Messages : 16 Date d'arrivée à Trinity : 02/03/2012 Age : 34 Localisation : in your ass. | Sujet: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Ven 2 Mar - 12:19 | |
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| Moi c'est Iphisidora Lili-Rose Kennedy, je suis né(e) le 10 septembre 1989 à Parïs, au Texas, j'ai donc 22 ans ans. Dans la vie je suis photographe (suite à remplir seulement si vous êtes étudiants) en xx. Côté coeur, on peut dire que je suis fiancée et intéressé(e) par les hommes et les femmes. Et pour finir, je fais parti des red bull donne des ailes ! . . | it's my life ...
My fucking story
« Le jour se lève sur la jolie ville Pâris, au Texas. J’éteins mon réveil, me lève et vais me préparer, il est six heures du matin et ma mère est absente. Je prends le sac d’affaire que j’ai préparé la veille et sors de la maison pour m’aventurer dans la neige haute d’une dizaine de centimètres. Je marche pendant dix minutes environ pour arriver à l’arrêt de bus, j’attends encore et encore jusqu’au premier de la journée et je monte dedans. Je prends place, sac à mes pieds, le regard dans le vague je repense à ce qui me pousse à faire ça, à quitter ma vie, ma famille. Je ferme les yeux, ce ne sont que des souvenirs douloureux mais je ne peux m’empêcher d’y repenser, c’est bête. Je regarde mon reflet, je vois mes joues rondes, mon double menton, mes boutons, mes cheveux gras et abîmés à cause de tous les soi-disant soins que ma mère me fait faire. Je baisse le regard vers mon ventre, tout dépasse, le t-shirt est trop moulant et le pantalon trop serré, je transpire à cause de l’effort que je viens de faire et je me gifle mentalement ; si je pars, c’est pour ne plus me rabaisser. J’ai décidé de tout quitter pour commencer une nouvelle vie, loin de tout ça, loin de ces reproches qui me tuent un peu plus chaque jour, loin des hurlements de ma génitrice qui me répète encore et encore qu’elle déteste ce que je suis. Mais je suis sa fille, alors je dois faire tout ce que je peux pour qu’elle aille mieux, non ? Même si cela implique un changement radical. Quelques fois, je pense qu’elle voulait juste m’ouvrir les yeux, me faire comprendre que j’avais besoin de perdre tout ce que j’ai en trop, tout ce que je traîne depuis que je suis petite, tout ce que je supporte. Serait-ce pour ma santé ? Car 120 kilos ce n’est pas rien. Ou bien pour le regard des autres ? Dégoutés, haineux, des regards pleins de jugements, de reproches. Même la femme en face de moi me dévisage ; mais bordel tourne la tête ! Détourne le regard, je sais pas mais arrête ! C’est ce que je pense mais je ne dis rien, je baisse le regard et sors un paquet de gâteau de mon sac, comme je le fais à chaque fois que je suis dérangée. J’engloutis quelques biscuits et alors que j’arrive à mon arrêt, la gare, je range le paquet et me lève pour descendre. Je donne quelques coups sans le vouloir et une fois les pieds à terre, j’avance vers le grand bâtiment en pierre. Je me dirige vers le point de ventes des billets, achète un ticket pour le car et vais m’assoir dans celui-ci en attendant qu’il démarre pour aller à l’aéroport. Je sors mon baladeur, branche mon casque et commence à écouter la musique pour faire passer le temps, je jette un regard à ma droite, je ne me suis pas rendue compte que d’autres personnes étaient montées. J’appuie ma tête sur la vitre, ferme les yeux et me laisse emporter par la douce mélodie du piano qui résonne dans mes oreilles comme la plus belle des berceuses. Réveillée par le chauffeur qui m’annonce que nous sommes arrivées à destination depuis 5 cinq bonnes minutes, je me dépêche de descendre, je commence à courir avec difficulté mon sac sur mon épaule et j’arrive dans la file pour aller chercher mon billet. Je suis dans l’avion, à côté d’un homme d’affaire, durant tout le vol il tape sur son ordinateur, mange, lit.. Moi je reste stoïque. J’ai toujours détesté les voyages en avion, depuis petite même si la seule fois que je l’ai pris c’était avant le départ de mon père. C’était pour aller aux Bahamas, un endroit paradisiaque dont je me rappellerais toute ma vie. Je m’endors une nouvelle fois, avec ces souvenirs en tête, fatiguée par le fait d’avoir trop peu dormi cette nuit puis je me réveil alors que nous arrivons sur le sol Américain. Ma nouvelle vie est sur le point de commencer. 2 mois plus tard Je suis assise sur la banquette de ce café que je viens de découvrir, j’attends que quelqu’un vienne prendre ma commande et je le vois. L’homme qui pour la première fois a fait battre mon cœur à une vitesse incroyable, qui me fit perdre pied, je ne vois que lui. Je ne vois que son corps, incroyablement bien sculpté, ses grands yeux bleus mystérieux et son sourire, bien que forcé, il est magnifique. Je reprends mes esprits et ne peut m’empêcher de rougir à cause de mon anglais plus que mauvais et mon accent encore fort prononcé « Hm.. Une café, s’il te plaît » je ne suis pas sûr de ma phrase et à en voir son sourire amusée, je devais m’être ridiculisée. Il note ma commande « Je vous rapporte ça d’ici quelques minutes » je hoche la tête et j’attends. J’attends et le voilà avec ma boisson chaude. Je le remercie d’un sourire et d’un hochement de tête et il part. Je le suis du regard, me permettant même de regarder plus bas que son dos. Oui, il est foutrement beau. Je n’ai bizarrement plus envie de rien, je ne pense qu’à lui, le reste me paraît secondaire. Je laisse mon café sur la table en plus d’un pourboire bien que mes maigres économies ne me le permettent pas puis pars. Je rentre dans mon appartement et reste plantée au milieu du salon, à regarder autour de moi. Je veux plaire comme toutes les autres femmes, je veux être regardée, admirée, pas simplement par les personnes qui m’intéressent mais par tout le monde. Par la personne âgé qui reste assise sur sa chaise en bas de l’immeuble toute la journée, l’épicier Indien, mon propriétaire qui ne me jette même pas un coup d’œil quand il ne s’agit pas d’argent, par la voisine d’en face qui se promène en string toute la journée, exhibant ses courbes bien dessinée. Je veux être belle. Belle comme toutes les autres femmes. 6 mois se sont écoulés depuis mon dernier passage au café et à la prise de ma décision, je ne sais pas ce qui m’a poussé à faire ça, mais j’ai vomi. Une fois, deux fois, puis c’est devenu comme un automatisme. Après chaque repas, je vais me faire vomir. Mais je perds. Je perds vite et au bout d’un an j’atteins un poids qui me semble correcte ; 40 kilos. Un an, c’est fort hein ? Et je me suis décidée à y aller, aller revoir ce beau serveur et lui parler. Je suis fatiguée mais l’adrénaline monte. Je rentre et je le vois, il a changé, il n’a plus ses cheveux mi- longs bruns, il les a coupé cours et teint en blond, qu’est-ce que ça lui va bien. Je m’approche de lui et c’est comme ça que notre conversation débute. On prévoit de se revoir dans la semaine, un jeudi soir. Cinéma et restaurant, ça me va. Tout ce passe bien, incroyablement bien. On a les mêmes points communs, les mêmes rêves, les mêmes gouts… On s’entend tellement bien, qu’on finit par s’embrasser. Suite à ça, je ne me rappelle plus ce qui s’est passé mais nous nous sommes jetés l’un sur l’autre. Il vit mon corps maigre et il est choqué, je le trouve normal, moi. Il me demande pourquoi est-ce que je suis comme ça et je lui avoue. Je suis honteuse, et s’il ne voulait plus de moi ? Il s’énerve, me dit que je suis complètement irresponsable et pars en me disant qu’il ne reviendra que quand j’aurais repris du poids. » Ma chérie, réveille toi. Il est plus de 10 heures et je te rappelle qu’on a une échographie je me réveille doucement pour me retrouver face à face avec Wayne. Il m’embrasse doucement et me caresse le visage J’aime quand tu me réveilles comme ça, tu le sais ? il rit et hoche la tête, évidemment qu’il le fais. Je rêvais du début de notre relation, tu t’en souviens ? il hoche la tête tandis que je m’assois avec difficulté, caressant mon ventre avec tendresse en disant bonjour à nos enfants qui n’allaient pas tarder à arriver, encore un mois. Je plonge mon regard dans le sien Comme si c’était hier. Je me souviens aussi du jour où tu es venu à mon appartemen habillé d’un simple manteau que tu as ouvert me laissant découvrir ton corps nus en me disant ces mots : « Tu vois Wayne, j’ai fait ce que tu m’as dit de faire, ça veut dire que tu vas revenir, n’est-ce pas ? » j’aurais toujours se souvenir gravé en tête parce que tu semblais tellement appeurée je fais une petite moue et baisse la tête Je t’aimais déjà beaucoup on rit tous les deux. |
questionnaire répondez ici aux questions ci-dessous. ✏ quatre qualités et quatre défauts qui te qualifient le mieux ? observatrice, intelligente, symathique, perfectionniste, possessive, maniaque, lunatique. ✏ depuis combien de temps vis-tu à Miami ? 3 ans. ✏ la vie, tu la vois en quelle couleur ? bleu. ✏ comment tu trouves Trinity ? Je ne me plainds pas. ✏ t'en penses quoi des études ? Que c'est important. ✏ t'as des passions dans la vie ? la photo et l'écriture. ✏ une anecdote à nous raconter ? Héhé oui, mais si je vous le dis je vais devoir vous tuer.. ✏ un signe particulier ? grande enfant.. ✏ qu'est-ce que tu adores, et qu'est-ce que tu détestes ? J'adore tout ce qui n'est pas surfait et je déteste la drogue. ✏ t'as des phobies, des manies, des tics ? j'ai la phobie des araignées et des insectes, j'ai toujours besoin de ranger tout ce qui traîne et je lève souvent les yeux au ciel sans raison..
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toi & toi seul Je m'appelle Marion, j'ai 16 ans ans, vous pouvez me trouver en Normandie, là où il pleut tout le temps et où les vaches sont la fierté des habitants uu. J'ai choisi de prendre comme avatar Imogen Poots et j'ai connu le forum grâce à une demande sur facebook. Mais surtout vous pourrez me trouver 4/7 jours sur le forum. Et je souhaiterais dire une dernière chose : Hâte de pouvoir rp (a)
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Dernière édition par I. Lili-Rose Kennedy le Sam 10 Mar - 14:16, édité 4 fois |
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ADMIN HYPERACTIVE ღ god save the baby queen Messages : 338 Date d'arrivée à Trinity : 28/01/2012 Age : 27 | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Ven 2 Mar - 12:20 | |
| Bienvenue & merci de ton inscription Bonne chance pour ta fiche, si tu as des problèmes ou des questions le staff est là pour toi |
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“ Valentino A. Abercrombie ” | | Well, I never really play by the rules.Messages : 231 Date d'arrivée à Trinity : 06/02/2012 Age : 36 Localisation : Miami | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Ven 2 Mar - 19:55 | |
| Welcome !! - Citation :
- Normandie, là où il pleut tout le temps et où les vaches sont la fierté des habitants uu.
-> N'importe quoi :O xD |
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Messages : 16 Date d'arrivée à Trinity : 02/03/2012 Age : 34 Localisation : in your ass. | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Ven 2 Mar - 19:59 | |
| Merci ♥. Valentino, normand ? xD |
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“ Valentino A. Abercrombie ” | | Well, I never really play by the rules.Messages : 231 Date d'arrivée à Trinity : 06/02/2012 Age : 36 Localisation : Miami | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Ven 2 Mar - 20:26 | |
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Messages : 16 Date d'arrivée à Trinity : 02/03/2012 Age : 34 Localisation : in your ass. | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Mar 6 Mar - 21:22 | |
| Désolée du double post, mais je pense avoir fini ma fiche. |
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SWEET ADMIN △ the best angel Messages : 570 Date d'arrivée à Trinity : 29/01/2012 | Sujet: Re: Iphisidora Lili-Rose Kennedy - je n'ai jamais dis que je t'aimais bien. Sam 17 Mar - 19:06 | |
| Désolée du retard |
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