cœur. Ma main se serrant lentement sur son membre, je sentis sa main m’attraper par le poignet pour m’enlever la main. Poussant un gémissement de contestation en serrant un peu plus son membre, j’abandonnais bien trop faible. Entremêlant nos doigts, j’entrouvris les yeux pour le regarder avec amour totalement sonné par un plaisir certains.
« Tu ne m’as pas arrêté … Tu regrettes pas hm ? » Ses lents baisers sur mes lèvres, me firent entrouvrir la bouche, son nez contre le mien, je restais toujours inerte sans rien dire, sans rien faire, cherchant à vivre, à me sortir de cette tuerie qu’il venait d’opérer contre moi. Ronronnant lentement, je sentis mon corps venir contre le sien, nos positions changeant alors. Allongée sur lui, je posais lentement ma tête sur son torse, sentant alors son cœur battre contre celle-ci. Ses bras autour de ma taille, un soupire de bien être sorti de ma bouche. Je voulais bien dormir de la sorte. Oui je voudrais bien, mais je savais qu’il devait partir… Glissant mes mains dans ses cheveux je les lui fourrageais en restant silencieuse un long moment. « Je suis totalement morte… Tu as raison, tu as été la cause de ma perte chéri… C’était… Hmpf, fabuleux, y’a pas de mot pour décrire ce que je viens de vivre, ce que nous venons de vivre… » Marmonnai-je doucement en fermant les yeux me blottissant un peu plus contre lui. « Comment regretter ? J’ai trop aimé ça…Apprend moi, montre-moi… Je serais une bonne élève… Encore plus en sachant que… Ma villa est bien grande oui… si demain on me dit rien, j’aurais de la chance… » soufflai-je en riant doucement, glissant une main sur ses torse, m’amusant avec l’un de ses tétons. Restant longuement silencieuse, je me redressais sur lui en venant poser mon front contre le sien plongeant alors mon regard dans le sien, déposant de lent baisé sur ses lèvres, gardant mes lèvres contre les siennes sans pouvoir m’en empêcher. « Je t’aime Nolan… » Murmurai-je doucement en rougissant sous le coup. C’était la première fois que j’étais amoureuse… Et encore plus que je l’annonçais…
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 11 Mar - 23:13
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Ma plastique ? Tu aimes tant que ça mon corps ? Mes petits seins ? Mes fesses ? Tout, tout, tout ? » Je ris faiblement en parcourant son corps du regard, m’attardant sur ses seins avec insistance. L’air de rien, je tirai faiblement l’encolure de son débardeur, pour faire mine de regarder dessous, avant de me replacer contre le dossier de la banquette, en relevant le regard vers elle, faisant totalement mine de rien. « Petits seins ? Ils sont de bonnes tailles quand même … » Lui fis-je remarquer, d’une voix taquine, en baissant un nouveau bref regard sur ses seins, avant de la regarder à nouveau. « Mais oui, j’aime vraiment ton corps. Tes seins de bonne taille, ton ventre plat, ta taille fine, tes hanches marquées, tes jolies fesses rebondies, tes longues jambes fines et délicieusement galbées. Oui, j’aime tout ça sur ton corps … » Lui dis-je sans ciller et le plus naturellement du monde. Lui cacher le fait que je trouvais son corps tout bonnement parfait, serait tellement idiot, que je ne tentais même pas. Elle était purement divine à mes yeux, pour ne pas dire plus que ça. Elle me faisait un effet fou même, à vrai dire. Après cela, nous parlâmes de mon mariage et des raisons de l’existence de celui-ci. Je finis même par mentionner la fille de Stacy, Sarah. Cette fille de seize ans, que je devais supporter tous les jours, malgré son foutu caractère et ses habitudes douteuses. J’avais bien tenté de prévenir Stacy, que sa fille se droguait, elle avait refusé de me croire. Autant dire que c’était frustrant de voir cette gamine d’à peine seize ans, rentrer totalement défoncée et de ne rien pouvoir faire. D’un autre côté, je me foutais un peu de savoir ce qui pouvait lui arriver. Elle était une véritable horreur, totalement insupportable. Je soupirai de bien être lorsqu’elle enfouit son visage dans mon cou et y déposa de lents baisers. « J’ai qu’un an de plus qu’elle…Comment tu fais pour ne pas avoir peur que je fasse des crises d’ados, comme tu dois surement subir avec elle ? Tu dois… Elle doit être comme ta fille… » Je me figeai faiblement sur le coup. C’était tout de même … Choquant, d’entendre un truc pareil, alors qu’il était question de Sarah. Comment pourrais-je considérer cette … Fille, comme si elle était la mienne ?
« Tu es mature … Terriblement mature. Et même si tu te mettais à faire une crise d’adolescence, je doute que ce soit le même genre qu’elle. Et je suis bien incapable de la considérer comme ma fille. Elle est … A l’image de sa mère. En pire. Son passe temps favoris semble être celui de faire de ma vie un enfer. » Soupirais-je d’une voix lasse tant j’avais de plus en plus de mal à supporter cette vie que je menais, entre deux femmes totalement insupportables. Elles semblaient s’être fait passer le mot, pour jouer à celle qui fouterait le plus ma vie en l’air, possible. « C’est vrai ? C’est quoi les autres choses qui t’ont fait craquer alors ? » Je me redressai pour la regarder et fronçai les sourcils, pour faire mine de me concentrer, comme si je réfléchissais intensément, pour tenter de trouver ce qui m’avait fait craquer chez elle, en dehors du fait qu’elle était capable de me faire sourire et rire. « Hm … Je sais pas … Sans doute ton corps. Ouais voilà, ton humour et ton corps ! » Lâchais-je l’air de rien, en tentant de garder mon sérieux le plus possible. Mais je finis par rire faiblement et plisser le nez. « Plus sérieusement … Ton humour, ta maturité, ta conversation, ton intelligence, le fait que tu sois sérieuse, posée … Et tout ce qui fait que tu es toi … » Soufflais-je d’une voix douce, en caressant lentement sa joue. Après quoi, nous quittâmes le bar pour nous rendre chez elle. Nous fumes rapidement dans sa chambre, sur son lit, à nous embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme de ma vie. Je finis par craquer pour de bon lorsque je découvris sa poitrine, que j’entrepris de lécher, mordre et mordiller avec insistance, mon membre totalement durcit plaqué contre sa hanche et ma cuisse frottant son intimité avec insistance. Je soupirai d’aise lorsqu’elle jouit après un long moment de ces caresses. Avec lenteur, je me redressai pour l’embrasser avec tendresse. Se faisant, je remis sa brassière en place et m’allongeai doucement sur elle, lui demandant si ça allait, avant de mentionner le fait qu’elle m’avait laissé faire. J’osais espérer que ça signifiait qu’elle ne regrettait rien. Je souris en coin lorsqu’elle entrouvrit ses lèvres, sous mes tendres baisers. Je refermai les miennes sur sa lèvre inférieure, pour la suçoter avec douceur et tirer dessus faiblement.
Je finis par pivoter pour qu’elle se retrouve sur moi et moi allongé sur le dos. Je soupirai d’aise en la sentant se blottir contre moi, sa tête sur mon torse et j’enroulai mes bras autour de sa taille, pour la serrer faiblement contre moi. « Je suis totalement morte… Tu as raison, tu as été la cause de ma perte chéri… C’était… Hmpf, fabuleux, y’a pas de mot pour décrire ce que je viens de vivre, ce que nous venons de vivre… » Je ris doucement en posant mes mains à plat sur son dos, la caressant longuement et tendrement, mes mains se glissant parfois son sa brassière. Je soupirai de bien être en profitant pleinement de sa peau outrageusement douce, montant en la caressant et redescendant en la griffant doucement, avec un plaisir sans faille. « Tu es merveilleuse ma Mily. Parfaite, divine … J’ai aimé te regarder prendre plaisir. » Soufflais-je d’une voix douce en continuant de caresser son dos, sans me lasser, allant parfois à sa taille, avant de glisser sous son short, pour caresser le haut de ses fesses. « Comment regretter ? J’ai trop aimé ça…Apprend moi, montre-moi… Je serais une bonne élève… Encore plus en sachant que… Ma villa est bien grande oui… si demain on me dit rien, j’aurais de la chance… » Je ris doucement en continuant de monter mes mains sur son dos, pour redescendre en la griffant avec lenteur, sans pouvoir m’en lasser. Je finis par glisser mes mains plus bas encore, pour les loger sur l’arrondis de ses fesses, sans plus bouger. « C’était que le début alors, ma jolie … J’aime que tu aies pu … Me désirer autant … Promis, j’en jouerai pas, pour tenter d’accélérer les choses. » Lâchais-je l’air de rien, avant de rire doucement et pincer ses fesses de mes doigts. « Bof, je doute qu’ils aient entendu quoi que ce soit. » Ajoutais-je doucement. Je souris quelque peu en coin en la sentant pincer l’un de mes tétons avec lenteur avant de se redresser pour poser son front contre le mien et plonger son regard dans le mien. Je souris en coin et frissonnai de bien être sous ses longs et tendres baisers et remontai mes mains sur ses omoplates, pour la serrer tendrement contre moi. « Je t’aime Nolan… » Totalement surpris, pour ne pas dire choqué, j’entrouvris les lèvres sur le coup et laissai échapper un bref gémissement de surprise et de plaisir. Je posai rapidement mes mains sur ses joues, pour les serrer avec douceur et presser fortement mes lèvres sur les siennes. Je ne m’étais finalement pas attendu à ce qu’elle me le dise, malgré ma forte envie de l’entendre. « Je t’aime aussi Lhoà. Tu m’as totalement envoûté au premier regard … » Soufflais-je tout contre ses lèvres, en enfouissant mes mains dans ses cheveux, pour les lui fourrager et caresser avec insistance. Je plaquai par la suite, mes lèvres sur les siennes, pour l’embrasser fiévreusement, en plaquant bien mes lèvres contre les siennes et glisser totalement ma langue dans sa bouche sur le coup. Le souffle court et précipité sous un désir grandissant, je relâchai ses lèvres pour plonger mon regard dans le sien. « Va vraiment falloir qu’on trouve une occupation là … » Marmonnais-je avant de rire doucement en ébouriffant franchement ses cheveux sur le coup, sans la quitter de mon regard brillant de désir.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Lun 12 Mar - 1:35
₪ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART AND A RIOT ABOUT TO EXPLODE INTO FLAMES
Nolan & Lhoà
« Petits seins ? Ils sont de bonnes tailles quand même … » Rougissant violemment je posais mes mains sur mes seins sur le coup entrouvrant la bouche. Je m’étais attendu à tout sauf à cela. « Mais oui, j’aime vraiment ton corps. Tes seins de bonne taille, ton ventre plat, ta taille fine, tes hanches marquées, tes jolies fesses rebondies, tes longues jambes fines et délicieusement galbées. Oui, j’aime tout ça sur ton corps … » Gémissant lentement, je repensais encore à son geste, soulever mon débardeur pour voir plus ou moins dessous, même si la brassière cachait… Il avait une belle vue. Mon cœur battant la chamade, je lâchais un doux rire en soupirant longuement. « T’es fous, j’ai failli m’évanouir d’un trop plein de plaisir… Je suis fragile aussi… Je suis sûre que mes seins et mes fesses rentreront parfaitement dans tes mains… Finalement tout le sport que je pratique à bon effet… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard amusé. Parlant de sa femme, de son père de l’entreprise mais aussi de sa belle-fille, donc la fille de sa femme, je posais des questions puisqu’elle avait tout de même qu’un an de moins que moi… ça devait… Faire bizarre, moi ça me perturbait un peu… « Tu es mature … Terriblement mature. Et même si tu te mettais à faire une crise d’adolescence, je doute que ce soit le même genre qu’elle. Et je suis bien incapable de la considérer comme ma fille. Elle est … A l’image de sa mère. En pire. Son passe-temps favoris semble être celui de faire de ma vie un enfer. » Plissant le nez, je caressais lentement sa joue en soupirant longuement. « Le genre de peste quoi ? Genre elle a tout ce qu’elle veut et j’en passe quoi ? Elle est dans quel lycée ? Privé ou public ? S’il faut je l’a connais… Et je te rassure… Mes crises d’ados se résument à… De nouveau cahier pour mes dessins, ou de la peinture… Ou des craies… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard quelque peu taquin. « Hm … Je sais pas … Sans doute ton corps. Ouais voilà, ton humour et ton corps ! » Haussant franchement un sourcil, je mordis lentement ma langue avant de sourire en coin. Je savais qu’il blaguait, je commençais un peu à le connaitre…
« Plus sérieusement … Ton humour, ta maturité, ta conversation, ton intelligence, le fait que tu sois sérieuse, posée … Et tout ce qui fait que tu es toi … » Frissonnant longuement je fermais lentement les yeux, aimant terriblement entendre cela. J’étais posé et sérieuse, c’est vrai que pour une fille de mon âge c’était tout de même rare, voir même quasi inexistant… Si j’avais été plus volage je doute que tu sois venu ce soir pas vrai ? De toute façon je ne suis pas comme ça, et à défaut de pouvoir vivre une relation complète et pleine avec toi, je veux tout de même me poser avec toi… Tu le sais hum ? » Finissant de parler, on fila rapidement chez moi, ou on perdit le contrôle de nos corps. Le laissant faire, me caressant, me faisant découvrir les joeis des caresses sexuelles et sensuelle, je lui enlevais bien vite la chemise avant qu’il ne m’enlève le haut pour baisser ma brassière et me lécher, mordre, suçoter mes seins. Ne se privant pas, sa cuisses contre mon intimité, je jouis rapidement sans comprendre quoi que ce soit tellement se fut bon. Le souffle haletant, le cœur battant vite, il nous tourna de façon à ce que je sois allongée sur lui, me demandant si tout allait bien tout en caressant mon dos, le griffant de temps en temps. « Tu es merveilleuse ma Mily. Parfaite, divine … J’ai aimé te regarder prendre plaisir. » Rougissant violemment sous le coup, je baissais le regard ne sachant plus trop ou me mettre. J’aimais terriblement qu’il puisse me dire ce genre de chose, mais c’était tellement nouveau, il était tout de même le premier, et encore plus à voir mon corps de la sorte. Je n’avais jamais montré mes seins à quelqu’un… J’étais loin de bronzer en topless l’été… Sentant ses mains caresser mon dos, le griffer par moment, je le laissais faire avant de sentir ses mains glisser sous mon short pour les poser avec lenteur sur mes fesses. C’était terriblement plaisant de savoir et sentir ses mains là tout de même. « C’est vrai ? J’étais si belle que cela ? » Demandai-je doucement en soupirant lentement caressant longuement un de ses tétons en souriant de plus belle, aimant le voir faiblement réagir sous ma caresse. Sans perdre de temps je lui fis remarquer que je ne pourrais jamais regretter ce que nous venions de faire, c’était bien trop bon… Vraiment…
« C’était que le début alors, ma jolie … J’aime que tu aies pu … Me désirer autant … Promis, j’en jouerai pas, pour tenter d’accélérer les choses. » Frissonnant sous son pincement sur mes fesses je lui fis un grand sourire en plongeant mon regard dans le sien. « Bof, je doute qu’ils aient entendu quoi que ce soit. » Déposant un lent et long baiser sur ses lèvres je restais un moment de la sorte avant d’entrouvrir les yeux. « Ne t’inquiète pas… Je me suis senti parfaitement à l’aise avec toi là… Je n’aurais d’ailleurs jamais cru l’être autant… Alors, tu attendras peut être moins longtemps que prévu… Et moi aussi j’aime que tu puisses me désirer autant… Je te dirais ça la prochaine fois que l’on se verra… » soufflai-je en souriant fortement avant de coller mon front contre le sien. Sans perdre de temps sans le quitter du regard je lui murmurais alors que je l’aimais. Interceptant son regard surpris et choqué, je me mis à sourire en coin, attendant alors de voir ce qu’il me répondrait, mais j’aimais déjà terriblement sa réaction, ses mains se resserrant sur moi pour me coller bien à lui. Puis ses mains se posant sur mes joues me collant bien contre son visage, je lâchais un bref petit cri de plaisir en souriant l’embrassant autant qu’il m’embrassait. « Je t’aime aussi Lhoà. Tu m’as totalement envoûté au premier regard … » Frissonnant longuement sous ses paroles, mon cœur s’emballant avec intensité, je fermais les yeux sous ses baisers intenses. Ses lèvres bien plaqué contre les miennes, je l’embrassais avec force et envie à mon tour. Nos langues se rencontrant, je gémissais doucement en me mouvant faiblement contre lui, remontant pour mieux l’embrasser, soupirant de bien être sous ses mains caressant alors mes cheveux. S’il savait comme il m’avait envouté aussi dès notre première rencontre… « Va vraiment falloir qu’on trouve une occupation là … » Haussant un sourcil, je me mis à rire avant de me redresser faiblement caressant le bout de son nez de mon index. « Si tu m’avais laissé finir… tu n’aurais plus la force d’avoir envie… » Murmurai-je lentement en donnant un faible coup de langue sur ses lèvres. Me relevant sans rien dire, je filais vers ma commode pour me mettre à fouiller dedans. Prenant mes premiers BD datant de pas mal de temps déjà, je fermais le tiroir avant de venir m’assoir sur le lit posant les cahiers sur le lit avant de m’allonger sur le ventre. « Tu voulais voir mes arts ? Voici mes premières BD. Bon j’avais à peine dix ans dans ces eaux-là donc… Les dessins ne sont pas non plus fabuleux… » soufflai-je lentement avant de lui lancer un regard amoureux en souriant en coin regardant furtivement son torse, n’ayant moi-même pas prit la peine de me rhabiller… Pourquoi faire ? On était bien de la sorte…
“ J. Nolan Edgecombe ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Lun 12 Mar - 10:22
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« T’es fou, j’ai failli m’évanouir d’un trop plein de plaisir… Je suis fragile aussi… Je suis sûre que mes seins et mes fesses rentreront parfaitement dans tes mains… Finalement tout le sport que je pratique à bon effet… » Je ris quelque peu sur le coup, en levant vaguement les yeux au ciel. Cette fille était trop craquante, trop mignonne, trop touchante, trop…Beaucoup de choses. Elle me faisait ouvertement perdre la tête et bien plus encore. Comment ne pas perdre la tête, en même temps, avec une fille comme elle ? Non, plutôt, avec cette fille là précisément ? C’était tout bonnement impossible, bien entendu. L’air de rien, je vins glisser mes doigts sur l’encolure de son haut, passant sur sa peau que je caressai du bout des doigts, avec lenteur et sans la quitter un seul instant du regard. « Oups … Tu me pardonnes, pour ça ? » Demandais-je d’une voix douce et caressante, pour la taquiner un tant soit peu et lui faire perdre un peu plus l’esprit encore, si tant est que se fut possible. Mais si je lui faisais autant d’effet qu’elle-même m’en faisait, alors peut-être que oui, il y avait des chances. « Hm et je suis sûr que mes mains s’y logeront fort souvent … » Ajoutais-je d’une voix coquine, en souriant quelque peu en coin l’air de rien, sans jamais la quitter du regard. Quand il fut question de la fille de Stacy, je fus franchement surpris que Lhoà puisse se comparer à elle. La seule chose qu’elles avaient en commun, était leur âge et encore. Bref, autant dire que ce n’était vraiment pas suffisant pour une telle comparaison et cela me semblait pourtant évident à moi … « Le genre de peste quoi ? Genre elle a tout ce qu’elle veut et j’en passe quoi ? Elle est dans quel lycée ? Privé ou public ? S’il faut je l’a connais… Et je te rassure… Mes crises d’ados se résument à… De nouveau cahier pour mes dessins, ou de la peinture… Ou des craies… » Je plissai faiblement le nez tant j’étais peu habitué et peu heureux de parler de cette … Véritable erreur de la nature. Je la détestais presque autant que sa mère, c’était dire combien je pouvais la haïr, donc. « C’est pire qu’une peste ! C’est une teigne, une horreur, une garce et j’en passe … Et oui, Stacy lui passe le moindre de ses caprices. Et ce, uniquement parce qu’elle l’a abandonné quand elle était petite et qu’elle vient tout juste de la récupérer. Je prends ça plus comme une tentative de pourrir un peu plus ma vie, qu’autre chose. » Marmonnais-je à travers mes dents serrées, signe que je prenais sur moi pour ne pas m’emporter, rentrer chez moi et les tuer toutes les deux. Enfin, quelque chose dans ce goût là en tout cas. « Elle va dans un lycée privé, payé par les soins de Stacy, alors qu’elle y va un jour sur deux. Elle est dans ce lycée, depuis qu’elle a quitté sa famille adoptive qui, de toute façon, ne pouvait plus la supporter du tout. Je doute que vous fréquentiez le même genre d’endroits hm … Et si t’appelles ça une crise, j’appelle ça limite un bonheur tant ce sera … Changeant ! Radicalement changeant ! » Lâchais-je en souriant franchement pour le coup, en déposant un bref baiser sonore, sur ses lèvres.
Quand elle me demanda ce qu’elle avait de plus pour avoir trouvé une telle place dans ma vie et en si peu de temps. Plus pour la taquiner qu’autre chose, je fis mine de n’avoir craqué que pour son corps et son humour, avant de redevenir plus sérieux et mentionner toutes les qualités qui étaient en sa possession et qui avaient le don de vraiment beaucoup me plaire. « Si j’avais été plus volage je doute que tu sois venu ce soir pas vrai ? De toute façon je ne suis pas comme ça, et à défaut de pouvoir vivre une relation complète et pleine avec toi, je veux tout de même me poser avec toi… Tu le sais hum ? » Je soupirai faiblement en souriant à peine et hochant la tête avec lenteur. J’avais beau savoir que j’étais égoïste de faire une chose pareille, j’étais incapable de tout annuler. Je la ligotais dans une relation qui ne lui apportait, au final, jamais quoi que ce soit. Si cette relation venait à vraiment durer longtemps, nous n’aurions jamais la chance d’avoir des enfants et encore moins, de nous marier. Et c’était terriblement frustrant. Elle était encore trop jeune pour penser à cela bien entendu. Mais je ne doutais pas que tôt ou tard, elle y penserait et me quitterait à cause de tout ça. Et ce jour là, je la laisserai faire, évidemment … Je voulais son bonheur. Juste son bonheur … « Oui je sais tout ça … Si j’avais pas eus la certitude que tu voulais réellement une relation sérieuse et posée, je n’aurais pas cherché plus loin. Parce que je ne veux pas de toi comme … Une maitresse avec qui coucher quand le besoin se fait ressentir. Tu es tellement, tellement plus que ça … » Soupirais-je doucement, avant que nous ne décidions de nous rendre chez elle, où nous ne tardâmes pas à nous retrouver sur son lit, à nous embrasser de façon démesurée. Pour la première fois de ma vie, je découvris ce qu’était le réel désir et perdis pied peu à peu, alors que je découvrais son corps, mais plus précisément encore, ses seins de mes mains puis de ma bouche. Après avoir franchement marqué son cou de mes suçons, je marquai ses seins de mes dents et de légers suçons, tout en frottant bien ma cuisse contre son intimité, pour lui faire perdre la tête plus que de raison. Jusqu’au moment où elle fini par jouir sous mes caresses, pour mon plus grand plaisir. Soupirant d’aise, je me redressai pour me placer au dessus d’elle, remettant alors sa brassière quelque peu abimée par ma sauvagerie, sur sa poitrine. Après quoi, je roulai sur le lit pour qu’elle se retrouve sur moi et la serrai tendrement contre moi. Tout en caressant longuement et tendrement son dos de mes mains, que je pris parfois soin de griffer, je lui fis remarquer que j’avais terriblement aimé la regarder prendre du plaisir. Je vins poser mes mains sur ses fesses, l’air de rien, trouvant qu’elles allaient à merveille là et étaient à leur place, sans aucun doute. « C’est vrai ? J’étais si belle que cela ? » Je souris faiblement en remontant une main dans ses cheveux, pour les lui caresser doucement. « Terriblement belle … Merveilleuse … Y’a pas de mot pour te décrire … » Soufflais-je d’une voix rêveuse pour le coup. Par la suite, nous parlâmes quelque peu de ce que nous venions de faire et du désir que nous avions l’un pour l’autre.
« Ne t’inquiète pas… Je me suis senti parfaitement à l’aise avec toi là… Je n’aurais d’ailleurs jamais cru l’être autant… Alors, tu attendras peut être moins longtemps que prévu… Et moi aussi j’aime que tu puisses me désirer autant… Je te dirais ça la prochaine fois que l’on se verra… » Je ris doucement en redressant la tête pour la regarder franchement amoureusement pour le coup, sans pouvoir lui cacher vraiment mes sentiments totalement fous et puissants. « Je suis content que tu sois autant à l’aise alors … Si je fais quoi que ce soit qui te déplais ou te gêne … n’hésite pas à me le faire comprendre hm … Quitte à me pousse ou me frapper. »Lâchais-je on ne peut plus sérieusement, avant de lâcher un bref rire à cette idée saugrenue. Par la suite, je me figeai quelque peu, lorsque qu’elle me souffla qu’elle m’aimait. Choqué mais surtout, affreusement heureux qu’elle puisse m’aimer, je plaquai fiévreusement mes lèvres contre les siennes, pour l’embrasser avec fougue et ardeur, sans pouvoir m’en empêcher, rapidement sonné par un désir outrageusement puissant et dévastateur. Contrairement à elle, même si j’avais pris un plaisir certain, je n’avais pas jouis. Autant dire que du coup, j’avais fortement envie d’elle, encore et encore. Je gémis en la sentant répondre à notre baiser avec autant d’ardeur que j’y mettais moi-même et lorsqu’elle se mouva tout contre moi. Je finis par trouver la force d’interrompre notre baiser, avant de perdre définitivement pied. « Si tu m’avais laissé finir… tu n’aurais plus la force d’avoir envie… » Je ris quelque peu en lui lançant un regard on ne peut plus amusé et taquin. « Hm mouais … Mais un homme c’est … Différent …La jouissance. » Lui fis-je remarquer, d’une voix quelque peu taquine pour le coup. Je la regardais s’éloigner sans plus tarder et revenir sur le lit, chargée de pas mal de cahiers. Je la regardais faire sans broncher, avant de rouler, pour me retrouver allongé sur le ventre, à ses côtés. « Tu voulais voir mes arts ? Voici mes premières BD. Bon j’avais à peine dix ans dans ces eaux-là donc… Les dessins ne sont pas non plus fabuleux… » Je souris en coin en regardant ses cahiers, avant d’en prendre un au hasard pour le feuilleter lentement. « Hm … Tu dessinais déjà mieux qu’une personne adulte. » Lui fis-je remarquer en riant quelque peu pour le coup. Je feuilletais plusieurs de ses cahiers, avant de tourner le regard vers elle, en souriant quelque peu. « Je veux voir les derniers moi … Tu y racontes quoi dedans ? Tu as une histoire entête ? » Lui demandais-je alors, franchement intéressé, avant de continuer de feuilleter les cahiers. « Tu comptes publier des BD alors ? Tu veux en faire ton métier ? » Demandais-je d’une voix douce.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Lun 12 Mar - 13:50
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Nolan & Lhoà
« Oups … Tu me pardonnes, pour ça ? » Les frissons encore sur ma peau, je regardais ma poitrine en déglutissant longuement. C’était fou l’effet qu’il me faisait en touchant simplement ma peau… « Hm et je suis sûr que mes mains s’y logeront fort souvent … » Pinçant faiblement le bout de son nez, je déposais un franc baiser claquant contre ses lèvres. « Bien sûr que je te pardonne mon petit coquin… » Murmurai-je lentement contre ses lèvres. Parlant par la suite de son entreprise et surtout de sa femme, j’en appris un peu plus sur lui, sur le pourquoi il restait marié à sa foutue femme et surtout qu’elle avait déjà une fille. Super… Deux femmes à supporter au lieux d’une, je savais que j’en souffrirais mais je n’y pouvais rien… « C’est pire qu’une peste ! C’est une teigne, une horreur, une garce et j’en passe … Et oui, Stacy lui passe le moindre de ses caprices. Et ce, uniquement parce qu’elle l’a abandonné quand elle était petite et qu’elle vient tout juste de la récupérer. Je prends ça plus comme une tentative de pourrir un peu plus ma vie, qu’autre chose. » Le voyant serrer les dents je n’aimais pas réellement le voir de la sorte, c’était bien la première fois que je le voyais si haineux en fait. La dernière fois il était trop bourré pour montrer réellement sa haine… « Elle va dans un lycée privé, payé par les soins de Stacy, alors qu’elle y va un jour sur deux. Elle est dans ce lycée, depuis qu’elle a quitté sa famille adoptive qui, de toute façon, ne pouvait plus la supporter du tout. Je doute que vous fréquentiez le même genre d’endroits hm … Et si t’appelles ça une crise, j’appelle ça limite un bonheur tant ce sera … Changeant ! Radicalement changeant ! » Souriant faiblement, ma main caressant alors sa joue, je déposais un lent et doux baiser sur ses lèvres. Le regardant en souriant faiblement. Heureusement que j’entrais dans sa vie, je pourrais au moins l’embellir un peu et c’était déjà ça… Déposant de lent et doux baiser sur ses lèvres je collais mon front au sien.
« Je suis en public pour ma part, mais je ne rate vraiment rien apparemment… Tu sais je suis là maintenant, quand elle te fera chier, ou qu’elle te tapera une crise pense à moi… Dis-toi que moi, jamais je ne te ferais ce genre de crise. Envoie moi un sms quand elle te fait chier ignore là, pense juste à moi… » soufflai-je doucement en soupirant de bien-être. « Oui je sais tout ça … Si j’avais pas eus la certitude que tu voulais réellement une relation sérieuse et posée, je n’aurais pas cherché plus loin. Parce que je ne veux pas de toi comme … Une maitresse avec qui coucher quand le besoin se fait ressentir. Tu es tellement, tellement plus que ça … » Le regardant longuement, je caressais ses joues, totalement contente et envieuse d’entendre ce genre de parole. Il n’avait pas idée comme cela me plaisait terriblement. J’étais plus qu’une maitresse et c’était bon. Je savais que l’on n’aurait jamais de réelle relation mais c’était déjà ça… « C’est ce qui fait de toi un type bien…Le terme maitresse peut avoir son petit excitant… On se débrouillera pour être heureux autant que possible…Crois-moi… » soufflai-je lentement en déposant un lent baiser sur ses lèvres. Une fois chez moi, on se perdit dans les bras l’un de l’autre, nous embrassant à pleine bouche, me caressant en me découvrant. Du moins ma poitrine. Me la léchant, la mordant et la suçotant, je poussais de long cri de plaisir, alors que sa cuisse s’attelait sur mon intimité me faisant alors jouir. Ne me laissant pas le choix, ne pouvant pas lui rendre la pareille, il nous allongea sur le lit avant de nous faire rouler pour me retrouver sur lui me caressant longuement le dos mais aussi les fesses sans aucune gêne. Il m’annonça qu’il avait aimé me voir jouir, ce qui me surprit un tant soit peu.
« Terriblement belle … Merveilleuse … Y’a pas de mot pour te décrire … » Souriant en coin en rougissant faiblement, je me collais un peu plus à lui en soupirant de bien-être. J’étais belle, merveilleuse, ça me plaisait d’entendre cela… Oh que oui ça me plaisait beaucoup même… Ne répondant rien, étant sur un petit nuage d’amour, je lui annonçais que j’avais aimé et ce qu’il m’avait fait et que finalement il attendrait moins longtemps que ce que j’avais prévu, sexuellement parlant… « Je suis content que tu sois autant à l’aise alors … Si je fais quoi que ce soit qui te déplais ou te gêne … n’hésite pas à me le faire comprendre hm … Quitte à me pousse ou me frapper. » Riant doucement en caressant longuement son torse, j’inspirais profondément de bien-être. Comme si je pouvais le frapper, impossible… « Je ne te pousserai pas, ni ne te frapperai… Enfin, on verra mais je ne pense en arriver là tout de même…Je peux comprendre tes envies aussi… ça ne te frustre pas… de…. Sortir avec une fille vierge et même pas majeur ? » Demandai-je doucement sans le regarder, ayant un peu peur de sa réponse. Ça ne devait pas être facile pour lui quand même…Me redressant en collant mon front au sien, je lui annonçais que je l’aimais, voyant son étonnement et sa surprise, il m’embrassa rapidement en m’annonçant qu’il m’aimait aussi mais il en vint à me dire qu’il fallait qu’on s’occupe. Je compris que lui avait encore envie de moi… Je lui fis remarquer que s’il m’avait laissé finir il n’aurait plus envie de moi à présent. « Hm mouais … Mais un homme c’est … Différent …La jouissance. » Riant faiblement, je levais vaguement les yeux au ciel. Comme si je ne savais pas qu’un homme jouissait différent d’une femme et en mettait un peu partout…
« Je suis vierge mais pas inculte, je sais comment on fait les bébés hum… J’aurais lavé mes draps Nolan… » Soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard taquin. Me levant je pris quelques BD de quand j’avais une dizaine d’années revenant sur le lit pour m’allonger sur le ventre et les poser à nos côtés le regardant faire de même nos corps proche. J’aimais déjà nos moments, comme si c’était naturel et que cela faisait longtemps que l’on se connaissait. « Hm … Tu dessinais déjà mieux qu’une personne adulte. » Rougissant faiblement, je le regardais faire posant ma joue contre le matelas en soupirant de bien être, fixant ses mains tenir les chairs je souriais un peu plus, le trouvant tellement beau. « Je veux voir les derniers moi … Tu y racontes quoi dedans ? Tu as une histoire entête ? » Plissant doucement le nez, je ne voulais pas trop lui montrer mes dernières BD, elles parlaient de lui, je n’avais cessé de le dessiner pendant plus d’un mois… C’était assez gênant quand même…Surtout que j’avais reproduit notre première soirée… « Tu comptes publier des BD alors ? Tu veux en faire ton métier ? » Souriant en coin en attrapant une BD quelconque, je roulais sur le dos pour la feuilleter à mon tour. Des tonnes de souvenirs m’assaillaient pour le coup. C’était bizarre comme j’avais évolué, comme le temps passait si vite en fait. « J’aimerai bien oui, en faire mon métier, j’aime tellement dessiner, j’y passe mes journées entières, mes nuits parfois, avoir un crayon en main me rend heureuse. Ou même une craie ou de la peinture, j’aime dessiner tout court, mais c’est vrai que les BD j’aimerai bien partager oui… Pas toutes mes certaines je suis sûre qu’elles plairaient… » Marmonnai-je doucement en posant le cahier sur le lit avec les autres avant de me lever pour prendre une de mes dernières BD la feuilletant rapidement avant de me laisser tomber sur le lit pour la lui donner. « Voici une de ce mois-ci…si tu veux je te prêterais les cahier pour que tu les lises toutes ? Y’en a un paquet je te préviens… Ce qu’il y a dans ma chambre ne sont que les meilleures à mes yeux les autres sont dans la bibliothèque… »
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Lun 12 Mar - 21:30
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Bien sûr que je te pardonne mon petit coquin… » Je ris faiblement tout contre ses lèvres, y déposant un tendre baiser en prenant un longue inspiration, tel un grande bouffée de bonheur et de bien être, dont je voulais me délecter et m’abreuver, jusqu’à plus soif. Contre toute attente, je n’ajoutai rien à cela et enchainai plutôt avec mon entreprise, ma chère épouse et son démon de fille. Je n’hésitai pas un seul instant à cracher ouvertement sur ces deux femmes qui faisaient de ma vie un enfer. Le simple fait de pouvoir parler de la sorte d’elles deux, me faisait un bien fou et j’en profitai allégrement. Qu’il était bon de se retrouver en face d’une personne apte à entendre toute cette haine que j’avais en moi et cumulais peu à peu. Qu’il était bon qu’elle soit du genre à ne pas éprouver le moindre remord, quant à critiquer une personne qu’elle ne connaissait même pas. Qu’il était bon de profiter simplement un peu de la vie et des choses simples qu’elle offrait. Je laissai Lhoà caresser ma joue avec lenteur et déposer un lent baiser sur mes lèvres, après que j’eus déversé toute ma haine, dans un flot de paroles qui aurait pu continuer ainsi encore un bon moment, si je n’avais pas éprouvé le besoin de passer à autre chose, tant bien que mal. Je soupirai faiblement de bien être lorsqu’elle entreprit de déposer de lents baisers sur mes lèvres et je redressai quelque peu la tête, pour chercher ses lèvres des miennes et l’embrasser avec douceur, avant qu’elle ne pose son front contre le mien. Je fermai les yeux pour profiter pleinement de cette proximité, souriant quelque peu en coin. « Je suis en public pour ma part, mais je ne rate vraiment rien apparemment… Tu sais je suis là maintenant, quand elle te fera chier, ou qu’elle te tapera une crise pense à moi… Dis-toi que moi, jamais je ne te ferai ce genre de crise. Envoie moi un sms quand elle te fait chier ignore là, pense juste à moi… » Je lâchai un doux gémissement sur le coup, devant les pensées qui m’assaillaient. C’était une excellente idée. Pire que ça, même. C’était foutrement fabuleux ! Je souris en coin en fermant les yeux et tentant d’imaginer la tête que ferait Stacy, lorsque je l’ignorerai. Aucun doute que cela allait la mettre encore plus en rogne. Mais pour ma part, je m’en foutrai royalement, puisque je penserai à Lhoà. Ma nouvelle raison de vivre, mon jardin secret, celle que j’aimais déjà démesurément …
« C’est une excellente idée … J’aurais sans doute l’air d’être totalement dans mon monde, dans les nuages … Mais tant mieux … C’est terminé l’époque où je devais subir, m’énerver, être frustré, blessé et j’en passe. Parce que maintenant il y a toi. Mon petit ange … » Soufflais-je d’une voix douce, en la regardant de façon émerveillée et amoureuse pour le coup. Jamais je ne m’étais senti aussi bien dans ma peau, heureux et tous ces autres sentiments merveilleux, qui m’agitaient. Par la suite, je n’hésitai pas à lui dire tout ce que j’aimais chez elle, avant de confirmer ses propos quant au fait que j’aimais le fait qu’elle n’était pas du genre volage. Je lui fis d’ailleurs part du fait qu’à mes yeux, elle était loin de n’être qu’une maitresse avec laquelle je ne ferais jamais rien d’autre que coucher. J’étais bien trop amoureux d’elle, pour me contenter de son corps, bien entendu. Je voulais tout d’elle …Ce qui était totalement égoïste et j’en étais bien conscient. « C’est ce qui fait de toi un type bien…Le terme maitresse peut avoir son petit excitant… On se débrouillera pour être heureux autant que possible…Crois-moi… » Je souris quelque peu en hochant la tête avec lenteur, sans la quitter du regard. J’avais presque peine à croire que tout cela puisse réellement avoir lieu dans ma vie. Peine à croire qu’une fille aussi fantastique, en fasse désormais parti. Et pourtant c’était bel et bien le cas. Et autant dire que c’était foutrement bon et plaisant. J’aimais qu’elle soit là et je comptais bien tout faire pour qu’elle y reste. Même si j’osais espérer que tôt ou tard, elle soit bien plus qu’une simple maitresse pour moi. Même si, en effet, je la considérais déjà comme étant la femme de ma vie et plus encore. « Tu es tellement plus que ça … Je tiens trop à toi pour dire que tu n’es que ma maitresse, sache le … Et je sais qu’on sera heureux, à notre façon et quoi qu’il arrive. » Soufflais-je d’une voix douce, en souriant quelque peu. J’avais beau avoir quelques craintes, je ne voulais pas me montrer pessimiste. Surtout pas ! Et encore moins aussi tôt dans notre relation. Raison pour laquelle je la suivis ensuite chez elle, sans me poser la moindre petite question et sans prendre le temps de réfléchir cent ans. Une fois chez elle, nous filâmes même dans sa chambre et là, je perdis définitivement pied. Baisers sauvages, caresses excitantes et outrageusement plaisantes, morsures, griffures et j’en passe, furent de la partie. Au point où je parvins même à la faire jouir à force de faire grandir le désir et le plaisir en elle.
Après cela, je roulai sur le lit pour me retrouver sur elle et lui fis remarquer, sans la moindre gêne, combien elle avait été belle durant sa jouissance et même avant. En clair, même sous ce trop plein de plaisir, j’avais été terriblement envouté par elle et sa beauté. Parlant de ce que nous venions de faire, je lui fis remarquer qu’elle aurait parfaitement le droit de me frapper ou simplement me pousser, si je venais à aller trop loin à son goût. J’avais déjà la sensation d’être allé trop loin, au vu du fait qu’elle m’avait affirmé ne pas vouloir aller trop vite. Et pourtant, à aucun moment, elle n’avait chrché à me repousser d’une quelconque façon que ce soit. « Je ne te pousserai pas, ni ne te frapperai… Enfin, on verra mais je ne pense en arriver là tout de même…Je peux comprendre tes envies aussi… ça ne te frustre pas… de…. Sortir avec une fille vierge et même pas majeur ? » Je soupirai quelque peu en la regardant longuement sans parler. Que lui répondre ? Dire que je n’étais et ne serai en rien frustré sur le plan sexuel, serait mentir bien sûr. Sans compter que je ne risquais vraiment pas de m’approcher de trop près de Stacy, après tout ça et alors que j’étais amoureux de Lhoà. « Ce sera sans doute frustrant sur le plan … Sexuel, d’ici à quelques temps … Mais je ferai avec. Parce qu’il n’y a pas que ça et que je ne suis pas avec toi pour le … Cul. Même si tu es officiellement ma maitresse … » Soufflais-je doucement en plissant quelque peu le nez à cette pensée. Oui, elle était ma maitresse. Et bon sang, c’était frustrant de voir qu’il n’existait aucun autre mot pour découvrir cela. Nous étions tout de même largement plus. Ce n’était pas pour rien si nous n’avions pas encore couché ensemble. S’il n’y avait eut que ça entre nous, je le lui aurais déjà dis clairement et j’aurais tout fait pour que nous allions plus loin que de simples caresses par-dessus des fringues. Après avoir parlé sentiments, je du lui demander de nous trouver une activité à faire, parfaitement conscient que je risquais de craquer et la vouloir pour de bon cette fois ci. Après tout, si elle, elle avait jouit, ce n’était aucunement mon cas. J’haussai un sourcil à son rire, la regardant sans trop comprendre pourquoi elle riait de la sorte. « Je suis vierge mais pas inculte, je sais comment on fait les bébés hum… J’aurais lavé mes draps Nolan… » Surpris, j’haussai plus encore les sourcils, avant de rire doucement sur le coup et levai les yeux au ciel. Je pinçai lentement sa joue pour la taquiner, avant de soupirer doucement. « Ah oui ? Faudra que tu m’apprennes ça à l’occasion. » Soufflais-je d’une voix taquine, en pinçant une nouvelle fois sa joue, avant de reposer ma main dans son dos. « Et pour parler plus sérieusement … Au cas où tu l’aurais oublié, je suis habillé. Donc … A moins que tu n’ais une machine à laver et un sèche linge super performants, il m’aurait été difficile de rentrer chez moi avec mes fringues propres … » Lui fis-je remarquer, l’air de rien, sans quitter mon sourire taquin, toujours présent sur mes lèvres.
Je la suivis ensuite du regard lorsqu’elle se leva pour aller chercher quelques unes de ses bandes dessinées pour me montrer ce qu’elle faisait. Allongés sur le ventre, l’un à côté de l’autre, je les feuilletai tranquillement, en lui posant des tonnes de questions sur le coup, tant j’étais sincèrement curieux à son sujet. Entre autres, je lui demandai si elle désirait faire de ça, son métier. A savoir, auteure de bandes dessinées. J’aimais terriblement le fait qu’elle soit une artiste, tant j’aimais toutes les formes d’art. « J’aimerai bien oui, en faire mon métier, j’aime tellement dessiner, j’y passe mes journées entières, mes nuits parfois, avoir un crayon en main me rend heureuse. Ou même une craie ou de la peinture, j’aime dessiner tout court, mais c’est vrai que les BD j’aimerai bien partager oui… Pas toutes mais certaines je suis sûre qu’elles plairaient… » Je souris quelque peu en tournant le regard vers elle, pour la regarder amoureusement encore une fois. Elle me fascinait sur tous les plans et de plus en plus au fil du temps. « Même si ça doit me prendre du temps, j’aimerais voir tout ça … J’ai le droit ? » Demandais-je en souriant quelque peu en coin, vraiment curieux de voir le genre de BD qu’elle avait fait et faisait encore régulièrement. Je finis d’ailleurs par lui demander d’en voir d plus récentes et souris en coin lorsqu’elle s’éloigna pour, ensuite, me rejoindre et me la donner. « Voici une de ce mois-ci…si tu veux je te prêterai les cahier pour que tu les lises toutes ? Y’en a un paquet je te préviens… Ce qu’il y a dans ma chambre ne sont que les meilleures à mes yeux les autres sont dans la bibliothèque… » Souriant en coin, j’hochai lentement la tête en tournant le regard vers elle ... « Je suis tout à fait pour les lire toutes ! Même celles qui se trouvent dans la bibliothèque ! Mais on ira étape par étape. Je doute de pouvoir passer inaperçu si j’embarque tout ça d’un coup, chez moi. Je les prendrai … Hm par cinq ? Et à chaque fois que je viendrai, je changerai. Ca te va ? » Demandais-je doucement, avant de me pencher vers elle, pour déposer un bref smack sonore, sur ses lèvres. Je me replaçai ensuite bien sur le ventre, pour feuilleter son cahier. Rapidement, un franc sourire étira mes lèvres, tandis que je découvrais de quoi il était question dans ses dessins. Sans un mot, je parcouru et lu cette BD, avant de la reposer sur le lit, me tourner vers Lhoà et la pousser doucement pour la faire rouler et l’allonger sur le dos. Je passai un bras au dessus d’elle, pour poser mon avant bras sur le lit, contre sa tête. Je déposai de tendres baisers sur ses lèvres, les léchant parfois l’air de rien. « C’est le genre de BD que tu veux publier ? Non parce que tu dessines suffisamment bien pour qu’on nous reconnaisse. Et puis … La suite de l’histoire risque d’être … Graour. J’ai déjà hâte de lire ce que tu vas faire pour ces dernières heures. » Soufflais-je d’une voix taquine, tout contre ses lèvres, y déposant de tendres baisers par la suite. Soupirant faiblement, j’enfouis mon visage contre sa gorge, où j’inspirai son odeur avec lenteur et délectation. « Je me sens bien avec toi … » Soufflais-je d’une voix douce.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Mar 13 Mar - 1:07
₪ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART AND A RIOT ABOUT TO EXPLODE INTO FLAMES
Nolan & Lhoà
« C’est une excellente idée … J’aurais sans doute l’air d’être totalement dans mon monde, dans les nuages … Mais tant mieux … C’est terminé l’époque où je devais subir, m’énerver, être frustré, blessé et j’en passe. Parce que maintenant il y a toi. Mon petit ange … » Gémissant je me redressais sur lui en déposant de lent baisers puis de plus en plus fort en faisant tout son visage le léchant lentement et longuement en poussant un faible râle de bien-être. J’étais dans les bras de Dieu, il n’y avait pas à redire, c’était terriblement plaisant en fait… « Oui, ton petit ange… Je serais toujours là pour que tu sois bien et que les deux pots de vaches ne te fassent du mal… » soufflai-je doucement en frottant mon nez du sien. Par al suite je lui fis comprendre qu’on serait heureux à notre façon et qu’on ferait tout ce qui est en notre pouvoir pour l’être malgré notre relation peu commune… « Tu es tellement plus que ça … Je tiens trop à toi pour dire que tu n’es que ma maitresse, sache le … Et je sais qu’on sera heureux, à notre façon et quoi qu’il arrive. » Frissonnant longuement, je caressais ses joues en hochant faiblement la tête. Savoir que j’étais bien plus que sa maitresse me faisait plaisir, qui ne rêverait pas d’entendre ce genre de chose ? Je me le demandais bien. Moi j’étais on ne peut plus heureuse de l’entendre me le dire ! Il me rendait heureuse et c’était un euphémisme tellement c’était puissant. « Quoi qu’il arrive oui… » soufflai-je doucement en déposant un faible baiser sur ses lèvres. Une fois chez moi, on perdit les pédales sur mon lit. Me touchant, me palpant, le découvrant la poitrine, la mordant, la suçotant et la léchant, il me fit rapidement jouir, d’un afflux de plaisir intense, sa cuisse sur mon intimité y jouant plus que de raison. Une fois allongée sur lui, on se mit à parler de la frustration qu’il allait connaitre au fil du temps… C’était même plus que sur.
« Ce sera sans doute frustrant sur le plan … Sexuel, d’ici à quelques temps … Mais je ferai avec. Parce qu’il n’y a pas que ça et que je ne suis pas avec toi pour le … Cul. Même si tu es officiellement ma maitresse … » Frissonnant longuement en l’entendant dire de pareil chose, un sourire étira longuement mes lèvres. J’aimais l’entendre me dire des choses de la sorte, c’était tout de même toujours très gratifiant dans un sens… Savoir que je n’étais pas qu’une maitresse… Au contraire j’étais bien plus et c’était affreusement jouissif… « Je t’enverrais des messages bien chaud pour que tu n’aies pas du mal à te soulager. Comme dans les films. Ok, je me tais. » Soufflai-je l’air de rien avant de rire franchement. Nous dévoilant nos sentiments, il m’annonça que nous devions vite trouver une occupation et je lui fis remarquer que s’il m’avait laissé finir il ne serait pas si frustré que cela à l’heure qu’il est… « Ah oui ? Faudra que tu m’apprennes ça à l’occasion. » Souriant en coin en haussant un sourcil, je mordis lentement ma lèvre inférieure pour le taquiner un peu. « Et pour parler plus sérieusement … Au cas où tu l’aurais oublié, je suis habillé. Donc … A moins que tu n’ais une machine à laver et un sèche-linge super performants, il m’aurait été difficile de rentrer chez moi avec mes fringues propres … » Baissant un rapide regard sur son corps, je fixais longuement ses vêtements l’imaginant tout aussi bien sans. J’aurais très bien pu les lui enlever, le mettre en boxer… Tacher mes draps ne me gênait en rien ! Au contraire même… Les tâcher de cette façon-là et avec lui, j’étais même pour. Mais ça faudrait que je le lui fasse comprendre à ma façon, je savais déjà comment m’y prendre en fait. J’étais peut être une petite vierge, mais il venait plus ou moins de me dévergonder et de me donner assez confiance en moi… « Hum ? J’aurais plutôt tendance à dire à ce que toi tu puisses m’apprendre. Imagine un jour tu me demandes une position et là, gros blanc car je ne sais pas ce que tu veux ? » soufflai-je l’air de rien, en faisant bien exprès de ne pas répondre sur ses vêtements préparant bien mon coup. Allant chercher les cahiers de bd je m’installais à ces côtés alors qu’il me demandait à voir ceux d’aujourd’hui, car ceux que je lui avais amené datait tout de même de six ans…
« Même si ça doit me prendre du temps, j’aimerais voir tout ça … J’ai le droit ? » Souriant en coin, j’hochais faiblement la tête de façon positive pour lui répondre plus ou moins. Sans parler je me levais allant alors chercher mes autres cahiers les posant avant de me rallonger à ces côtés les lui laissant. « Je suis tout à fait pour les lire toutes ! Même celles qui se trouvent dans la bibliothèque ! Mais on ira étape par étape. Je doute de pouvoir passer inaperçu si j’embarque tout ça d’un coup, chez moi. Je les prendrai … Hm par cinq ? Et à chaque fois que je viendrai, je changerai. Ça te va ? » Souriant en coin je l’imaginais parfaitement prendre cinq par cinq histoire que sa femme ne puisse rien voir, mais en même temps si elle tombait dessus, qu’allait-il dire ? Elle allait vouloir savoir d’où venez ces bd, ce qu’il faisait avec et j’en passe, qui me disait que j’allais les revoir un jour ? Et le revoir lui, est ce qu’il me quitterait si sa femme venait à apprendre qu’il avait une maitresse ? Surtout mineur, elle pouvait parfaitement le faire chanter en fait… Il était dans l’illégalité la plus complète… Je plissais faiblement le nez sur le coup. « Va pour ça, mais si ta femme tombe dessus ? Tu vas les cacher ou ? J’espère qu’elle ne fouille pas tes affaires…tu devrais peut être activé un code sur ton téléphone pour pas qu’elle vienne le fouiller quand on s’enverra des sms… » Marmonnai-je doucement pour lui faire comprendre qu’on était jamais trop prudent… Le laissant découvrir mes bd je fermais lentement les yeux, son sourire en tête tant il me plaisait tant, avant d’entendre le cahier atterrir sur le lit, sentant alors son bras sur moi, me tournant alors sur le dos rapidement sans aucune réelle force. J’étais tellement légère de toute façon… Le laissant se blottir contre moi, un sourire étira mes lèvres. « C’est le genre de BD que tu veux publier ? Non parce que tu dessines suffisamment bien pour qu’on nous reconnaisse. Et puis … La suite de l’histoire risque d’être … Graou. J’ai déjà hâte de lire ce que tu vas faire pour ces dernières heures. » souriant en profitant pleinement de ses baisers je déglutis longuement en sentant son visage s’enfouir alors dans mon cou. Son souffle caressant lentement ma peau je le laissais faire en fermant les yeux, me sentant cruellement bien tout à coup. « Je me sens bien avec toi … » Frissonnant de bien être en caressant lentement son dos, j’enroulais bien mes bras autour de sa taille le berçant lentement. « Non, ne t’inquiète pas je ne publierais pas ce genre de BD, celle-là je les garde pour moi, nous… Et oui, y’aura la suite, hum dès demain je m’y mets… » Soufflai-je lentement en baissant un regard vers lui pour le regarder longuement. Le poussant lentement l’air de rien pour l’allonger sur le dos, je vins me blottir contre lui, passant une jambe par-dessus les siennes. Ma main parcourant alors son torse nu, je soupirais d’aise en enfouissant à mon tour mon visage dans son cou. « Je suis bien avec toi aussi… » Marmonnai-je lentement avant de glisser ma main sur le haut de son jean. Attrapant sa ceinture l’air de rien, je soupirais en l’a lui défaisant l’air de rien déposant de lent baiser dans son cou, le léchant en remontant à sa mâchoire, prenant bien la ceinture en main avant de la balancer sur sa chemise loin de nous. « Tu disais qu’il faudrait pas tacher tes vêtements… Je n’ai pas une machine du tonnerre, mais j’ai un petit cerveau qui marche… »
“ J. Nolan Edgecombe ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Mar 13 Mar - 19:19
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Oui, ton petit ange… Je serais toujours là pour que tu sois bien et que les deux pots de vaches ne te fassent du mal… » Je gardai les yeux fermés et un grand sourire aux lèvres, même après qu’elle eut cessé de déposer des baisers de plus en plus forts sur l’intégralité de mon visage, ainsi que quelques coups de langue qui me firent rire et frémir longuement. J’aimais terriblement cette tendresse qui émanait d’elle et qui était pour moi, rien que pour moi. Je voulais qu’elle continue à être de la sorte, tout le temps, constamment et plus encore. Ses baisers, ses douces caresses et j’en passe, étaient affreusement plaisants et j’en redemandais pour ma part. « Mon ange … » Soufflais-je dans un doux murmure, en la gardant tendrement serrée contre moi. J’aimais déjà lui donner ce doux surnom qui, selon moi, lui allait à merveille. Elle était un véritable ange, tombée du ciel pour moi et rien que pour moi. Alors que nous parlions de notre relation atypique et presque impossible, j’affirmai sans broncher, que nous serions ensemble tous les deux, à notre façon et dans les limites du possible. « Quoi qu’il arrive oui… » Je soupirai d’aise et de bien être en déposant de tendres baisers sur ses lèvres, avant de la suivre chez elle, puis dans sa chambre. Et de façon plus qu’évidente tant la tentation était trop grande pour être ignorée, je ne tardais pas à rouler sur le lit avec elle, pour l’embrasser à en perdre le souffle et lui faire du bien à ma façon. Les suçons dans le cou firent rapidement place à des suçons et des morsures, sur ses seins, que je pris grand soin de découvrir tout autant de ma langue que de mes mains. Cela ajouté à ma cuisse qui se frottait avec application, contre son intimité, elle finit par partir dans une jouissance puissante et dévastatrice, que je pris soin d’admirer sur son si beau visage. Je lui fis d’ailleurs bien remarquer, combien elle était outrageusement belle, même dans un tel moment.
Par la suite, alors que je venais de rouler sur le lit pour qu’elle se retrouve sur moi, nous parlâmes quelque peu de sexe et du fait, principalement, que j’allais devoir attendre. Tout simplement parce qu’elle était terriblement jeune et … Totalement vierge. Je n’hésitais pas à insister sur le fait que de toute façon, j’étais amoureux d’elle et que ce n’était pas le sexe qui m’intéressait chez elle, mais elle, sa personne, ce qu’elle était tout simplement. Son véritable sourire, fit apparaître le mien, comme à chaque fois et je la regardais amoureusement, sans détourner le regard d’elle le moins du monde. « Je t’enverrai des messages bien chaud pour que tu n’aies pas du mal à te soulager. Comme dans les films. Ok, je me tais. » Je ris quelque peu sur le coup, tant je m’étais attendu à tout … Sauf à cela. En fait … Elle était réellement coquine dans son genre. Et après, elle osait me demander à moi, si je l’étais ou non. Apparemment, elle l’était bien plus que moi. Ce qui, dans le fond, n’était pas bien difficile. « Hey … mais … T’es une véritable coquine en fait ! Et après tu me demandes à moi, si je le suis hein … » Lui fis-je remarquer, avant de rire doucement sur le coup. Elle était complètement dingue et bon sang que c’était bon et rafraichissant ! Tout ce dont j’avais besoin dans ma vie, pour bien résumer la chose. « Me soulager grâce à tes sms … Je pourrai avoir des photos avec ça ? » Demandais-je d’une voix taquine, en souriant quelque peu en coin. Je n’osais imaginer l’état dans lequel je serais, si je venais à recevoir des photos assez … Coquines, de sa part … Son corps divin dans de simples sous vêtements par exemple. Bon sang, il fallait que j’arrête ce genre de pensées, dès maintenant ! Alors que nous parlions encore de sexe, je la taquinai quelque peu en émettant l’idée qu’il faudrait peut être qu’elle m’explique comment faire tout ça.
« Hum ? J’aurais plutôt tendance à dire à ce que toi tu puisses m’apprendre. Imagine un jour tu me demandes une position et là, gros blanc car je ne sais pas ce que tu veux ? » Je ris doucement à cette idée et en imaginant une situation dans laquelle elle pourrait bien me regarder sans vraiment comprendre et attendre de quelconques explications de ma part. Il était fort probable que ce genre de choses arrivent, bien entendu. Après tout, si elle était vierge, je ne doutais pas qu’elle ne connaissait pas grand-chose de toutes les positions et … Autres choses en rapport avec la sexualité. Et étonnamment ou non, c’était une chose qui me plaisait vraiment. « Certes. Dis comme ça … Eh bien dans ce cas je te mettrai moi-même dans la position que je veux … Ca te va ? » Lui demandais-je le plus sérieusement possible, avant de rire doucement sans la quitter du regard. J’imaginais déjà une situation dans laquelle je lui donnais le nom d’une position et finissais par la mettre moi-même dans la position demandée, tant le désir serait trop puissant et présent, pour que j’attende plus longtemps. Par la suite, nous changeâmes radicalement de sujet, à ma demande, pour passer à ses BD. Ainsi, je feuilletais ses dessins, allongé sur le ventre à ses côtés, en lui disant que j’avais envie de toutes les lire, sans exception. Même celles qu’elle jugeait moins bonnes. « Va pour ça, mais si ta femme tombe dessus ? Tu vas les cacher où ? J’espère qu’elle ne fouille pas tes affaires…tu devrais peut être activer un code sur ton téléphone pour pas qu’elle vienne le fouiller quand on s’enverra des sms… » Je plissai légèrement le nez en me tournant quelque peu vers elle pour la regarder et réfléchir à cela. Je n’y avais pas encore pensé, pour la simple et bonne raison que Stacy n’avait jamais été du genre à vouloir vérifier ceci ou cela. Même lorsque nous ne couchions pas ensemble pendant deux ou trois mois de suite, elle ne me demandait pas si je la trompais et ne cherchait pas à en savoir plus. J’ignorais si ce serait toujours de la sorte ou non. « Je les mettrai dans mon bureau. Elle n’y entre jamais et, dans le pire des cas, j’ai un coffre fort dont elle ignore l’existence. Ca devrait suffire. Et pour mon téléphone, je le bloquerai. Même si elle n’a jamais été du genre à fouiller où que ce soit. Même quand … Elle avait toutes les raisons de croire que je la trompais. » Avouais-je en rougissant faiblement, devant le fait que je sous entendais clairement par là, le fait qu’il m’était souvent arrivé d’être incapable de la toucher, pendant des semaines et des semaines entières.
Après avoir lu la dernière BD en date qu’elle avait faite et qui retraçait dans les moindres détails, notre rencontre, je la fis pivoter sur le lit, pour l’allonger sur le dos. Je me plaçai ensuite faiblement au dessus d’elle et déposai de tendres baisers sur ses lèvres, en discutant quelque peu de sa BD et de son thème. « Non, ne t’inquiète pas je ne publierai pas ce genre de BD, celle-là je les garde pour moi, nous… Et oui, y’aura la suite, hum dès demain je m’y mets… » Je souris en coin et posai mon visage contre sa gorge, pour fermer les yeux et soupirer doucement de bien être, profitant plus que jamais. « J’ai hâte de voir ce que ça va donner … » Soufflais-je d’une voix douce, mon souffle caressant lentement sa peau. Je lui soufflai combien j’étais bien là, avec elle, avant qu’elle ne me pousse lentement à mon tour, pour me faire me rallonger sur le dos. Je ris quelque peu en la laissant faire sans broncher, avant qu’elle n’enfouisse son visage dans mon cou, à son tour. « Je suis bien avec toi aussi… » Je soupirai d’aise en glissant une main dans ses cheveux avec lenteur, pour la caresser tendrement. Je ne réagis pas de suite lorsque je sentis sa main sur le haut de ma ceinture et la laissai faire sans broncher. Mais je me figeai quelque peu, lorsqu’elle entreprit de la défaire avec lenteur. Ses baisers et sa langue dans mon cou puis sur ma mâchoire, me firent frissonner d’envie et de bien être. Le souffle totalement coupé, j’entrouvris les lèvres sous une forte envie d’y sentir les siennes et tournai le regard vers elle, lorsque je réalisais que ma ceinture venait d’être totalement ôtée. « Tu disais qu’il faudrait pas tacher tes vêtements… Je n’ai pas une machine du tonnerre, mais j’ai un petit cerveau qui marche… » Aussitôt, mon cœur s’emballa et mon souffle se coupa totalement. Complètement sonné, je la regardais sans savoir que dire ni que faire. Je n’avais pas prévu … Ca. Je n’avais pas prévu qu’elle insiste pour me faire … Jouir comme je l’avais fais avec elle. Pas prévu qu’elle prenne les choses … Hm, en main. Je me passai faiblement la langue sur les lèvres en les sentant s’assécher franchement sur le coup, tant le désir était puissant et violent. « Qu’est-ce que tu fais ? » Demandais-je d’une voix à peine audible, tant j’étais sonné et perdu et tant le désir m’empêchait de faire quoi que ce soit. J’aurais du la repousser et pourtant, je ne le pouvais pas parce que j’avais envie qu’elle s’occupe de moi. Peu importait de la façon dont elle s’y prendrait, d’ailleurs. « Arrête … » Soupirais-je doucement, bien conscient que ma voix manquait cruellement de conviction.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Mar 13 Mar - 23:24
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Nolan & Lhoà
« Mon ange … » Frissonnant et souriant à ce surnom, je ne répondis rien, partant alors chez moi après quelques minutes. Une fois dans ma chambre il perdit pied totalement. M’embrassant, me touchant, me palpant, découvrant ma poitrine, autant que je découvris son torse, me mordant, me léchant, me suçotant les seins, je le laissais faire, ma poitrine était à présent sienne, tout comme le reste de mon corps, mais pas encore pour le reste. Plus tard. Jouissant, sous ses caresses plus sa cuisse se pressant sur mon intimité, je crus mourir avant de me retrouver sur lui. Lui annonçant que je l’aimais il en fit de même, avant qu’on ne parle du fait qu’il devait se soulager chez lui. Je ne perdis pas le nord en disant que je lui enverrais donc des sms bien chaud l’air de rien. « Hey … mais … T’es une véritable coquine en fait ! Et après tu me demandes à moi, si je le suis hein … » Riant doucement je fis l’innocente en lui lançant un regard faussement offusqué. « Me soulager grâce à tes sms … Je pourrai avoir des photos avec ça ? » Ecarquillant les yeux sans m’y attendre, je lâchais un doux rire avant de fourrager ses cheveux. Il ne perdait pas le nord. Qui était le plus coquin de nous deux dans le lot ? Je me le demandais bien. « C’est toi qui me rend coquine ! Tu viens de me dévergonder, hum, assumez donc monsieur Edgecombe… » Murmurai-je d’une voix envoutante pour le taquiner et le provoquer l’air de rien. « Des photos ? Mon jardin est pas mal, oui je t’enverrais des photos ! » Lâchai-je en le taquinant franchement tout en déposant un franc baiser claquant sur ses lèvres. Parlant de sexe il me demanda de lui apprendre, et je ne pus m’empêcher de lui dire que quand il me demanderait une position et que moi je ne saurais pas la faire il n’aurait pas l’air fin…
« Certes. Dis comme ça … Eh bien dans ce cas je te mettrai moi-même dans la position que je veux … Ça te va ? » Sans pouvoir m’en empêcher je me mis à rire d’abord doucement puis franchement. Le pauvre, je nous imaginais parfaitement moi sur le dos, lui sur moi, me demandant une position dont je n’ai pas l’existence, et qu’il puisse me mettre en position. Encore fallait-il que je le laisse totalement faire car ce n’était pas facile de se laisser faire quand on ne savait pas ce qui nous attendait… Tout ce que je savais c’était les positions classiques. Du moins en noms, après le reste c’était d’un grand mystère. « Je serais ta chose alors… Je suis sûre que ça t’excite tiens… » soufflai-je doucement l’air de rien en lui tirant lentement la langue. Parlant de mes Bd les lui montrant, des vieilles comme des nouvelles, on parla du fait qu’il voulait donc toutes les lires mais qu’il fallait y aller petit à petit pour pas que sa femme ne puisse comprendre quoi que ce soit. Il n’avait pas tort, mais moi, je voulais savoir où il allait les planquer, je ne voulais pas les perdre, ni lui, ce serait con de se faire griller par des BD quand même… « Je les mettrai dans mon bureau. Elle n’y entre jamais et, dans le pire des cas, j’ai un coffre-fort dont elle ignore l’existence. Ça devrait suffire. Et pour mon téléphone, je le bloquerai. Même si elle n’a jamais été du genre à fouiller où que ce soit. Même quand … Elle avait toutes les raisons de croire que je la trompais. » Je le regardais longuement, sans parler, ni même sans réellement réfléchir dans le fond. J’avais juste peur que sa femme ne découvre qu’il puisse la tromper, enfin après tout ce temps passé à ses côtés à la supporter à la toucher… Même si apparemment il restait des jours sans la toucher, des semaines peut être, des mois ?
Je ne savais pas et dans le fond je ne voulais pas savoir, penser à elle me faisait déjà terriblement mal en fait. Et le fait de savoir encore plus qu’elle partageait sa vie de tous les jours. Je m’étais engagée, ce n’était pas pour dévoiler ma peine et mes doutes envers Nolan, je ne pouvais pas lui en parler, je préférais déjà garder tout cela pour moi. Je voulais l’aider dans le fait qu’elle ne découvre rien, mais parler de ma souffrance non, je savais prendre sur moi et le faisais même très bien. « Ok, je te fais confiance de toute façon, plus tard elle l’apprend mieux c’est. Enfin, le mieux serait qu’elle ne l’apprenne pas du tout, mais faut quand même prévoir l’option au cas où… Elle a dû s’habituer à ta distance je pense tu sais… elle doit croire que tu es sien et que tu es sa bonne poire… Tant mieux, elle ne se doutera de rien comme cela… » soufflai-je doucement en le regardant longuement, le détaillant pour bien ancré son visage en moi. Je le détaillais surtout pour mes futurs Bd, je voulais vraiment que tout soit parfait et que je ne puisse rien rater, pas même une cicatrice ou un foutu grain de beauté ! Me demandant si j’allais publier les dernières BD j’annonçais que non, et que bien évidemment il y aurait la suite, c’est-à-dire l’épisode de ce soir… « J’ai hâte de voir ce que ça va donner … » souriant en coin, je fixais longuement les bd, me retenant donc de ne pas commencer tout de suite. Après tout il était là avec moi alors je n’allais pas gâcher ce moment, je le ferais bien après son départ, je savais qu’une fois plongé dedans on ne pouvait pas m’arrêter et que je dormais forcément moins d’ailleurs. Me mettant sur le dos pour me câliner en m’annonçant alors qu’il se sentait bien avec moi, je pris mon courage à deux mains pour le pousser et l’allonger sur le dos à son tour pour venir contre lui avec aisance. Lui annonçant que j’étais tout aussi bien avec lui, je commençais donc à le caresser avant de m’arrêter à sa ceinture pour la lui défaire l’air de rien.
Je sentis son corps se crisper, mais pourtant il ne disait rien, alors je continuais, oui, je l’a lui enlevais lentement avant de la jeter avec la chemise. Je voulais qu’on soit à égalité. Il avait réussi à me mettre très à l’aise sur ce point-là et c’était tant mieux. Sans perdre de temps je le luis fis comprendre. « Qu’est-ce que tu fais ? » Frissonnant en entendant sa voix à peine audible, comprenant qu’il ressentait une certaine envie, je ne me laissais pas faire, bien au contraire. Ça m’aidait à avancer et à prendre confiance en moi dans mes faits et gestes. Je voulais continuer et le fait de voir qu’il prenait un réel plaisir montrer que je pouvais donc continuer. « Arrête … » Attrapant le bouton de son pantalon, je le défis l’air de rien, tirant sur son pantalon pour le défaire totalement tout en me redressant pour lui lancer un regard on ne peut plus remplit de désir. « C’est fou ce que tu es convaincant mon amour… » Marmonnai-je doucement sans le quitter du regard avant d’empoigner son pantalon pour le lui descendre rapidement sans oser regarder vers son entre jambe. Ne le quittant pas du regard, je descendis lentement son pantalon jusqu’à ses chevilles avant de lui défaire lentement les chaussures, comme si nous étions assez intime pour faire cela, comme si j’en avais le droit. Les lui enlevant, je fis descendre tout le pantalon, le posant avec la chemise, je baissais un regard sur ses chaussettes, ne trouvant vraiment pas cela classe, je les lui enlevais lentement avant de fixer longuement son corps, m’arrêtant sur son entre jambe en soupirant lentement de bien-être et de plaisir. Il était terriblement beau en fait… Oh que oui. Passant mes mains sur ses cuisses je les lui tâtais longuement avant de relever le regard vers lui. « Toujours envie que j’arrête ? » Demandai-je en passant mes mains sur son entre jambe l’air de rien avant de les monter sur ses pectoraux. Je voulais juste pouvoir faire ce que j’avais commencé, à savoir le soulager d’un désir qu’il n’avait pas abouti, contrairement à moi. Mes mains suffiraient amplement je n’en doutais pas un seul instant.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Mer 14 Mar - 23:08
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« C’est toi qui me rend coquine ! Tu viens de me dévergonder, hum, assumez donc monsieur Edgecombe… » Je ris doucement en levant les yeux au ciel. Comme si tout cela était de ma faute. Comme si je l’avais réellement dévergondée … Alors que, bon sang, je n’avais pas eus grand-chose à faire pour qu’elle me suive de la sorte ! Tout au contraire même. Elle m’avait suivit dans nos caresses franchement poussées, sans chercher à me faire arrêter ou ralentir. En clair, elle avait autant aimé cela que moi. Sauf qu’à sa différence, je n’avais pas jouis. Ce dont je ne me plaignais pas pour autant. La raison étant que je n’avais pas fait tout ça pour qu’elle se sente obligée de me rendre la pareille. Tout ce que je voulais, c’était la voir prendre du plaisir et découvrir le plaisir, d’une façon ou d’une autre. Et dans le fond, à part dévorer sa poitrine parfaite et titiller son intimité alors qu’elle était parfaitement habillée, je n’avais pas fais grand-chose non plus. Pas pour cette fois en tout cas. Et autant dire qu’au fil du temps, j’osais espérer que nous irions de plus en plus loin. Tout simplement parce que, plus le temps passerait et plus je serais purement et simplement en manque. Principalement parce qu’elle m’excitait déjà plus que de raison. « Hm … Mais je n’ai rien fais d’autre que … Hm te caresser. Tu es une coquine de m’avoir laissé faire ! » La taquinais-je d’une voix douce. « Des photos ? Mon jardin est pas mal, oui je t’enverrais des photos ! » J’haussai les sourcils et la regardai sans trop comprendre sur le coup. Je compris rapidement, à son fort baiser claquant sur mes lèvres, qu’elle me taquinait, bien entendu. Je ressortis donc ma lèvre inférieure, pour faire mine de bouder, sans la quitter du regard un seul petit instant. « Mais euh … Moi je veux des photos de toi ! » Lâchais-je en prenant une voix légèrement enfantine, sans quitter la moue boudeuse de mon visage. Je me sentais affreusement bien et vivant avec elle et ça me faisait tout simplement un bien fou, et plus encore. J’étais heureux et amoureux, comme jamais je ne l’avais été de toute ma vie.
Alors que nous parlions, par la suite, de sexe sans réel tabou, elle mentionna le fait qu’elle pourrait bien ne pas comprendre ce que j’attendais d’elle, si je venais à lui demander une position bien précise. Raison pour laquelle je lui fis remarquer que je pourrais parfaitement la mettre moi-même en position, si cela venait à arriver. Je souris en coin en la voyant rire et haussai un sourcil, dans l’attente qu’elle m’explique ce qu’elle trouvait de si drôle dans mes paroles. L’idée que je puisse perdre patience et la mettre en position, au plus vite, peut-être ? « Je serais ta chose alors… Je suis sûre que ça t’excite tiens… » Je fis mine de grogner longuement, en lui lançant un regard franchement animal et sauvage sur le coup. Comme pour lui démontrer que oui, bon sang, ça m’excitait et même, plus qu’un peu ! « Genre … comme ma poupée ? » Lui demandais-je sérieusement, avant de rire quelque peu l’air de rien. Je l’imaginais bien se laisser faire, quoi que je fasse personnellement. Ce qui m’excitait bel et bien en effet. Etre libre de décider et agir. Même si je ne doutais pas qu’elle aurait sans doute besoin de temps pour apprendre à me faire réellement confiance dans ce domaine là. Une fois la conversation terminée et mon excitation bien trop présente en moi, je mentionnai une éventuelle occupation, avant qu’elle ne file pour aller chercher ses BD. Je m’installais ensuite à ses côtés, allongés sur le ventre contre elle, alors que je lisais ses BD en souriant quelque peu. Je mentionnai alors l’idée que je les emmène cinq par cinq chez moi, pour pouvoir tous les lire tranquillement. Je du mentionner la présence d’un coffre fort dans mon bureau, pour la rassurer quant au fait que personne ne les trouverait. Elle était désormais la seule en dehors de moi, à connaître l’existence dudit coffre fort. A vrai dire, je l’aimais et lui faisais tant confiance, que j’aurais pu lui dire le moindre de mes sombres secrets, tant cela me paraitrait on ne peut plus logique et normal. Ce n’était pas comme si elle était n’importe qui tout de même !
« Ok, je te fais confiance de toute façon, plus tard elle l’apprend mieux c’est. Enfin, le mieux serait qu’elle ne l’apprenne pas du tout, mais faut quand même prévoir l’option au cas où… Elle a dû s’habituer à ta distance je pense tu sais… elle doit croire que tu es sien et que tu es sa bonne poire… Tant mieux, elle ne se doutera de rien comme cela… » Je souris en coin en hochant la tête avec lenteur. Nous étions peut-être trop optimistes de penser que Stacy était assez idiote pour ne pas réaliser le fait que je la trompais, ou du moins allais la tromper. Mais dans un sens, ce n’était pas plus mal pour nous, d’être à ce point, optimistes. Et ce, pour la simple et bonne raison que nous ne pensions qu’à notre bonheur ou presque. En tout cas pour ma part, je ne pensais pas trop au fait qu’elle risquait de découvrir un jour, cette relation adultère. « Elle est habituée à ma distance en effet. Elle ne remarquera rien avant un bon moment. Je doute qu’elle commence à avoir des doutes par rapport au fait que je ne vais plus la … Toucher … Après tout, je n’ai jamais été très … Enfin tu vois. » Marmonnais-je en rougissant franchement sur le coup, gêné de mentionner une telle chose en sa présence. J’osais espérer que ça ne la dérangerait pas. Je finis par l’allonger sur le lit pour me placer légèrement au dessus d’elle, la câlinant franchement. Avant qu’elle-même ne me pousse pour m’allonger à mon tour et venir contre moi. Sous ses baisers, je ne sentis pas tout de sujet ce qu’elle faisait. A savoir, poser sa main sur ma ceinture. Ce ne fut que lorsqu’elle entreprit de la défaire et de la retirer, que je me figeai et réalisai qu’elle chercher à me déshabiller. Le corps contracté comme jamais, je tournai un regard totalement perdu et presque paniqué vers elle en lui demandant ce qu’elle faisait, bien que je le sache parfaitement. A peine lui avais-je demandé d’arrêter, qu’elle déboutonna le bouton de mon pantalon. Le cœur battant la chamade et le cœur s’emballant violemment, je me passai une nouvelle fois la langue sur les lèvres en la regardant, sans même chercher à la faire arrêter. J’avais à la fois terriblement envie qu’elle continue … Et à la fois, l’envie qu’elle cesse au plus vite. « C’est fou ce que tu es convaincant mon amour… » Je gémis faiblement en la sentant me baisser franchement le pantalon. Je tournai le regard vers le plafond en me mordant fortement les lèvres, avant de redresser la tête pour la regarder sans broncher. « Ma conscience me pousse à te faire cesser … Mais mon corps me l’interdit … » Soufflais-je d’une voix rendue rauque par le désir grandissant. Je tremblai fortement, le temps qu’elle retire le reste de mes vêtements et fermai les yeux en soufflant longuement, pour tenter de garder le contrôle sur moi-même.
Je me figeai plus encore, en sentant ses mains sur mes cuisses. « Toujours envie que j’arrête ? » Je gémis faiblement en redressant à nouveau la tête, pour plonger mon regard dans le sien, tremblant de plus bel, sous mon envie grandissante. « Oui … Mais non … » Murmurais-je faiblement, sans la quitter de mon regard clairement envieux. Je me figeai fortement en sentant ses mains passer sur mon entre jambe et fermai les yeux en serrant fortement les dents sur le coup, sentant ses mains remonter à mes pectoraux. Je me redressai brusquement, pour plaquer mes lèvres sur les siennes et me rallonger en l’attirant au dessus de moi. Je l’embrassais fiévreusement, en glissant mes mains dans ses cheveux, pour l’embrasser franchement. Après un long baiser, je laissai retomber ma tête sur le lit, le souffle cout et précipité et le cœur battant la chamade. « Je suis à toi … » Soufflais-je d’une voix faible, sans la quitter un seul instant du regard.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Jeu 15 Mar - 10:40
₪ THERE IS A FIRE INSIDE OF THIS HEART AND A RIOT ABOUT TO EXPLODE INTO FLAMES
Nolan & Lhoà
« Hm … Mais je n’ai rien fais d’autre que … Hm te caresser. Tu es une coquine de m’avoir laissé faire ! » Gémissant doucement je léchais sa joue avec envie avant de lui mordre faiblement la peau en me collant bien contre lui en soupirant de bien-être. « Hum, hum… Toi tu es un coquin de m’avoir fait connaitre le plaisir sexuel… L’orgasme… Moi aussi je vais être en manque maintenant que je connais les joies du sexe… » soufflai-je l’air de rien avant de lui dire que je lui enverrais des photos de mon jardin pour le taquiner. « Mais euh … Moi je veux des photos de toi ! » riant faiblement, je déposais de lent baiser sur ses lèvres en lui lançant un regard amoureux. « Tu en auras… Oh que oui… Si j’en ai de toi aussi… » Soufflai-je l’air de rien en guettant sa réaction. Parlant de position et de sexe sachant que j’étais totalement inculte sur pas mal de chose, je lui fis comprendre qu’il pourrait faire ce qu’il voulait de moi. « Genre … comme ma poupée ? » Riant faiblement, je lui lançais un regard clairement amoureux avant de fourrager lentement ses cheveux. Une poupée… faire la poupée, pour le coup j’avais tout de même de drôle d’idée en tête, mais je voulais bien être sa petite poupée quand même. Ses mains sur mon corps, me plaçant dans des gestes délicats et doux, m’écartant les cuisses me contemplant… C’était fou comme je pouvais déjà ressentir une sorte de désir pour lui. Pourtant je n’avais jamais pensé aux côté cul avant, non jamais, il faut dire que quand l’on ne connait pas certaines choses, ça ne peut pas réellement nous manquer… « Hum, genre comme une poupée oui… Ta poupée… Tu sais que je m’adonnerais totalement à toi le jour où l’on fera l’amour ? » soufflai-je doucement en lui lançant un regard bien coquin et taquin en caressant sa joue du bout de mes doigts.
Une fois fait, je lui apportais mes BD les lui faisant lire, en parvenant a conclure qu’il en prendrait cinq par cinq afin de ne pas alerter sa femme et qu’il le cacherait dans un coffre-fort. Coffre dont elle n’avait pas la connaissance, et ça me plaisait atrocement que moi simple maitresse soit au courant. Puis on parla du fait qu’elle pouvait avoir des soupçons et que de toute façon le fait qu’elle nous découvre était à prévoir… Elle ne devait pas être idiote tout de même… « Elle est habituée à ma distance en effet. Elle ne remarquera rien avant un bon moment. Je doute qu’elle commence à avoir des doutes par rapport au fait que je ne vais plus la … Toucher … Après tout, je n’ai jamais été très … Enfin tu vois. » Plissant le nez je compris ce qu’il voulait dire, je n’étais pas non plus née de la dernière pluie. J’étais peut être vierge mais pas idiote. Mais dans un sens ça me plaisait qu’il ne puisse pas trop la toucher… Qu’il soit si distant vis-à-vis d’elle. Quelle maitresse ne rêvait pas que son homme ne touche plus sa femme ? Et si un jour elle le réclame ? Si un jour elle se fait trop pressente sexuellement parlant ? Est-ce qu’elle le forcerait ? Est-ce que lui coucherait avec elle pour faire passer les soupçons ? Mon cœur se serra sur le coup. Je ne voulais pas poser la question, je ne voulais même pas savoir ce qu’il lui faisait au lit, s’il était doux, sauvage, brutal, je ne voulais rien savoir de tout cela. J’acceptais ces termes en acceptant de sortir avec lui, ça devait bien se trouver là-dedans. Je n’étais que la maitresse, même s’il me disait que pour lui j’étais bien plus. Je voulais bien le croire, mais elle était là, elle et sa foutue fille. Sa fille n’était pas un souci, le souci était-elle, sa paire de cuisse et ce qu’il y avait entre. Une partie de jeu. « Au bout d’un moment ? Combien de temps à ton avis ? Tu crois qu’elle te suivra ? Qu’elle va t’espionner ou autre connerie du genre ? Et oui je vois ce que tu veux dire… » Marmonnai-je doucement en souriant à peine. C’était déjà dur pour moi. Ce n’était pas une ex, c’était sa femme, un présent. Je ne préférais plus y penser, encore moins quand il me mit sur le lit sur le dos pour me câliner en me disant être bien avec moi.
Je ne tardais pas à le plaquer à mon tour sur le lit pour lui dire que moi aussi j’étais bien avec lui, avant de m’activer sur sa ceinture. La lui défaisant rapidement en lui faisant comprendre ce que j’allais faire pour ne pas qu’il en ait sur ses vêtements. « Ma conscience me pousse à te faire cesser … Mais mon corps me l’interdit … » Souriant en coin, je le détaillais longuement avant de continuer de le déshabiller. J’aimais qu’il puisse autant perdre le contrôle, qu’il ne puisse pas justement me retenir. Son plaisir était bien trop grand de toute façon à mon avis… Soupirant lentement sans rien répondre, je le mis en boxer avant de poser mes mains sur ses cuisses, avant de lui demander s’il avait toujours envie que j’arrête. « Oui … Mais non … » souriant en coin, je ne l’écoutais pas, je préférais suivre mes idées, mes envies, je savais quoi faire, je me sentais prête, alors autant foncer, je savais que je ne le regretterais pas ! Touchant son membre, tout en remontant le long de son corps, pour toucher ses pectoraux, je le sentis se figer plus ou moins. Tant mieux, je lui faisais de l’effet, j’aimais cela. Sentant tout à coup, ses lèvres sur les miennes je poussais un faible cri de plaisir avant de le laisser m’allonger sur lui nous embrassant franchement, ses mains dans mes cheveux. « Je suis à toi … » Gémissant longuement et lentement je passais le bout de ma langue sur ses lèvres en grognant de plaisir et de bien-être. Glissant sur lui, je pris son boxer dans mes mains avant de le faire à son tour glisser le lui baissant avant de m’assoir à ses côtés le jetant sur le reste des fringues, j’osais enfin regarder son membre le scrutant longuement. C’était la première fois pour moi. Mordillant lentement mes lèvres, je passais le bout de mes doigts dessus, comme pour m’acclimater. Touchant toute sa partie, je souris faiblement avant de revenir contre lui m’allongeant à moitié sur lui, l’embrassant avant de glisser ma main entre nos corps attrapant son membre pour commencer de long vas et vient glissant ma langue dans sa bouche, me mouvant contre lui, mon bas ventre touchant son intimité de temps à autres. J’accélérais la cadence de temps à autre sans quitter ses lèvres des siennes. « Tu aimes ? Dis-moi que tu aimes, que je m’y prends bien… Je… Si t’aime pas dis le moi, dis-moi comment faire… » soufflai-je doucement en mordillant lentement ses lèvres. Ma main s’activait sur son membre, j’essayais de bien faire les mouvements, entier, long mon ventre se frottant tout aussi contre, j’essayais de l’exciter le plus possible et c’était dur quand on ne savait pas faire…Me redressant je le regardais longuement rougissant avant d’enlever ma brassière dévoilant franchement ma poitrine avant de baisser un regard sur son membre, passant le bout de mes doigts sur son point sensible, je compris que c’était ça l’essentiel. Souriant en coin je me rallongeais sur lui continuant mes mouvements tout en passant mon pouce sur son point sensible l’embrassant tandis que ma poitrine se frottait contre son torse.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Ven 16 Mar - 0:36
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Hum, hum… Toi tu es un coquin de m’avoir fait connaitre le plaisir sexuel… L’orgasme… Moi aussi je vais être en manque maintenant que je connais les joies du sexe… » Je ris doucement en lui lançant un regard le plus coquin et provocateur qui soit. L’idée qu’elle puisse être tout autant en manque que moi, par la suite, était loin d’être pour me déplaire. A la vérité, l’idée me plaisait même énormément. Et ce, pour la simple et bonne raison que je me sentirai bien moins seul, dans cette terrible douleur à la fois physique et mentale. Mais surtout moins seul à supporter les semaines, pour ne pas dire mois, frustrantes, à venir. « Tant mieux ! Je ne serai pas le seul à souffrir de manque comme ça ! » Lâchais-je d’une voix taquine, en tapotant doucement ses fesses l’air de rien. Des fesses merveilleusement rondes et bien fermes. Des fesses faites pour se retrouver dans mes mains. Ou contre mon bas ventre. Mais là, je devais vite retirer ces pensées de ma tête tant elles avaient le don de me chambouler et de me mettre sans dessus dessous. Lorsqu’elle mentionna le fait qu’elle m’enverrait des messages bien chauds pour que je puisse me soulager, plus tard, je mentionnais le fait que je désirais des photos avec ça. Je pris une mine légèrement boudeuse, quand elle mentionna l’idée d’envoyer des photos de son jardin. « Tu en auras… Oh que oui… Si j’en ai de toi aussi… » Je ris doucement en levant les yeux au ciel. Quel marchandage. C’était vraiment pas juste. « Ca dépend le genre de photos que tu veux. » Lâchais-je d’une voix taquine, en souriant quelque peu en coin pour le coup. J’imaginais déjà parfaitement le genre de photos qu’elle pourrait bien m’envoyer, pour m’exciter plus que de raison, puis m’aider à me soulager, tout simplement. Toutefois, pour ma part, je ne me sentais vraiment pas de lui envoyer le même genre de photos …
Alors que nous parlions toujours ouvertement de sexe, je ne pu m’empêcher de frissonner quelque peu, en apprenant que je pourrais faire d’elle ce que bon me semblerait, lorsque nous coucherions ensemble. Je souris en coin et levai vaguement les yeux au ciel, devant son rire léger. « Hum, genre comme une poupée oui… Ta poupée… Tu sais que je m’adonnerai totalement à toi le jour où l’on fera l’amour ? » Je ne pu retenir un faible mais long gémissement sur le coup, tant l’idée me plaisait et me donnait foutrement envie pour le coup. J’avais de plus en plus hâte d’être à ce jour pour ma part. Elle n’avait pas le droit de me tenter à ce point et me donner autant envie, bon sang. « Hmpf … Tu me feras entièrement confiance ? » Lui demandais-je d’une voix clairement amoureuse pour le coup, tant l’idée qu’elle puisse s’adonner entièrement à moi sans la moindre limite, me plaisait plus que de raison. C’était même un euphémisme à vrai dire, pour le coup. Par la suite, j’entrepris de découvrir et de lire, les BD qu’elle aimait tant dessiner et écrire. Nous discutâmes de celles-ci et du fait que je désirais les emmener cinq par cinq chez moi pour les lire. Je lui assurais qu’il n’y avait aucun risque pour que qui que ce soit puisse les découvrir. Il fut alors question de Stacy et du fait de savoir si oui ou non, elle finirait par suspecter le fait que j’avais peut être bien une maitresse. A vrai dire, j’ignorais totalement si elle allait ou non se mettre à me soupçonner ou non. Et j’ignorais plus encore, si elle allait tenter ou faire quoi que ce soit concernant le fait qu’elle finirait forcément par exemple sexuellement frustrée. Ce qui, en toute honnêteté, n’était en aucun cas mon problème. « Au bout d’un moment ? Combien de temps à ton avis ? Tu crois qu’elle te suivra ? Qu’elle va t’espionner ou autre connerie du genre ? Et oui je vois ce que tu veux dire… »
Je soupirai d’aise en plissant le nez. J’avais beau savoir que Lhoà faisait tout pour paraître forte à mes yeux, je savais aussi et surtout, qu’elle avait déjà du mal à supporter la présence de ma femme dans ma vie. Ce que je ne pouvais qu’aisément comprendre d’ailleurs. Et je préférai ne rien dire à ce sujet, ne pas e rajouter une couche pour éviter de la faire souffrir plus que ce n’était déjà le cas. « Ca fait … Un bon moment que je ne l’ai pas touché. Alors désolé … Mais d’ici à quelques semaines … Je doute qu’elle soit ainsi. Et si elle dit quoi que ce soit ou me pose des questions, je lui dirai juste … une bonne partie de la vérité. Que la voir me file la nausée et que l’idée de la toucher ou l’approcher de trop près, me rend malade … » Lâchais-je à travers mes dents serrées. Voix dans laquelle on pouvait aisément sentir toute la haine que j’éprouvais de plus en plus, à son encontre. Je ne pouvais pas m’en cacher et encore moins maintenant que j’avais le droit de l’extérioriser, en présence de quelqu’un qui l’aimait tout aussi peu que moi. Ma Mily. Après un bref câlin de ma part, cette dernière me fit rouler sur le lit, pour m’allonger dessus et se placer contre moi. Là, de façon tout à fait lente et innocente, elle entreprit de me retirer ma ceinture. Je ne pu m’empêcher de la laisser faire tant mon envie était violente et pressante et bien que ma conscience n’eut de cesse de vouloir la faire arrêter tout ça avant d’aller trop loin. Une fois qu’elle m’eut retiré tous mes vêtements pour de bon, je l’attirai au dessus de moi, pour glisser mes mains dans ses cheveux et l’embrasser avec une franche insistance. Je la laissai alors mener la danse, se placer bien au dessus de moi et entreprendre de caresser intégralement, mon intimité, de sa main. Je gémis contre ses lèvres, en sentant son bas ventre contre mon entre jambe, se frottant faiblement alors que sa main y faisait de longs et doux vas et vient. Je gémis plus franchement, lorsqu’elle entreprit d’accélérer quelque peu les mouvements de sa main. « Tu aimes ? Dis-moi que tu aimes, que je m’y prends bien… Je… Si t’aime pas dis le moi, dis-moi comment faire… »
Je souris de façon attendrie, devant son évident manque de confiance en elle pour le coup. Evidemment, je ne pouvais que la comprendre si l’on considérait que c’était la toute première fois de sa vie, qu’elle faisait une chose pareille et sans doute même, qu’elle voyait un sexe d’homme d’aussi près. Ce qui, bon sang, me plaisait foutrement trop ! J’avais presque du mal à me faire à l’idée tant c’était unique et rare de nos jours ! Même s’il était vrai que c’était presque normal, si l’on considérait son âge. « C’est merveilleux ma Mily. Ne t’inquiète pas … Et surtout, surtout … Ne t’arrête pas ! » Soufflais-je d’une voix totalement rauque, en me passant lentement la langue entre les lèvres et fermant un instant les yeux sur le coup. Comme dans un songe totalement invraisemblable tant il était trop beau pour être vrai, je sentais sa main s’activer, bouger avec franchise, caresser, empoigner et tâter. Ses caresses sur mon point sensible qui me firent frissonner et gémir à chaque fois. Je tremblais sous le plaisir presque trop pressant et redressai la tête pour voir sa main sur moi, toujours en action, avant qu’elle ne se redresse pour retirer sa brassière, libérant sa merveilleuse poitrine que je venais de découvrir de mes mains et de ma bouche. Je gémis fortement en la sentant s’allonger sur moi, sa poitrine contre mon torse et sa main toujours plus active sur mon membre. Je posai mes mains sur son dos pour la serrer conte moi avec franchise et soufflai longuement pour tenter de me calmer, histoire de ne pas oublier de respirer malgré le plaisir toujours plus intense. Au fil des minutes, mon corps se mit à trembler de plus en plus et la sueur recouvrir celui-ci. Je penchai alors la tête en arrière en lâchant un franc gémissement de plaisir, mes mains glissant sur sa taille pour l’empoigner avec fermeté. « Oh bon sang, je suis trop excité. Je vais … Je vais … » Répétais-je à plusieurs reprises, sans parvenir à terminer ma phrase tant ma gorge était nouée par le plaisir. Je tremblai de plus en plus de plaisir et tentais de retenir la montée de la jouissance, tant je me sentais presque frustré par avance, à l’idée de partir si vite. Néanmoins, c’était bien là le but. Jouir pour me sentir tout de même mieux, après ce trop plein de désir à l’état brut. « Finir ! » Hurlais-je sans pouvoir me retenir, en resserrant fortement mes mains, sur sa taille et serrant les dents pour tenter de me contrôler le plus possible.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Ven 16 Mar - 22:27
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Nolan & Lhoà
« Tant mieux ! Je ne serai pas le seul à souffrir de manque comme ça ! » Levant vaguement les yeux au ciel, je me mise à rire en lui lançant un regard taquin avant de pincer faiblement son nez sous la tendresse et l’amour. « Je te ferais des petites gâteries d’ici là je pense… » Soufflerait-elle l’air de rien en lui lançant un regard bien innocent. Parlant de photos coquines je le taquinais en disant qu’il aurait droit à des photos de mon jardin avant de lui dire que s’il veut des photos, j’en veux de lui aussi ! « Ca dépend le genre de photos que tu veux. » Riant doucement je parcourais son torse du bout de mes doigts en soupirant lentement de plaisir « Toi torse nu… Ou hum en caleçon ? » Demandai-je doucement en souriant en coin. Parlant sexe, on parla de position, m’annonçant que je serais comme sa poupée, chose que j’acceptais aisément, être sa poupée, ne me dérangeais aucunement bien au contraire… ça m’excitée d’avance… « Hmpf … Tu me feras entièrement confiance ? » Souriant de façon coquine et taquine je lui lançais un regard amoureux en passant le bout de mes doigts sur ses lèvres. Je lui faisais déjà confiance, alors il était clair qu’une fois au lit, dans ce lit pour des choses bien précises, je lui ferais tout autant confiance. Je savais qu’il saurait se montrer doux et lent, et surtout patient, je n’en doutais pas un seul instant d’ailleurs. « totalement oui…Entièrement… » soufflai-je doucement en déposant de lent baiser sur ses lèvres en souriant en coin. Parlant de mes bd, du fait qu’il les amènerait cinq par cinq chez lui, on parla de sa femme, Stacy afin de savoir et de prévoir comment et quand elle pourrait découvrir pour notre relation mais surtout le fait qu’il n’allait donc plus la toucher.
Dans un sens ça me réjouissait qu’il ne la touche plus mais dans l’autre, ça allait nous porter préjudices je le sentais… « Ca fait … Un bon moment que je ne l’ai pas touché. Alors désolé … Mais d’ici à quelques semaines … Je doute qu’elle soit ainsi. Et si elle dit quoi que ce soit ou me pose des questions, je lui dirai juste … une bonne partie de la vérité. Que la voir me file la nausée et que l’idée de la toucher ou l’approcher de trop près, me rend malade … » Frissonnant franchement de dégout, je le regardais longuement sans trop savoir quoi dire. Il ne l’a touchait pas souvent, mais ça m’écœurais quand même dans le sens où il l’avait touché à de nombreuses reprises. Il devait se soulager, il devait… Que faisait-il dans ses moments ? Est-ce qu’il l’embrassait ? Est-ce qu’il l’a caressait comme il m’avait fait ? Est-ce qu’il lui faisait tout cela, était-il doux ? Sauvage ? Je ne savais pas et ne voulait pas savoir malgré ma curiosité avancé… C’était quand même frustrant, blessant, y’avait un peu de tout là-dedans… C’était tellement… Je ne pouvais pas lui en vouloir. Il fallait que je cesse d’y penser alors que nous étions ensemble depuis peu. « D’accord… Mais bon, viendra bien un moment ou elle, elle va en avoir vraiment envie quand même non ? Genre au bout de six mois… Je veux dire, si tu l’as touche pas tout ce temps… Elle va perdre les pédales non ? » demandai-je doucement en souriant à peine. Le plaquant sur le lit par la suite, je me mis à le déshabiller totalement pour lui rendre autant de plaisir qu’il m’en avait donné. Voyant qu’il ne voulait pas mais ne faisait rien pour m’en empêcher je continuais avant de m’allonger sur lui prenant alors son membre dans ma main pour m’activer en lui demandant si j’agissais bien et s’il prenait, bien évidemment un plaisir certains.
« C’est merveilleux ma Mily. Ne t’inquiète pas … Et surtout, surtout … Ne t’arrête pas ! » Frissonnant longuement, je m’activais sur son membre, je faisais en sorte de lui donner beaucoup de plaisir, oui, je faisais de franc vas et vient, je me dépêchais, je voulais lui donner beaucoup de plaisir, je voulais le voir jouir, je voulais moi aussi pouvoir profiter de cette vue, faire comme lui avait fait pour moi. Me frottant à lui, je ne tardais pas à me redresser pour enlever mon haut, libérant alors ma poitrine, la faisant faiblement durcir contre son torse en me frottant bien à lui. Je voulais simplement le rendre fou. Ses mains dans mon dos, je fermais les yeux en soupirant longuement de plaisir et de bien-être. « Oh bon sang, je suis trop excité. Je vais … Je vais … » Gémissant en le voyant autant bégayer, je compris qu’il allait finir, qu’il allait jouir. Souriant en coin, j’activais ma main sur son membre, faisant de franc mouvement, mon pouce passant bien sur son point sensible pour le tuer plus que de raison. Ma poitrine se frottant sur son torse, mon bas ventre sur son membre, je l’embrassais avec franchise, caressant sa langue de la mienne une instant avant de lui mordiller celles-ci. « Finir ! » Surprise de son cri, je m’activais encore plus en me mouvant le contemplant longuement avant de le sentir jouir. Sa sueur perlant sur son front, la mienne, sur mon dos, je sentis sa semence sur ma main, sur mon ventre, je l’a sentais couler, je sentis son plaisir entre mes mains et je m’activais encore plus n’arrivant pas à m’arrêter, tant le voir crever de plaisir me faisait un bien fou. Ma main glissant plus franchement sur son intimité durci de plaisir je déposais de lent baiser sur ses lèvres en restant allongée sur lui gardant son membre en main. Enfouissant mon visage dans son cou, le souffle quelque peu coupé, je me laissais glisser à ces cotés au bout de quelques minutes avant de poser ma main sur mon ventre. J’étais totalement couverte, marqué par sa semence. Soupirant en fermant les yeux, je posais ma tête contre son épaule en soupirant de plaisir. « Tu savais que ça rendait la peau douce ? » Soufflai-je à voix basse avant de regarder mes mains, me redressant pour venir m’assoir sur lui, ignorant totalement sa nudité avant de poser mes mains sur son ventre le chatouillant l’air de rien avant de lui étaler sur le torse, cherchant à le chatouiller de plus belle l’air de rien.
“ J. Nolan Edgecombe ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 18 Mar - 0:48
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Je te ferais des petites gâteries d’ici là je pense… » Je me figeai faiblement sur le coup, sans pouvoir m’en empêcher et lui lançai un regard clairement envieux, en me passant involontairement la langue sur les lèvres. J’haussai un sourcil et eus un mal fou à déglutir, avant de parvenir à ouvrir enfin la bouche. « Oh … Vraiment ? » Demandais-je alors, d’une voix totalement étranglée par l’envie grandissante et terriblement prenante. Non pas que je ne la croyais pas capable de cela, tout de même. Mais l’idée d’avoir droit à ce genre de … Choses, était presque choquante tant ça me surprenait presque. Cela faisait bien longtemps, que je n’avais pas eus droit à de quelconques préliminaires. Mais si l’on considérait le fait que j’avais moi-même interdit à Stacy de recommencer, du jour au lendemain, on pouvait vite comprendre et réaliser que c’était tout à fait normal dans le fond. Parlant toujours, ouvertement, de sexe, j’en vins à lui demander des photos d’elle, puisqu’elle désirait tant me chauffe par sms, lorsque je serais chez moi et elle chez elle. En apprenant qu’elle désirait des photos en retour, je lui demandais de quel genre, tout à coup inquiet de ce à quoi elle pouvait bien s’attendre de ma part. « Toi torse nu… Ou hum en caleçon ? » J’haussai un sourcil devant un telle requête, avant de rire franchement, sans pouvoir m’en empêcher. J’avais beau m’être totalement préparé à cela, je ne pouvais pas m’empêcher de rire devant son culot. S’imaginait-elle réellement, que je pourrais faire de tels trucs ? Certes, c’était elle. Mais tout de même ! De là à me prendre en photo. Et presque nu qui plus est ! « Je suis pas du genre à me prendre en photo tu sais. J’aime pas trop ça … » Marmonnais-je d’une voix hésitante, en plissant quelque peu le nez sans la quitter du regard, avant de soupirer doucement. C’était elle, tout de même … « Bon … Torse nu ok ? Et on peut tout à fait en faire ensemble des photos, aussi ! » Lâchais-je l’air de rien, en fronçant quelque peu les sourcils. Parlant toujours de sexe, j’appris qu’elle serait du genre à se donner totalement et entièrement à moi, lorsque nous coucherions enfin ensemble. Et autant dire que cette nouvelle eut le don de me plaire au plus haut point. J’aimais l’idée qu’elle puisse me faire une confiance aveugle et s’adonner entièrement à moi. « totalement oui…Entièrement… » Je soupirais d’aise sous ses baisers et la regardais amoureusement, sans pouvoir m’en empêcher, tant tout cela était foutrement bon et plaisant !
Tout en lisant ses BD, nous parlâmes alors de celles-ci puis du fait que j’allais en emporter quelques unes chez moi pour les lire, et enfin le fait que je les cacherai de ma femme. Nous parlâmes alors de cette dernière et je mentionnai le fait que j’allais totalement cesser de la toucher et que, forcément, cela lui mettrait la puce à l’oreille, tôt ou tard. « D’accord… Mais bon, viendra bien un moment ou elle, elle va en avoir vraiment envie quand même non ? Genre au bout de six mois… Je veux dire, si tu l’as touche pas tout ce temps… Elle va perdre les pédales non ? » Je soupirai doucement et fronçai les sourcils en réfléchissant intensément. Malheureusement pour ma part, je ne voyais aucune idée susceptible de ne pas lui mettre la puce à l’oreille. Je ne comptais pas lui faire l’amour, simplement pour brouiller les pistes. Je préférais amplement qu’elle découvre la vérité, c’était pour dire. « Je lui achèterai des jouets, pour qu’elle s’amuse avec ! » Finis-je par marmonner en plissant le nez de dégoût sur le coup. Je ne voulais même pas savoir si oui ou non, elle se soulagerait avec. Je ne voulais plus rien savoir à son sujet à vrai dire et encore moins sur le plan sexuel. Si je le pouvais, je n’aurais même plus rien à voir avec elle. Mais là, c’était bien trop demander apparemment. Désireux d’oublier tout ça et de profiter pleinement du peu de temps que j’avais à passer avec Mily, je la pris dans mes bras, avant qu’elle ne me plaque sur le lit, pour m’embrasser et me déshabiller entièrement. Je l’attirai sur moi tandis qu’elle caressait franchement mon membre de sa main et l’embrassai fiévreusement, pendant qu’elle s’activait au dessus de moi, sur moi, son bas ventre contre mon membre durcit de désir pour elle. Je gémis fortement contre ses lèvres pressantes et tremblais sous sa main exigeante, mon visage et mon corps se recouvrant d’une fine couche de sueur sur le coup, tant le plaisir montait comme une flèche en moi. Je finis par lâcher dans un puissant cri de plaisir, le fait que je n’allais pas tarder à jouir et finis par bel et bien me laisser aller à ce plaisir dévastateur, contre lequel je ne pouvais absolument rien. Tremblant fortement, je gardai les mâchoires serrées et les yeux clos, durant un long moment, le souffle encore saccadé et les battements de mon cœur trop rapides. Je la laissai s’allonger sur moi et enfouir son visage dans mon cou, sans broncher un seul instant, demeurant totalement inerte sous elle, pour le coup.
« Tu savais que ça rendait la peau douce ? » Je lâchai un bref et à peine sonore, rire, sur le coup, tant sa question venait de me surprendre au plus haut point, pour être honnête. Je m’étais attendu à tout, sauf à cela, je devais bien le reconnaître. « Vraiment ? » Demandais-je faiblement, avant de la regarder se redresser pour s’asseoir sur moi. Sans la quitter de mon regard envoûté et amoureux, je posai mes mains sur ses cuisses, pour les caresser avec tendresse, tandis que je la regardais amoureusement, sans me priver un seul instant. Je me figeai faiblement en sentant ses mains parcourir mon ventre et mon torse et haussai un sourcil tandis que je redressais la tête pour la voir étaler ma propre semence sur mon corps. Je frissonnai fortement en la sentant me chatouiller faiblement et empoignai fortement ses poignets de mes mains, pour les poser sur le lit, de part et d’autre de mon corps. « Je suis chatouilleux … un peu. » Soufflais-je d’une voix douce, avant de redresser la tête, pour déposer un fort baiser sur ses lèvres. Je restai contre un moment, avant de l’embrasser avec tendresse et insistance, sans pour autant y mettre la langue, me contentant de caresser et embrasser ses lèvres des miennes, les prenant avec douceur entre les miennes en soupirant longuement d’aise. Une fois mon cœur et ma respiration redevenu normaux, je me redressai brusquement, pour quitter le lit et la soulevai pour la reposer sur mon épaule, la portant ainsi l’air de rien. « Tu m’indiques ta salle de bains ? J’ai besoin d’une douche ! Et je t’invite à te joindre à moi. Quitte à garder ton short. » Lâchais-je l’air de rien en posant une main sur le haut de sa cuisse, pour remonter ma main et glisser le bout de mes doigts dessus, caressant l’une de ses fesses avec lenteur. « Ou ton string … ou rien du tout … De toute façon tu m’as … Hm épuisé. Je doute de perdre les pédales si tu restes sage … » Ajoutais-je l’air de rien, incapable de lui cacher combien j’étais désireux de voir son corps intégralement dépourvu de vêtements, quitte à la toucher simplement avec mes yeux d’homme amoureux.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
Messages : 79 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 18 Mar - 20:09
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Nolan & Lhoà
« Oh … Vraiment ? » Rougissant faiblement, je me passais la main sur la joue en souriant en coin. Bien sûr que je lui en ferai, une fois totalement à l’aise là-dedans bien évidemment ! « Ben oui… Une fois que j’aurais bien confiance en moi, on pourra… Vraiment pousser les préliminaires, on ne va pas se contenter de quelques caresses mon amour… » soufflai-je doucement avant de parler de photos coquine. Il en voulait de moi, mais moi j’en voulais de lui, juste pour le taquiner ceci dit. « Je ne suis pas du genre à me prendre en photo tu sais. J’aime pas trop ça … » Souriant faiblement en le voyant plisser le nez, je restais inerte ne pouvant pas détourner le regard une seule seconde. « Bon … Torse nu ok ? Et on peut tout à fait en faire ensemble des photos, aussi ! » Riant faiblement je déposais de lent baiser sur ses lèvres aimant le voir de la sorte. Comme si moi j’aimais et avait l’habitude de me prendre en photo dans des tenus coquines… « Parce que moi je suis du genre à me prendre en photo ? Hum torse nu…. Des photos ensemble ? Coquine les photos ? » Demandai-je l’air de rien en souriant en coin. Parlant des bd et de sa femme, du fait qu’elle allait vite se rencontre compte de quelque chose vu qu’il ne l’a touchait et plus et ne l’a toucherai plus, j’essayais de trouver un moyen, me demandant s’il ne devrait pas la toucher de temps en temps, sans pour autant le dire, mais il me rassura en me disant qu’il ne voulait plus la toucher, tant mieux… « Je lui achèterai des jouets, pour qu’elle s’amuse avec ! » Surprise de ses paroles, lui lançant un regard clairement choqué, je lâchais un « berk » sonore en grimaçant avec violence pour le coup.
Heureusement que je ne savais pas à quoi elle ressemblait, parce que pour le coup j’avais de drôle d’image en tête. Déglutissant, je me mis à rire par la suite sans pouvoir m’en empêcher. C’était tout de même bizarre tout cela… « Tu parles sérieusement là ? Des… Genre des trucs en plastiques long ressemblant à une queue ? C’est… Mais c’est… Imagine après elle va dans la salle de bains et tu entends le bruit des vibrations de la chose ? Et… Et… ahhhhhhhh Nolan ! Propose-lui d’aller voir ailleurs… Peut-être qu’elle acceptera ! » soufflai-je l’air de rien. Par la suite, je le poussais sur le lit le déshabillant totalement, n’ayant qu’une envie. Lui rendre la monnaie de sa pièce. Faisant de rapide vas et vient, mon bas ventre se frottant tout aussi bien contre son membre, ma poitrine dénudé sur son torse, je le sentis jouir par la suite une fois qu’il m’eut prévenu d’une voix forte. Totalement tremblante sur lui, je sentis la semence se couvrir sur nos corps, le regardant alors jouir pleinement avant de rester de longues minutes sur lui. Sans perdre de temps je lui fis remarquer que la semence rendait la peau douce. « Vraiment ? » Souriant en coin, j’hochais lentement la tête de façon affirmative. « Ouais, j’ai appris ça cette année en cours de Biologie lorsqu’on a étudié le corps humain. Il parait que même certain produit en utiliserai à faible dose pour rendre justement la peau douce. Ouais qu’est-ce qu’on n’apprend pas de nos jours en cours ! » Soufflai-je en me redressant m’asseyant sur lui, sentant ses mains sur mes cuisses. Lui étalant sa semence sur son ventre en commençant alors à le chatouiller je sentis rapidement ses mains empoigner mes poignets les posant de parts et d’autre de son corps, nos regards se vrillant. J’avais envie de lui tout à coup.
« Je suis chatouilleux … un peu. » Souriant en coin en mordillant mes lèvres je l’embrassais rapidement lorsqu’il vint plaquer ses lèvres sur les miennes. Soupirant de bien-être je fermais les yeux, me laissant envahir par une vague de chaleur. C’était tellement parfait… Se redressant en me posant sur son épaule, je poussais un faible cri de surprise me tenant à lui au cas où. « Tu m’indiques ta salle de bains ? J’ai besoin d’une douche ! Et je t’invite à te joindre à moi. Quitte à garder ton short. » Surprise je restais silencieuse, sentant alors sa main se glisser sur ma cuisse puis sous mon short pour caresser lentement ma fesse. Mon cœur battant la chamade, mon sang affluant en moi. Une douche, il voulait une douche avec moi… Qui plus est… Il aurait bien voulu que j’enlève le short. Je n’arrivais même pas à bouger pour le coup, me sentant rougir. « Ou ton string … ou rien du tout … De toute façon tu m’as … Hm épuisé. Je doute de perdre les pédales si tu restes sage … » Gémissant faiblement, la première question qui me vint à l’esprit, c’est. Comment sait-il que j’ai un string et pas autre chose ? Riant faiblement je posais mes mains sur ses fesses nues les lui caressant lentement « Tourne toi, de l’autre côté la porte, on l’a voit pas, on dirait le mur… Mais au coin pousse la et c’est la salle de bains ! » soufflai-je doucement en fermant quelque peu les yeux, ne disant rien sur le fait que nous allions nous doucher ensemble. Une fois arrivé dans la salle de bains je le tapotais pour qu’il me repose au sol, chose qu’il fit sans se faire prier. Souriant en coin, je déposais un rapide baisé sur ses lèvres avant de sortir deux grandes serviettes les posant sur le radiateur pour mieux les réchauffer le temps de la douche. Tirant la porte de la douche, je mis l’eau à couler, la réglant pour qu’elle soit bien chaude une fois qu’on irait dedans. « Désolée, je n’ai pas de produit pour homme par contre… Enfin quoi que… Attend moi là d’accord ? » Sans lui laisser le temps de dire ou faire quoi que ce soit, je filais hors de la pièce puis de ma chambre et traversa la maison pour monter dans la salle de bains de Nino et Cléa. Sans un bruit, surtout que j’étais en simple short, je me faufilais dans la salle de bains et fouilla le placard pour prendre des produits pour homme. Revenant rapidement de mon expédition, je posais le tout à côté des miens. « Comme ça ni vu ni connu tu ne sentiras pas la femme ! » soufflai-je avant de défaire lentement mon short, rougissant avec extrême violence. Je ne m’étais jamais montré nu devant un homme… Pas même mon frère. Ok il avait déjà vu mes seins, mais c’était mon frère, il m’arrivait après tout de faire du topless dans le jardin quand il faisait beau mais… Mais le bas… Raclant ma gorge, je fis glisser le tissu le long de mes cuisses l’enlevant en allant le mettre dans le panier à linge sale essayant d’ignorer son regard surement sur mon string noir en dentelle. Revenant vers lui, je passais brièvement ma main dans mes cheveux en lui lançant un regard hésitant. « Chéri ? Je… Ok c’est idiot de ma part mais je… Autant montrer mes seins se fut facile… Je…Mais le bas… Je… Ok c’est ridicule… Tu peux m’aider à l’enlever ? Je…Enlève le ! » Dis-je en gémissant détournant le regard en lui tendant la ficelle de mon string pour qu’il l’enlève. Mon cœur se mettant à battre la chamade.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Lun 26 Mar - 22:01
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Ben oui… Une fois que j’aurais bien confiance en moi, on pourra… Vraiment pousser les préliminaires, on ne va pas se contenter de quelques caresses mon amour… » Je soupirai faiblement à cette idée et me mordillai la lèvre inférieure, avec lenteur. J’avais terriblement hâte d’y être en tout cas, je ne pouvais décemment pas le nier ! Mais je ne voulais surtout pas la presser. Tout au contraire même. Je voulais être certain que lorsqu’elle irait plus loin, ce serait par envie et non pas parce qu’elle songerait qu’il était plus que temps ou que j’en avais vraiment plus que besoin. Raison pour laquelle, je ne voulais vraiment pas lui montrer combien j’avais hâte et envie, d’être à cet instant où elle aurait l’envie de faire ça. « On verra. Prend tout ton temps, je suis pas pressé. » Enfin si, mais je ne pouvais pas le lui avouer aussi facilement et clairement. Si elle s’en rendait compte, elle voudrait accélérer les choses. Et ce, uniquement pour me faire plaisir. Chose que je ne pouvais pas accepter bien entendu. Je fis mine de rien pour pouvoir continuer la conversation et en arriver au moment où elle mentionna le fait qu’elle me ferait des photos, avant d’ajouter que je devrais en faire aussi en échange. Je soupirai doucement de bien être, lorsqu’elle entreprit de déposer de brefs baisers sur mes lèvres et souris franchement en coin, sur le coup, sans la quitter du regard. « Parce que moi je suis du genre à me prendre en photo ? Hum torse nu…. Des photos ensemble ? Coquine les photos ? » Je fis mine de grogner doucement et déposer un fort baiser bien claquant, sur ses lèvres. J’entrepris ensuite de les lui mordiller avec lenteur, sans la quitter du regard, tirant doucement sa lève inférieure, en faisant mine de rien. « Torse nu avec toi alors … Des photos coquines ? De nous deux ensemble ? » Demandais-je en riant faiblement tout contre ses lèvres, sans la quitter un seul instant du regard, totalement envoûté, comme depuis le premier jour de notre rencontre. Je ne pouvais rien faire contre l’attrait impressionnant, qu’elle exerçait sur moi.
Nous parlâmes ensuite de Stacy et je me rendis bien vite compte, du fait qu’elle craignait qu’elle ne tente de me sauter dessus, pour plus ou moins abuser de moi. L’air de rien, j’émis alors l’idée de lui acheter des jouets, pour qu’elle s’en contente. Bien entendu, je ne me voyais pas aller dans un sex shop, simplement pour lui acheter de quoi se soulager. Je me mordis fortement la lèvre, lorsque je croisai son regard choqué de par mes paroles et ris doucement, sans plus pouvoir me retenir, au franc berk qu’elle laissa échapper. Je lui lançai alors un regard à la fois innocent et taquin. J’aimai terriblement la faire marcher et la taquiner. Chose que je ne pouvais pas faire avec qui que ce soit d’ailleurs. « Tu parles sérieusement là ? Des… Genre des trucs en plastiques longs ressemblant à une queue ? C’est… Mais c’est… Imagine après elle va dans la salle de bains et tu entends le bruit des vibrations de la chose ? Et… Et… ahhhhhhhh Nolan ! Propose-lui d’aller voir ailleurs… Peut-être qu’elle acceptera ! » Je me figeai fortement sur le coup, et lui adressai un regard tout autant choqué que le sien précédemment, et terriblement dégoûté. A vrai dire, à aucun moment, je n’avais envisagé les choses sous cet angle là. Il y avait une sacré différence entre proposer de lui acheter un truc pareil, simplement pour être tranquille, et le fait de l’imaginer en train de s’en servir. Brrr, en effet ! « Bon ok d’accord, le coup des jouets c’était vraiment pas une bonne idée. Et de toute façon, non, je n’étais absolument pas sérieux. Brrr, c’est dégoûtant ! Tu m’imaginais vraiment aller dans un magasin spécialisé, pour lui acheter ça ? Argh ! Et de toute façon elle n’aura pas d’autre choix que d’aller voir ailleurs, à la longue ! » Lâchais-je sur un ton totalement précipité sur le coup, tant j’étais presque gêné par toute cette version pour le moins déroutante, dégueulasse et bien atypique. Parler de mon épouse malaimée, avec celle dont j’étais fou, et raconter comment elle pourrait bien se soulager. Nous étions … Etranges !
Nous discutâmes un bon moment de ses BD qui était une véritable passion pour elle, avant qu’elle ne finisse par se retrouver sur moi, pour me déshabiller entièrement. Totalement perturbé mais surtout, tiraillé par l’envie, je la laissai et faire et ne lui offris que de faibles protestations, avant que je ne craque et ne l’encourage à continuer. Bien vite, elle parvint à me faire jouir simplement de sa main et me laissa à bout de souffle et le cœur totalement emballé encore. J’haussai les sourcils de surprise, lorsqu’elle m’annonça que la semence rendait la peau douce. Surpris, je lui demandai confirmation et la laissai venir sur moi, posant alors mes mains sur ses cuisses, que je caressai avec lenteur. Je la regardai alors sans lui cacher tout l’amour que j’étais capable d’éprouver pour elle, cette bouffée d’oxygène, arrivée d’on ne sait trop où. « Ouais, j’ai appris ça cette année en cours de Biologie lorsqu’on a étudié le corps humain. Il parait que même certains produits en utiliseraient à faible dose pour rendre justement la peau douce. Ouais qu’est-ce qu’on n’apprend pas de nos jours en cours ! » Je ris doucement sur le coup, en pinçant doucement ses cuisses fermes et délicieusement galbées, sans la quitter du regard, totalement amoureux et attendris. « Je dirais plutôt … Ce qu’on vous apprend pas de nos jours ! » Lâchais-je d’une voix taquine, en souriant franchement en coin. Je frissonnai fortement lorsqu’elle entreprit de me chatouiller et l’attrapai par les poignets, pour lui poser ses mains sur le lit, de part et d’autre de mon corps. Je lui appris alors le fait que j’étais quelque peu chatouilleux. Je l’embrassai alors franchement, en soupirant et gémissant doucement d’aise. Mes lèvres contre les sienne, je l’embrassai avec tendresse et douceur puis finis par me redresser en la laissant s’accrocher à moi, pour émettre l’idée d’une douche. Je mentionnai le fait que je la voulais avec moi et ce, peu importe la tenue dans laquelle elle se trouverait. Une fois debout, je la posai sur mon épaule, l’air de rien, glissant alors une main sous son short, pour lui caresser lentement, le haut de la fesse. « Tourne toi, de l’autre côté la porte, on la voit pas, on dirait le mur… Mais au coin pousse la et c’est la salle de bains ! » J’hochai lentement la tête sans répondre, et filai à l’endroit indiqué. J’entrai alors dans sa salle de bains et la posai sur le sol, lorsqu’elle me tapota doucement. Je souris en coin et reportai mon attention sur elle, sans pouvoir me retenir davantage, la laissant déposer un bref baiser sur mes lèvres, avant de récupérer deux grandes serviettes. « Désolée, je n’ai pas de produit pour homme par contre… Enfin quoi que… Attend moi là d’accord ? » Je ris faiblement en la suivant du regard, sans avoir le temps de dire ou faire quoi que ce soit. Je la regardai ensuite revenir en la parcourant du regard sans broncher, regardant longuement son corps avant de revenir à son visage. « Comme ça ni vu ni connu tu ne sentiras pas la femme ! » Je souris en coin en levant vaguement les yeux au ciel.
« Dans tous les cas, je ne sentirai pas mon gel douche habituel. » Lui fis-je remarquer, l’air de rien. Je restai impassible lorsqu’elle retira son short, bien que mon regard se baissa tout naturellement, pour se poser sur son string, frissonnant faiblement sur le coup. Certes, elle m’avait bien épuisé un moment plus tôt. Mais ça ne m’empêchait pas d’avoir un tant soit peu envie d’elle. Et ça risquait d’être constamment de la sorte. Je fronçai les sourcils en la voyant hésiter par la suite et relevai le regard, pour constater qu’elle était rouge écarlate, le visage totalement en feu. Je soupirai doucement et allai ouvrir la bouche pour lui dire de garder son dernier vêtement, lorsqu’elle me coupa dans mon élan. « Chéri ? Je… Ok c’est idiot de ma part mais je… Autant montrer mes seins ce fut facile… Je…Mais le bas… Je… Ok c’est ridicule… Tu peux m’aider à l’enlever ? Je…Enlève le ! » Je soupirai faiblement et la rejoignis tranquillement, pour me coller à elle et poser mes mains sur ses hanches, avec lenteur et douceur. Je déposai ensuite mes lèvres dans son cou, pour y déposer de lents et tendres baisers, soupirant faiblement d’aise. Je remontai à son visage avec lenteur, pour déposer de faibles baisers sur sa joue, avant de les déposer sur les siennes, que j’embrassai lentement et tendrement. « Je te l’ai dis, tu n’es pas obligée de le retirer. Si tu préfères rester ainsi, reste ainsi. » Soufflais-je d’une voix douce, en tirant doucement sur la ficelle de son string, sans pour autant le lui retirer, la faisant alors reculer jusqu’à la douche, avec lenteur. Une fois dedans, sans jamais quitter ses lèvres des miennes, je mis l’eau en route et la laissai couler sur nous, sans pour autant faire quoi que ce soit. Je me contentai de déposer mes mains sur ses joues, pour l’embrasser avec plus d’insistance et de tendresse.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Mar 27 Mar - 23:44
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Nolan & Lhoà
« On verra. Prend tout ton temps, je ne suis pas pressé. » Hochant lentement la tête, je déposais un rapide et faible baiser sur ses lèvres. Je savais que je pouvais prendre mon temps, là n’était pas le souci. Mais je ne voulais pas non plus le rendre à cran. Il était à un âge ou… Il avait dépassé le stade des préliminaires et des simples caresses, alors bon, je ne voulais pas non plus le rendre si frustré que cela… Parlant de photos coquines, j’en vins à lui demander à ce qu’il m’en fasse à moi aussi si je venais à lui en faire ! Normal non ? Mais torse nu, vu qu’il n’en avait jamais fait. Comme si moi j’en avais déjà fait… « Torse nu avec toi alors … Des photos coquines ? De nous deux ensemble ? » Léchant rapidement mes lèvres en le détaillant longuement, je baissais un vague regard sur son corps, en soupirant de bien-être. Des photos coquines de nous deux, des photos ou nous étions nues tous les deux me plairaient bien, mais le must serait tout de même qu’il soit seul. C’était bien plus, excitant tout de même. Je pense. Je n’avais jamais eu de photo coquine d’homme sur mon téléphone ! « D’accord, torse nu avec moi ! Hum, pourquoi pas, je suis sûre qu’une photo de nous deux ou tu es dans une position de domination te plairait. Ça plait aux mecs ce genre de truc ! » soufflai-je doucement l’air de rien en souriant franchement. Par la suite, on vint à parler de sa femme. Surtout du fait que de ne plus coucher avec elle, elle risquait d’être grandement en manque et peut être même de vouloir lui sauter dessus, abuser de lui, le violer, ou je ne sais quoi. On savait tous parfaitement qu’une femme en manque était capable de tout pour soudoyer un homme. J’étais peut être vierge mais pas inculte pour autant… Et l’idée de lui acheter des jouets me donna franchement la nausée ! Non, au secours, je ne voulais pas imaginer une telle horreur ! Encore moins le bruit de vibration que cela pourrait émettre, alors que mon Nolan serait dans le lit à essayer de dormir. Dormir avec elle… Je préférais ne pas y penser…
« Bon ok d’accord, le coup des jouets c’était vraiment pas une bonne idée. Et de toute façon, non, je n’étais absolument pas sérieux. Brrr, c’est dégoûtant ! Tu m’imaginais vraiment aller dans un magasin spécialisé, pour lui acheter ça ? Argh ! Et de toute façon elle n’aura pas d’autre choix que d’aller voir ailleurs, à la longue ! » Non ce n’était vraiment pas une bonne idée, non seulement pour mon mental, mais aussi pour le sien. Je ne voulais pas avoir des drôles d’images en tête ! Et encore lui savait à quoi elle ressemblait, c’était donc pire. Heureusement que je ne la connaissais pas ! Caressant lentement ses joues je le regardais longuement avant de rire faiblement. « Sérieusement ? Si tu vas dans ce genre de magasin, je préfèrerais que tu y ailles pour nous, genre m’acheter une tenue coquine que pour l’autre ! »[/color] soufflai-je doucement en déposant de lent baiser humide sur ses lèvres en souriant en coin. Rapidement, j’en vins à le déshabiller totalement pour lui donner un plaisir imminent. De ma main, avec précaution, je le fis finir sans scrupule, avant de le caresser m’asseyant sur lui pour lui annoncer que la semence rendait la peau douce l’ayant appris en cours bien évidement. « Je dirais plutôt … Ce qu’on vous apprend pas de nos jours ! » Levant les yeux au ciel, je lui pinçais l’air de rien le nez avant qu’il ne nous relève tous les deux pour me porter alors sur son épaule. Surprise je le laissais faire en lui indiquant alors la salle de bains lorsqu’il me fit comprendre que nous allions prendre une douche tous les deux. Lui tapotant doucement les fesses une fois dans la dite pièce, je le laissais me poser au sol avant de lui dire que je n’avais que du gel douche pour femme, avant de me souvenir que j’avais un frère. Du moins qu’il utilisait déjà des produits pour homme. Allant rapidement les chercher je revins dans la salle de bains les posant alors dans la douche à côté des miens.
« Dans tous les cas, je ne sentirai pas mon gel douche habituel. » Plissant doucement mon nez, je remarquais qu’il n’avait pas tort pour le coup. « Tu me diras ce que tu achètes, comme ça j’achèterai les mêmes, si jamais elle a un odorat développé… Tu ne serais pas dans la merde ! » soufflai-je doucement avant d’enlever mon short. Me retrouvant en string, je l’empoignais faiblement n’arrivant pourtant pas à l’enlever. Rouge comme jamais je me mis à bégayer et à lui demander de venir me l’enlever en tirant doucement sur mon string. Le laissant venir à moi pour se coller contre mon corps. « Je te l’ai dit, tu n’es pas obligée de le retirer. Si tu préfères rester ainsi, reste ainsi. » Rougissant à nouveau, je déglutis en le laissant tirer faiblement mon string. Totalement à sa merci ne sachant pas quoi faire, je suivais la cadence, lorsqu’il me poussa lentement vers la douche. Une fois dedans, je le laissais mettre l’eau en route avant qu’il ne m’embrasse avec franchise. Totalement envouté de par son baiser, je pressais mes lèvres contre les siennes avec insistance, me mouvant alors contre lui pour me coller contre son corps. Ma poitrine contre son torse, je lâchais un bref gémissement, ma langue s’immisçant bien dans sa bouche, alors que mon souffle se coupa. Fourrageant ses cheveux, l’eau tombant et glissant sur nos corps je sentis de longs frissons parcourir le mien, signe que j’étais à nouveau plus ou moins excitée. Plissant le nez en entrouvrant les yeux, je l’embrassais un long moment avant de sourire et mordiller lentement sa lèvre pour me reculer par la suite. « Hey… Reste sage… Je viens à peine de t’épuiser, petit coquin ! » Soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard on ne peut plus taquin. Attrapant le gel douche pour homme, je m’en mis dans les mains avant de le pousser contre le mur pour entreprendre de le laver l’air de rien sans le quitter du regard. Passant sur tout son torse, ses bras, je descendis lentement le long de son corps, allant de ses pieds pour remonter à ses cuisses. Passant sur ses fesses, je finis alors par son membre toujours sans le quitter du regard, prenant l’air de rien mon temps, je ne pus m’empêcher de déposer un rapide baiser dessus avant de me relever et l’embrasser rapidement. « J’espère que tu as aimé ! » Soufflai-je l’air de rien en souriant de plus belle.
“ J. Nolan Edgecombe ”
Messages : 66 Date d'arrivée à Trinity : 27/02/2012
Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Jeu 5 Avr - 21:19
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« D’accord, torse nu avec moi ! Hum, pourquoi pas, je suis sûre qu’une photo de nous deux ou tu es dans une position de domination te plairait. Ça plait aux mecs ce genre de truc ! » Je ris faiblement sur le coup, sans pouvoir m’en empêcher. Je n’avais jamais eus ce genre de photos en ma possession et j’en avais encore moins fais, bien entendu. Alors autant dire que je n’en savais rien et que j’étais pour le moins … Paumé, dans tout ça. Je ne savais vraiment pas si je serais capable d’être assez courageux, pour faire une telle photographie. Que ce soit seul ou avec elle d’ailleurs. Je devais bien reconnaître et assumer le fait, que je n’y connaissais finalement rien dans tout ça. Dans le fait de … Vouloir séduire quelqu’un, lui plaire, lui donner envie de … Hm d’aller plus loin. Ce n’était pas le genre de choses que j’avais eus l’occasion de faire de part mon passé. D’un côté, c’était parfaitement logique, si l’on considérait le fait que j’étais marié depuis toujours, ou presque, avec une femme que je n’aimais aucunement et qui ne me faisait pas plus d’effet que cela. Plus du tout aucun effet, même, depuis que Lhoà était dans ma vie. Depuis le premier regard que j’avais posé sur elle, en clair. Elle avait éclipsé toutes les femmes réunies sur cette foutue terre, dès lorsque je l’avais regardé. C’était aussi simple que cela. « Honnêtement ? Je sais pas … C’est … Etrange, de se photographier ainsi. Non ? » Demandais-je alors, presque hésitant sur le coup. C’était idiot mais pour ça, j’étais aussi innocent qu’elle. Et ce, malgré notre sacré différence d’âge, qui ne passait pas franchement inaperçue, entre nous. Il serait impossible pour nous, de faire comme si nous avions le même âge en tout cas, c’était certain. Changeant radicalement de sujet, mais pas trop dans le fond, il fut question de Stacy et de savoir comment la … Soulager. Purement et simplement. Sur le coup, j’émis l’idée que j’aille lui acheter des jouets, pour éviter qu’elle ne me saute dessus, contre mon grès. Mais bien vite et grâce à la jeune femme contre moi, je réalisai réellement la chose et le fait que ce serait franchement dégoûtant. Je devais plutôt voir les choses sous cet angle … « Sérieusement ? Si tu vas dans ce genre de magasin, je préfèrerais que tu y ailles pour nous, genre m’acheter une tenue coquine que pour l’autre ! » Surpris, je posai le regard sur elle et l’observai un long moment sans mot dire, avant de rire quelque peu sur le coup. Qu’elle était mignonne … Terriblement mignonne. Non, franchement parfaite, sous tous les angles, sous toutes les coutures.
« Hm mouais … Sérieusement, tu me vois dans un sex shop ? Je préfère encore entrer dans une boutique de lingerie pour femmes, je crois … » Lâchais-je l’air de rien, en lui adressant un regard en coin. J’étais bien conscient que dans ce genre de boutiques, il n’y avait que des femmes ou presque, alors que dans un sex shop, c’étaient plutôt des hommes. Le problème principal, au final, restait la réputation d’un homme qui entrait dans tel ou tel lieu. Par la suite, comme pour me rendre le plaisir que je lui avais moi-même procuré un moment plus tôt, elle me déshabilla et me caressa de sa main, y allant de plus en plus franchement, jusqu’à me faire jouir, simplement de sa main. Je ne pu retenir un franc gémissement de plaisir sous la force de ma jouissance et la laissai se redresser ensuite sur moi. Un moment plus tard, nous décisions de filer sous la douche. Pour ma part, c’était on ne peut plus nécessaire et je voulais qu’elle vienne avec moi, quoi qu’il arrive et quelle que soit la tenue qu’elle puisse porter pour ladite douche. Une fois dans la salle de bains, je la laissai partir puis revenir, avec un gel douche pour hommes. Elle mentionna le fait qu’ainsi, Stacy ne se rendrait compte de rien. Je ne pu m’empêcher de rire doucement, lorsque je lui fis remarquer que, dans tous les cas, je ne sentirais pas mon odeur habituelle. C’était on ne peut plus logique à mes yeux. « Tu me diras ce que tu achètes, comme ça j’achèterai les mêmes, si jamais elle a un odorat développé… Tu ne serais pas dans la merde ! » Je ris doucement en levant les yeux au ciel. Aller jusqu’à acheter le même gel douche, pour qu’elle ne remarque pas un éventuel changement d’odeur. C’était tout de même en train d’aller très très loin, selon moi. Mais ce n’était pas non plus si bête que ça, selon moi. Tout au contraire même. Cette idée m’amusait assez, je ne pouvais pas le nier. « Tu sais … Je peux aussi acheter ça moi-même et les ramener ici. Ca ira plus vite non ? Et je doute qu’elle aille jusqu’à me sentir quand même. » Lâchais-je l’air de rien, avant de rire quelque peu devant une telle idée, si stupide à souhait. Bientôt, alors que j’étais moi-même totalement nu et que, pour sa part, elle avait encore son short et son string, elle retira ce premier et ne parvint pas à retirer son sous vêtement. Plutôt que d’obéir à sa demande, je souris en coin et la fit lentement reculer en direction de la cabine de douche, dans laquelle je la fis entrer, en lui faisant remarquer qu’elle n’était vraiment pas obligée de se mettre totalement nue, si ça la dérangeait tant que cela. Je ne voulais aucunement la forcer à faire quoi que ce soit …
Une fois dans la cabine de douche, je mis l’eau en route et plaquai mes lèvres contre les siennes, sans tarder, totalement incapable de résister à leur appel totalement envoûtant et qui m’appelait constamment et irrémédiablement. Je ne pouvais rien faire d’autre que de l’embrasser, encore et encore. Ses lèvres étaient un appel auquel je ne savais rester sourd. Tout au contraire même. Sans compter que nous n’allions pas passer assez de temps ensemble alors autant en profiter au maximum à chaque fois que nous pourrions passer du temps ensemble, rien que tous les deux …Je gémis doucement d’envie en réponse au sien, tandis que nos langues se jouaient l’une de l’autre et l’une avec l’autre, avec une envie et une perfection sans faille. Le souffle court et précipité, je lui adressai un regard presque perdu, lorsqu’elle se recula en me regardant d’un air plus taquin qu’autre chose. « Hey… Reste sage… Je viens à peine de t’épuiser, petit coquin ! » Je ris faiblement sur le coup, en me reculant d’un pas, pour me détacher totalement d’elle. Je fermai les yeux et roulai faiblement de la tête en levant les yeux au ciel. « J’essaie, j’essaie … Mais c’est difficile de rester sage en ta présence … » Lui fis-je remarquer, l’air de rien, avant qu’elle ne me pousse franchement pour me plaquer contre le mur. Surpris, je sursautai et haussai les sourcils, avant qu’elle n’entreprenne de me laver à l’aide du savon pour hommes. Alors qu’elle se glissait le long de mon corps pour me laver les jambes, je la suivis du regard en tremblant faiblement sur le coup, devant cette position, pour le moins explicite. Je grognai faiblement d’envie, lorsqu’elle en arriva à mon membre sur lequel elle déposa alors un bref baiser, avant de se relever. « J’espère que tu as aimé ! » Je me passai la langue entre les lèvres, avec extrême lenteur, en lui adressant un regard on ne peut plus excité et pour le moins sauvage et envieux. Mais je devais me contrôler. Oui, et au plus vite surtout. Le souffle totalement coupé, je penchai la tête en arrière, pour la poser contre le carrelage. « Hmpf … A ton avis ? » Demandais-je d’une voix douce en restant ensuite immobile et silencieux un long moment, avant de me redresser pour venir tout contre elle. Je déposai un bref baiser sur ses lèvres, avant de la faire se tourner dos à moi. Sans un mot, je récupérai son gel douche que je pris dans mes mains, pour la savonner avec lenteur, m’attardant sur sa poitrine l’air de rien, en les malaxant bien, avant de descendre le long de son corps. Je la lavai ainsi en ne me privant pas pour tâter tout son corps. Une fois debout derrière elle, je posai ma main entre ses jambes, sur son string. « Y’a marqué zone interdite là … » Lui fis-je remarquer d’une voix taquine, avant de laisser échapper un bref rire taquin et amusé. Toujours dans son dos, je la pris dans mes bras et filai bien sous l’eau avec elle pour nous rincer et enfouis mon visage dans son cou, pour la câliner et la bercer avec lenteur et amour.
“ M. Lhoà Bartholomew ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Ven 6 Avr - 11:21
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« Honnêtement ? Je ne sais pas … C’est … Etrange, de se photographier ainsi. Non ? » Haussant un sourcil, je lui fis un simple et doux sourire. Comme si j’en savais quelque chose, je ne m’étais jamais photographié de la sorte moi ! On allait découvrir cela ensemble, je l’espérais. Quoi que, il avait quand même raison, c’était bizarre. « Je ne sais pas. Je ne me suis jamais prise en photo coquine ! Mais c’est vrai qu’en y passant, ça fait porno… C’est mieux toute seule. Je te ferais des photos très coquines ! » soufflai-je doucement en lui caressant alors la joue du bout de mes doigts. Parlant par la suite de savoir comment sa femme ferait maintenant qu’il ne coucherait plus avec elle, il avança l’idée de jouet et je ne pus m’empêcher de répliquer et de lui mettre en tête des images, vomissantes… Berk ! « Hm mouais … Sérieusement, tu me vois dans un sex shop ? Je préfère encore entrer dans une boutique de lingerie pour femmes, je crois … » Plissant le nez, je me mis à rire sans pouvoir m’en empêcher sur le coup, lui lançant alors un regard terriblement amusé. Non, je ne le voyais même pas aller là-dedans, ni même dans une boutique de lingerie féminine. Encore moins si c’était sans moi ! Je ne voulais pas qu’il se fasse draguer par la vendeuse ! Il ne manquerait plus que cela. Sur cette pensée, je remarquais alors une chose. J’étais déjà jalouse. Rougissant à cette pensée, je détournais rapidement le regard, avant de me coller contre lui, l’air de rien. Hors de question d’être jalouse, comment je pouvais accepter sa femme mais pas qu’il se fasse draguer ? Il fallait dire que c’était différent… Très différent même… « Certes… Tant que tu y rentres pour moi… Sinon, là, je m’inquièterai un peu ! » Soufflai-je l’air de rien, sans parler de ma jalousie naissante, souriant en coin, pour le taquiner.
Rapidement, sans perdre de temps, j’en vins en le mettre nu et à le soulager sans aucune retenue, y allant de plus en plus fort avec ma main, le faisant jouir. Rapidement il me prit dans ses bras pour que l’on prenne une douche. Allant chercher des gels douches pour homme, j’en vins à dire qu’il faudrait que j’achète les mêmes que les siens au cas où sa chère et tendre femme remarquerait qu’il ne sent pas pareil… « Tu sais … Je peux aussi acheter ça moi-même et les ramener ici. Ça ira plus vite non ? Et je doute qu’elle aille jusqu’à me sentir quand même. » Haussant un sourcil, je le détaillais longuement, m’arrêtant sur son anatomie des plus parfaite, ne me gênant absolument pas pour le mater, ma langue se frayant un chemin entre mes lèvres, dévoilant mon envie subite sexuelle. « Oui… Euh oui, tu peux en acheter et l’amener oui ! J’espère qu’elle ne va pas te renifler ouais ! Manquerait plus que ça tien… »[/color] Marmonnai-je sans quitter son membre du regard avant de le regarder en souriant en coin. Enlevant mon short, je n’arrivais cependant pas, à enlever le string, lui demandant de me l’enlever. Il ne le fit pas, au contrairement me poussant sous l’eau de la douche qu’il mit en route. Nous embrassant avec franchise et envie, je sentis mon corps le réclamer. C’était fou, je découvrais à peine, et j’étais déjà avide de plus. L’embrassant de plus en plus je me détachais faiblement de lui, reculant la tête en soufflant alors lentement qu’il fallait qu’il se calme, je venais à peine de le soulager. Bien sûr je le taquinais, il pouvait continuer s’il le voulait… « J’essaie, j’essaie … Mais c’est difficile de rester sage en ta présence … » Le contemplant sans me gêner, je lâchais un bref rire avant de poser ma main sur son torse pour le caresser avec douceur. Dieu qu’il était beau… Il me donnait envie d’aller plus loin, mais non, pas si tôt… Je ne voulais pas le faire si tôt… Puis entre vouloir et pouvoir…
« Je te taquine chéri, si tu veux abuser de mon corps avec tes jolies petites mains ou ta bouche… tu le peux… » Soufflai-je lentement en souriant en coin l’air de rien. J’avais encore le gout de sa bouche sur mes seins. J’avais envie. Le plaquant contre le mur, je l’embrassais franchement et longuement, avant de prendre le savon et entreprendre de le laver. Une fois fait je me penchais sur son membre pour lui voler un baiser l’air de rien, me retenant de faire plus. Lui demandant alors s’il avait aimé. « Hmpf … A ton avis ? » rougissant faiblement, je baissais le regard sur son membre avant de me mordiller les lèvres. « Oui ! Et elle ? Le petit baisé volé ? Elle a aussi aimé ? » Demandai-je en lui lançant un regard clairement taquin et amoureux. Me tournant dos à lui, je le laissais faire avant qu’il ne me lave à son tour. Ses mains sur mon corps, je soupirais lentement de plaisir un sourire amoureux aux lèvres. Ses mains s’attardant sur ma poitrine, que je sentis durcir, je penchais ma tête en arrière, en poussant un faible cri de plaisir, posant mes mains sur le mur comme pour me tenir sur un trop plein de plaisir. C’était le cas. Se collant à moi, je sentis sa main se poser entre mes jambes me stupéfiant sur place. Je ne m’y étais vraiment pas attendu… « Y’a marqué zone interdite là … » Boguant sur le coup, je déglutis en frissonnant fortement. Le fait de sentir sa main là, me faisait quelque chose, comme… Une envie soudaine, c’était plaisant… Terriblement bon même. Le sentant nous tirer vers l’eau pour nous rincer, je le laissais faire en penchant ma tête en arrière et la poser sur son épaule posant alors mes mains sur ses avants bras, le laissant me bercer avec lenteur. C’était tellement bon d’être là, contre lui, alors qu’on était ensemble que depuis peu. J’aimais déjà le rendu de notre relation, surtout quand j’arrivais à oublier sa femme. Raclant ma gorge, doucement, je soupirais en tournant le visage vers lui. « Pour le moment, la zone interdite, ne concerne que cette bête longue et volumineuse mon amour… Pas le reste… »[/color] Soufflai-je en lui lançant un regard clairement amoureux en mordillant mes lèvres. Totalement rincé, je me tournais vers lui pour le prendre dans mes bras le serrant avec force. « On se reverra quand ? Va falloir qu’on s’organise et tout… » Soufflai-je doucement en caressant ses cheveux avec force et envie, déposant de lent baiser dans son cou.
“ J. Nolan Edgecombe ”
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Sujet: Re: There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L Dim 8 Avr - 21:42
Sometimes it lasts in love. But sometimes it hurts instead
« Je ne sais pas. Je ne me suis jamais prise en photo coquine ! Mais c’est vrai qu’en y passant, ça fait porno… C’est mieux toute seule. Je te ferais des photos très coquines ! » Je ris doucement en levant vaguement les yeux au ciel. En effet, ça faisait pour le moins porno. Et tout comme elle, selon moi, je n’étais pas du genre amateur de porno et l’idée de nous photographier de la sorte, avait quelque chose de gênant, plutôt qu’autre chose. Autant dire que je n’étais pas tenté plus que ça. « J’ai hâte de voir ça ma jolie … » Soufflais-je d’une voix doucement taquine, en la regardant on ne peut plus amoureusement, tant j’étais subjugué et fou d’elle. Je l’étais déjà. C’était arrivé vraiment très rapidement, je ne pouvais pas le nier. Et je ne le voulais pas de toute façon. Je l’aimais et l’assumais entièrement. Et ce, malgré le fait que je sois marié. Chose qui était plus douloureuse qu’autre chose, puisque je ne pourrais jamais vivre mon amour au grand jour, avec Lhoà. Mais il était trop tôt pour perdre du temps à penser à ça. Trop tôt, trop prise de tête, trop dérangeant et trop douloureux, dans tous les sens du terme. Nous parlâmes ensuite du fait que je venais d’émettre l’idée d’offrir des jouets à Stacy, pour soulager ses envies et besoins sexuels. Mais bien vite, je réalisai l’horreur de cette idée. Brrr ! Je mentionnai alors, le fait que je préférais encore entrer dans une boutique de lingerie pour femmes, plutôt que de me rendre dans un foutu sex shop. « Certes… Tant que tu y rentres pour moi… Sinon, là, je m’inquièterai un peu ! » Je ris doucement en levant les yeux au ciel et la regardant de façon toujours aussi amoureuse. Je soupirai d’aise et vins glisser une main sur sa joue, pour la lui caresser avec tendresse et douceur. Dieu que j’aimais cette jolie, magnifique, parfaite et excitante … Blonde. Ma blonde. Enfin, malheureusement, pas de façon officielle. « T’es vraiment la seule personne au monde, qui pourrait me faire entrer dans un truc pareil. » Soufflais-je l’air de rien, avant de venir lui voler un bref baiser.
Ce fut avant qu’elle vienne au dessus de moi pour me soulager alors d’une envie, bien trop pressante et puissante. De sa main, elle m’empoigna, caressa, tâta, fit de francs vas et vient et parvins à me faire jouir sans trop d’effort. Par la suite, bien conscient qu’il fallait vraiment que je me douche avant de rentrer chez moi, nous filâmes dans la salle de bains. Parlant gel douche etc, je mentionnai le fait que je ferai mieux d’acheter les mêmes produits que les miens, histoire que le parfum soit le même et ainsi éviter de mettre la puce à l’oreille de Stacy. Je souris faiblement en coin lorsque son regard se perdit sur mon entre jambe et ne pu réprimer un long frisson d’envie, en la voyant se passer lentement la langue entre ses lèvres, sans quitter mon membre du regard. « Oui… Euh oui, tu peux en acheter et l’amener oui ! J’espère qu’elle ne va pas te renifler ouais ! Manquerait plus que ça tiens… » Je ris quelque peu en la contemplant longuement du regard, un franc sourire étirant alors mes lèvres. Mon regard se perdit sur son corps, alors que je la détaillais de la tête aux pieds et je laissai échapper un faible soupir d’envie. « Elle est pas aussi bizarre. Fin je crois … » Marmonnais-je en plissant le nez, avant de sourire en coin. « Et sinon … Ce que tu vois, te plais ? » Demandais-je d’une voix taquine, avant de rire doucement. Je la regardai ensuite se retirer son short avec lenteur, avant d’hésiter puis s’arrêter, apparemment incapable de faire de même avec son string. Lorsqu’elle me demanda de m’en charger, je refusai et l’entrainai dans la douche de la sorte, avant de l’embrasser avec franchise, sans pouvoir m’en empêcher. Mais bien vite, elle me fit stopper et me demanda de garder mon calme. Je soupirai et lui fis clairement comprendre, que ce n’était pas chose aisée, du tout. « Je te taquine chéri, si tu veux abuser de mon corps avec tes jolies petites mains ou ta bouche… tu le peux… » Je soupirai faiblement et baissai le regard vers elle, posant alors mes mains présentes sur mon torse, pour les lui caresser avec lenteur. « Hm … Une certaine partie n’est pas encore accessible. » Lui fis-je remarquer d’une voix doucement taquine.
Par la suite, je la laissai me laver et déposer un faible baiser sur mon membre, avant qu’elle ne se relève en faisant mine de rien et me demandant simplement si j’avais aimé qu’elle s’occupe ainsi de moi. Je la vis rougir lorsque je lui répondis, ce qui me fit doucement sourire. « Oui ! Et elle ? Le petit baisé volé ? Elle a aussi aimé ? » Je frissonnai fortement et longuement à ce souvenir et souris franchement, sans la quitter un seul instant du regard. Si elle avait aimé ? C’était peu dire ! Vraiment peu ! Je soupirai d’aise alors que je la regardais d’un air rêveur. « Elle a surtout hâte d’en arriver au jour où ça ne sera pas un simple baiser … » Soufflais-je d’une voix coquine avant de la rejoindre et la faire se tourner dos à moi. Une fois ainsi, j’entrepris de la laver avec lenteur et profiter pleinement de son corps que je caressais et tâtais avec insistance. Je soupirai faiblement d’aise sous la réaction immédiate de sa poitrine, sous mes mains, et entrepris de la lui malaxer avec lenteur en frissonnant doucement. L’air de rien, je posais ensuite une main sur son intimité, pour lui faire remarquer que c’était encore une zone interdite par là. Sans attendre de réponse, je filai sous l’eau avec elle, pour nous rincer tous les deux. « Pour le moment, la zone interdite, ne concerne que cette bête longue et volumineuse mon amour… Pas le reste… » Je ris doucement sur le coup et remontai mes mains sur sa poitrine, pour la lui tâter et masser avec une franche insistance, sans me priver. « Je l’explorerai de ma bouche la prochaine fois, alors … » Soufflais-je d’une voix caressante, au creux de son oreille, avant de soupirer d’aise. Je la pris ensuite bien dans mes bras pour la taquiner longuement, avant qu’elle ne se retourne pour me serrer contre elle. Je gémis faiblement de bien être en souriant franchement sur le coup. J’aimais terriblement l’avoir dans mes bras, et plus encore. Je soupirai d’aise lorsqu’elle caressa lentement mes cheveux, tout en déposant de lents baisers dans mon cou. « On se reverra quand ? Va falloir qu’on s’organise et tout… » Je plissai le nez en songeant que je ne pourrais pas la revoir de suite, malheureusement. Je la serrai un peu plus vivement contre moi, sur le coup et enfouis mon visage dans son cou. « Le plus tôt possible … Me faut toujours ton numéro … Ou tu veux que je passe directement au bar ? » Demandais-je d’une voix douce, avant de me redresser pour arrêter l’eau puis quitter la cabine de douche pour récupérer une serviette dans laquelle je nous enroulai tous les deux, la serrant à nouveau contre moi, sans tarder. « Faudra que je me trouve un week-end pour faire un voyage d’affaire. On a besoin de passer un week-end entier ensemble. Hm ? » Demandais-je en frottant faiblement son dos de la serviette, pour l’essuyer, avant de descendre sur ses fesses, sur lesquelles je m’attardai plus encore.
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There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames N&L